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Est-il temps de vous mettre au Cloud ? Février 2017 Stockage en ligne de vos musiques, vos photos, vos jeux ou encore vos documents bureautiques : les offres « Cloud » se multiplient. La rédaction retrace pour vous les enjeux du Cloud, à travers 6 offres distinctes. 1. Le Cloud Computing est devenu un terme à la mode depuis, vous n'avez pas pu y échapper. L'intérêt est d'accéder à ses données depuis n'importe quel ordinateur connecté à Internet et de les synchroniser sur plusieurs appareils. // Quelques exemples d'utilisation Pour illustrer facilement l'intérêt de la chose, imaginez la scène suivante : vous êtes au bureau et rédigez les premières pages d'un rapport à partir d'un logiciel de traitement de texte quelconque présent sur votre poste. Les plus avertis signalerons l'existence d'un bon nombre de systèmes fonctionnant sur ce principe, tel Deezer et Spotify pour la musique, ou encore Gmail, la fameuse messagerie de Google. // Quoi de neuf alors ? 2. Pour plus d'infos : 3. 4. 5.

Le SaaS séduit les responsables RH et les DSI Selon l’étude menée par le cabinet Markess en avril dernier auprès de plus de 145 décideurs RH, DSI, les solutions de gestion des Ressources Humaines en mode SaaS (Software-as-a-Service) ou cloud rencontrent de plus en plus de succès auprès des DSI et des DRH. Une progression qui s’explique par la connaissance qu’ont les DRH du modèle SaaS et cloud que dans les processus RH gérés grâce à de ces solutions. Ainsi, en 2014, 69% des décideurs RH et IT interrogés affirment être « tout à fait familier » avec les modèle SaaS, contre seulement 37% en 2011. Cette année, seulement 6% d’entre eux soulignent n’en avoir « jamais entendu parler » (25% il y a trois ans). Les efforts marketing des éditeurs commencent à porter leur fruit, tout comme la curiosité des responsables RH sur ce modèle de distribution qui a été satisfaite, selon nos confrères d’Itespresso.fr. Les entreprises aujourd’hui sont à la recherche « d’agilité à laquelle sont confrontées la plupart des organisations aujourd’hui.

Cloud : les DSI veulent toujours plus de datacenters en France Pierre Audoin Consultants (PAC) publie la troisième édition de son Cloud index, coup de sonde semestriel sur le niveau de maturité des entreprises françaises vis-à-vis du Cloud. Lentement, mais sûrement, l’indice imaginé par le cabinet d’études et basé sur 135 critères progresse, passant de 443 en juin 2013, à 446 en décembre dernier et à 455 dans la dernière mouture de l’étude que vient de dévoiler PAC. Reste qu’on est encore loin d’un niveau de maturité satisfaisant ou simplement de la moyenne : PAC ayant construit son indice sur une base… 1000. Seulement 11 % des organisations françaises ont réellement arrêté leur stratégie dans le Cloud, stratégie qui revient au DSI dans la plupart des cas (à 55 %). La flexibilité qu’amène le Cloud reste la principale motivation des entreprises : ce critère est cité par 63 % des quelque 200 entreprises et établissements publics sondés par PAC. Reste évidemment le traditionnel point noir : la sécurité. Crédit photo : ® alexyndr – Shutterstock

Cloud : les 5 étapes d’une migration réussie - Silicon Pour de nombreuses entreprises, la migration vers le cloud s’inscrit dans une stratégie plus large répondant à des problématiques business spécifiques. Migrer vers une plateforme en ligne nouvelle reste toutefois un projet ambitieux qui se doit d’être traité avec une solide feuille de route et avec les bons objectifs en tête. Quels usages tireront parti du cloud ? Ressources à la carte, adaptabilité au marché, agilité, réduction des coûts, flexibilité et disponibilité sont autant d’atouts intrinsèques du cloud susceptibles d’apporter une plus-value appréciable à votre business. A condition toutefois de pouvoir en tirer parti. Une infrastructure cloudisée sera extrêmement adaptée à une organisation à l’activité très fluctuante, comme un site d’e-commerce, ou qui nécessite ponctuellement d’importantes ressources de développement. Etape 1 : Cartographier l’environnement en place Etape 2 : Déterminer les candidats à la migration Etape 3 : Choisir le bon partenaire

