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La Chine capitaliste en cinq cartes

La Chine capitaliste en cinq cartes
Depuis 2015, la Chine compte plus de milliardaires que les États-Unis : 596 contre 537. Ultime remise en question de l'égalitarisme maoïste, ce record est à comprendre à la lumière du double mouvement de libéralisation interne et d'ouverture au marché mondial imposé par les dirigeants chinois depuis les années 1980. La république populaire de Chine a certes mis en place un capitalisme singulier, tenu fermement par l’État, protectionniste encore par bien des aspects, mais dont l'insertion dans la mondialisation économique est évidente : 1- La Chine, premier exportateur mondial Depuis 2013, la Chine est devenue la première puissance commerciale devant les États-Unis. Son modèle de croissance repose largement sur la demande extérieure. A écouter "La Chine de Xi", Affaires étrangères 2- La Chine, 143e membre de l’Organisation mondiale du commerce 3- 12 traités de libre-échange, 8 en négociation et 6 en examen 4- 20 zones économiques spéciales Related:  Ch.1 - Dynamiques territoriales, coopérations et tensions dans la mondialisation

Notions Les relations commerciales Chine-Afrique en 4 chiffres Le sixième Forum sur la coopération sino-africaine (Focac) s’est ouvert, vendredi 4 décembre, à Johannesburg (Afrique du Sud). Il marque un ralentissement brutal des investissements chinois sur le continent. La « Chine-Afrique » a connu des périodes plus flamboyantes. Lire aussi : Chine-Afrique, le désenchantement Lire aussi : Pékin va prêter 60 milliards de dollars à l’Afrique pour la mettre sur sa « route de la soie » 400 milliards de dollars C’est le montant des échanges commerciaux entre Chine et Afrique que le premier ministre chinois, Li Keqiang, a dit, en mai 2014, vouloir atteindre d’ici à 2020. C’est le nombre de sociétés chinoises implantées en Afrique. C’est l’ampleur du recul des investissements chinois en Afrique au premier semestre : ils s’établissent à 1,2 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros). 75 milliards de dollars C’est le montant des financements publics chinois en Afrique entre 2000 et 2011, selon un haut fonctionnaire français.

Qu'est-ce qu'une organisation régionale ? La Russie est une puissance ré-émergente. Après la... Dans sa conquête de l’Afrique, Xi Jinping mise aussi sur l’Egypte La Chine dépend du Moyen-Orient pour l’essentiel de ses importations en pétrole, mais elle se garde habituellement de s’impliquer dans les tensions et les conflits qui divisent la région. Les choses semblent toutefois en train de changer. Le président chinois Xi Jinping effectuera une visite d’Etat la semaine prochaine en Arabie saoudite, en Egypte et en Iran. Cette tournée intervient alors qu’un diplomate chinois a appelé l’Iran et l’Arabie saoudite à faire preuve « de calme et de retenue ». Lire aussi : « L’Afrique, c’est la Chine des années 1990 » Mais c’est l’Egypte qui devrait constituer le point d’orgue de cette tournée de Xi Jinping dans la région. Un enjeu stratégique majeur Dans cette nouvelle stratégie chinoise, l’Egypte s’impose comme la porte d’entrée de ses intérêts dans la région. Pourquoi ce tapis rouge ? Lire aussi : « La Chine ne croit pas en la charité » Un projet pharaonique estimé à 45 milliards de dollars Les matières premières ne sont pas le seul intérêt du pays.

Covid-19 : "L'économie française est sous perfusion", affirme l'économiste Daniel Cohen L'économie française est secouée par des signaux contradictoires. Il y a d'un côté cette crainte de récession et d'un retour à un chômage de masse en raison de la crise du Covid-19 mais la catastrophe n'est pas encore arrivée. Le nombre de défaillances d'entreprises a été moins élevé en 2020 qu'en 2019. "Le sujet, c'est s'assurer que l'économie française reste intacte, prête à rebondir" analyse sur franceinfo l'économiste Daniel Cohen, directeur du département d'Économie de l'École normale supérieure. franceinfo: Comment va notre économie ? Daniel Cohen : Elle est sous perfusion. Ce choix du "quoi qu'il en coûte", c'était le bon choix ? C'est le seul choix possible à partir du moment où l'État, garant de la santé publique, ordonne à tel ou tel secteur de fermer. >> Covid-19 : le "quoi qu'il en coûte" continue encore et encore. On ne comprend pas forcément comment tout cela est financé. La question n'est pas de savoir si on doit le rembourser ou pas. La dette a doublé.

Les inégalités de richesse dans le monde (2018) Diplomatie: Des navires chinois près d'îles disputées - News Monde: Asie & Océanie La Chine a envoyé trois navires de garde-côtes patrouiller mercredi autour d'un archipel dont elle dispute la souveraineté au Japon, des îles couvertes par l'alliance militaire entre Tokyo et les Etats-Unis comme l'avait rappelé le mois dernier Donald Trump, au grand dam de Pékin. «Le 1er mars au matin, trois navires des garde-côtes chinois ont effectué une patrouille dans les eaux territoriales des îles Diaoyu appartenant à (la Chine)», a annoncé l'Administration océanique chinoise dans un bref communiqué. De telles incursions suscitent habituellement de vives protestations de la part de Tokyo, qui contrôle ces îles de mer de Chine orientale sous le nom de «Senkaku», mais dont Pékin revendique âprement la souveraineté sous l'appellation d'îles «Diaoyu» en mandarin. Les USA, côté Japon Les relations bilatérales entre les deux puissances asiatiques s'étaient nettement dégradées en 2012 lorsque Tokyo avait «nationalisé» certaines de ces îles. Réplique

Quand la crise oblige à repenser l’économie Depuis le début de la crise mondiale de la Covid-19, les questions sur notre avenir économique se multiplient. Les mesures adoptées par la plupart des gouvernements pour endiguer la diffusion du virus ont entraîné un arrêt brutal de pans entiers de la production et de la demande, au nom de la préservation des vies humaines. En dépit des plans de relance, de nombreux observateurs anticipent une sortie de crise difficile pour les économies. Comment appréhender notre avenir alors que nous sommes encore en pleine pandémie ? Notre modèle économique a-t-il atteint ses limites ? Nous en parlons avec Robert Boyer, économiste au CEPREMAP (Centre pour la recherche économique et ses applications), co-fondateur de l’École de la régulation, et auteur de Les capitalismes à l'épreuve de la pandémie (éd. Robert Boyer Lorsque le plan de relance a été adopté en France, on pensait que l’économie allait reprendre à la fin de l’année 2020. La nouveauté, c’est aussi la synchronisation des économies.

Patrimoine de l’Unesco : kamikazes japonais vs massacre de Nankin Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

Russia says it would be ready to cut EU ties if hit with painful sanctions Kenya. Pour se rembourser, la Chine pourrait s’emparer du port de Mombasa Incapable de payer ses dettes, le gouvernement kenyan sera peut-être contraint de céder la gestion de son principal port à son créditeur chinois. Le Kenya ne serait pas le premier pays à faire les frais de la “générosité” de Pékin. Pour rembourser un crédit, le gouvernement kenyan cédera-t-il la gestion de son principal port à la Chine ? Outre le port de Mombasa, la Chine pourrait décider de mettre la main sur l’entrepôt de containers de Nairobi, containers chargés sur des trains en provenance ou à destination de Mombasa, écrit le site d’information sur l’Afrique récemment créé depuis le Kenya. Si ce scénario se confirme, le Kenya ne sera pas le premier pays à devoir céder la gestion de certaines de ses infrastructures après s’être endetté auprès de la Chine.

La France vue de Turquie : "Je t’aime, moi non plus" Le chaud puis le froid, puis le chaud puis le froid. Les relations entre la Turquie et la France sont complexes, anciennes, faites d’un mélange de complicité et de rivalité. Au-delà de son président, la Turquie regarde la France d’un œil à la fois critique et envieux. Il y a là du "Je t’aime moi non plus". Analyse en cinq points clés : géographie, Histoire, économie, droit et psychologie et sociologie. La géographie La France est regardée par la Turquie comme un pays de taille comparable. Avec une population plus jeune : 2 Turcs sur 3 ont moins de 35 ans. Et puis la Turquie se voit pour ce qu’elle est, une puissance régionale, la puissance régionale de l’Est de la Méditerranée, là où la France est une puissance de l’Ouest de cette même Méditerranée, trait d’union entre les deux pays. L'Histoire La Turquie regarde la France comme un vieil allié. Plus récemment, au XXe siècle, la France a soutenu la naissance de la Turquie moderne avec Kemal Atatürk en 1923. L’économie Le droit

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