Les entreprises françaises frileuses face au cloud Si le cloud fait couler beaucoup d’encre et de salive, sur le terrain français, le sujet reste encore théorique pour bon nombre d’entreprises. C’est en substance ce que révèle l’étude State of the Cloud 2011* (téléchargeable ici) consacrée à l’adoption du cloud computing dans les organisations professionnelles et les changements qui en résultent dans leur approche de la gestion de leur informatique que Symantec a présenté à l’occasion de sa conférence annuelle Vision 2011 à Barcelone (Espagne). Selon l’enquête, les entreprises françaises hésitent à basculer leur infrastructure dans le nuage pour des raisons de sécurité. « Les constats de cette enquête confirment ce que nous disent nos clients, justifie Francis DeSouza, président du groupe Enterprise Products and Services de Symantec. Au moment du passage au cloud computing, la sécurité est l’une de leurs principales préoccupations. Manque de compétences Autre frein à l’adoption du cloud, le manque de compétences.

Mobilité et réseaux sociaux, maillons faibles de la sécurité Face à la prolifération des menaces, les entreprises vont intensifier leurs investissements propres à la sécurité en France au cours des prochaines années pour 40% des grands comptes et 26% pour les PME. La protection des données constituerait la priorité pour 87% des organisations dans leur projet de transformation numérique. C’est du moins ce qu’énonce IDC dans une étude réalisée pour le compte de Dell et Intel sur 200 entreprises de plus de 200 salariés basées en France et présentes dans l’ensemble des secteurs d’activité hors administration centrale. Selon l’étude, les préoccupations principales des RSSI se concentrent sur les craintes liées aux pertes de propriété intellectuelle et données personnelles, ainsi qu’à l’atteinte à la réputation de l’entreprise. Montée en charge du MDM La mobilité s’inscrit comme un risque majeur pour 91% des entreprises sondées. La menace des réseaux sociaux Big Data et analytique au service de la sécurité crédit photot © Nikuwka – shutterstock

Comment garantir la sécurité du Cloud public Retentissantes affaires de piratage, pannes médiatisées, risques d’espionnage économique : le Cloud public apparaît comme risqué à plus d’un titre aux yeux d’un DSI. Pourtant, à tête froide, ce type de déploiement ne présente pas, sur certaines plans, plus de risques que des architectures plus classiques. Les pannes, surtout, sont plus fréquentes dans les propres datacenters des entreprises. D’autant qu’il existe aujourd’hui des bonnes pratiques pour sécuriser ses données placées dans le Cloud public. En commençant par mettre en place une vraie gestion des accès à ces services, via par exemple un outil dédié permettant de centraliser les mots de passe ou via l’emploi systématique de la double authentification. Limiter l’accès à des adresses IP correspondant à l’intranet de l’entreprise constitue une autre façon de limiter les risques. Découvrez dans notre dossier des solutions pratiques pour sécuriser les initiatives Cloud des différents métiers de votre organisation.

La France veut une certification pour la sécurité du Cloud « L’approche consistant à contractualiser au cas par cas la sécurité dans chaque projet de mise en nuage montre ses limites », explique l’Anssi. D’où la volonté de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information de mettre au point un référentiel permettant d’auditer et de certifier la sécurité des prestataires de Cloud. Un référentiel qui a vocation à servir dans un premier temps les besoins de l’Etat, mais que pourront ré-exploiter les entreprises. C’est ce document d’une quarantaine de pages que l’Anssi vient de publier sur son site, en appelant les internautes à le commenter. Ces derniers ont jusqu’au 3 novembre pour transmettre leurs remarques, suite à quoi l’Anssi prévoit de procéder à une phase expérimentale « permettant de tester en conditions réelles l’applicabilité de ce référentiel ». L’agence invite les prestataires candidats à cette expérimentation à la contacter. A lire aussi : Pilotage des SI de l’Etat : Jacques Marzin et la Disic prennent la main

Microsoft certifié pour la protection des données personnelles Microsoft annonce aujourd’hui être le premier fournisseur majeur de solutions cloud à adopter la norme ISO/IEC 27018 relative à la protection des données personnelles. Le British Standards Institute a effectué un audit indépendant sur l’offre IaaS Microsoft Azure, ainsi que sur les solutions SaaS Office 365 et Dynamics CRM Online, qui sont tous trois déclarés conformes aux règles de protection des informations personnelles. Bureau Veritas s’est chargé d’auditer la solution Windows Intune. Les règles de la norme ISO 27018 permettent de s’assurer que les données personnelles stockées par les clients de la firme sur ses solutions cloud ne subiront aucun autre traitement que ceux demandés par le client lui-même. Si des données privées doivent être communiquées à des services gouvernementaux, le client sera automatiquement prévu. C’est toutefois ici le pot de terre contre le pot de fer. Crédit photo : © Rangizzz – Shutterstock

Le cloud 3/3 – Ses limites et points faibles 28 septembre 2011 Après avoir défini plus concrètement ce qu’est le Cloud Computing et avoir vu quels outils il propose aux développeurs, nous allons maintenant nous intéresser aux principales limites et faiblesses de cette technologie. En effet, bien que de plus en plus présents dans nos vies de tous les jours qu’elles soient professionnelles ou personnelles, le Cloud n’est pas une solution miracle répondant à tous les besoins. Cet article fait partie d’un triptyque sur le Cloud Computing : La bataille de la standardisation A l’heure actuelle, le principal problème du Cloud est le manque de standardisation. Il est donc vital d’essayer de limiter au maximum cette dépendance et, si elle devient indispensable, de la contenir au maximum via une architecture adaptée. Pour palier à ce problème des solutions multi-cloud commencent à se mettre en place mais restes jeunes. La gestion des défaillances Une autre approche intéressante est celle de NetFlix qui utilise un “Chaos monkey”. Conclusion finale

Photos de stars nues: «Un cloud est censé être sécurisé» - Le figaro VOS RÉACTIONS - Des photos personnelles de célébrités ont été rendues publiques sur le web cette semaine. Les internautes du Figaro donnent leur coupable. Mauvaise rentrée pour Jennifer Lawrence (et d'autres célébrités). L'héroïne de la saga Hunger Games a vu ses photos intimes piratées et circuler partout sur la toile. Les clichés, relayés sans cesse sur les réseaux sociaux, montrent la jeune femme dénudée dans des positions très explicites. Elle a logiquement annoncé porter plainte pour «violation flagrante de l'intimité». Contrairement à ce que pense Bonine, à l'image de d'autres lecteurs, Jennifer Lawrence n'a pas publié ses photos sur le web, de façon à ce qu'elles soient visibles de tous. Alors, à qui la faute? Déjà ajoutée à sa fiche Wikipédia, cette histoire marquera très certainement à sa manière la carrière de la jeune femme.

15% des comptes Cloud piratés en entreprise, selon Netskope Désormais présente en Europe, la jeune pousse californienne Netskope, spécialisée dans la sécurisation des applications Cloud, vient de publier son Cloud Report de janvier 2015. L’étude est basée sur les données agrégées et anonymisées de millions d’utilisateurs via Netskope Active Plaftform. Premier constat : les entreprises ont utilisé en moyenne 613 applications Cloud par organisation au quatrième trimestre 2014 (contre 579 au troisième trimestre) et 20% d’entre elles plus de 1 000. Des identifiants compromis, mais toujours utilisés Les données de 15% des utilisateurs d’applications Cloud en entreprise ont été piratées l’an dernier. Les applications marketing et RH dans l’ombre de l’IT Les applications les moins bien protégées (celles qui se situent en dessous de la moyenne dans le Netskope Cloud Confidence Index) concernent principalement le marketing – les applications Cloud les plus prisées dans l’entreprise –, la comptabilité/finance et les ressources humaines.

Le Cloud avance, la sécurité piétine - Silicon L’usage du cloud se généralise. D’après l’enquête publiée par Dell, neuf entreprises sur dix perçoivent aujourd’hui les bénéfices de l’implémentation de services informatiques en nuage. L’adoption croît donc de façon exponentielle à mesure que grandit la confiance envers les fournisseurs de service. L’utilisation du cloud peut induire des vulnérabilités nouvelles et des besoins spécifiques de protection des données.

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