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Paul Ricœur

Paul Ricœur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Ricœur Philosophe français Philosophie contemporaine Biographie[modifier | modifier le code] Né en 1913, Paul Ricœur, orphelin de mère, perd son père à la guerre en 1915. Trois enfants naîtront avant la guerre, deux après les années de captivité. Les années 1980 consacrent le retour de Paul Ricœur au premier plan de la vie intellectuelle française. Soi-même comme un autre (1990) propose des variations sur le sujet sensible, parlant et agissant. Philosophie[modifier | modifier le code] La phénoménologie[modifier | modifier le code] Sa thèse de doctorat (1950) sur la Philosophie de la volonté est nettement imprégnée de pensée phénoménologique. La phénoménologie n'est cependant pas l'horizon complet de la méthodologie de Ricœur. Pourtant, cette ontologie, comme en témoigne la conférence que Ricœur prononça devant ses maîtres L'unité du volontaire et de l'involontaire comme idée limite, reste une marge, un résidu, de la phénoménologie. Related:  Philosophes - psychanalystes (H)

Gabriel Marcel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gabriel Honoré Marcel, né le à Paris 8e et mort le dans le 7e arrondissement de Paris[1], est un philosophe, dramaturge, critique littéraire et musicien français, représentatif de l'existentialisme chrétien. Sa biographie[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Gabriel Marcel naît le à Paris, fils d’un diplomate agnostique et d’une mère juive qui décède alors qu’il n’a que trois ans[2]. Gabriel Marcel s’est investi en parallèle dans le théâtre. Écrits philosophiques et expériences de vie[modifier | modifier le code] Gabriel Marcel entreprend aussi une thèse consacrée au problème de l’intelligibilité religieuse, qu'il n'achèvera pas. En 1919, il épouse une jeune femme protestante et adopte un petit garçon, Jean-Marie. Conversion au catholicisme et notoriété[modifier | modifier le code] Sa conversion au catholicisme, en 1929, marque un tournant décisif dans son itinéraire intellectuel.

Partie 1 – Les trois propriétés de la couleur Quand j’ai démarré dans la peinture, je me suis souvent trouvé embarrassé devant un enseignant, un artiste ou même en lisant un livre. Ils me parlaient souvent, de couleur chaude, froide, intense lumineuse, mais sans jamais me donner d’explications. Je n’osais leur demander plus d’explications de peur de paraître stupide, ces mots dans leurs bouches paraissaient tellement naturels. Donc voici, un petit article qui répondra à ces questions si vous vous les êtes un jours posées. Les couleurs des objets correspondent à une caractéristique ou un attribut de la couleur ou la qualité de sa caractéristique. 1 – La teinte Une teinte est souvent référencée au nom d’une couleur – (ex rouge, bleu, vert). On dit d’une teinte qu’elle est chaude ou Froide, Les Couleurs froides sont plus proches de bleu sur la roue des couleurs (roue chromatique) tandis que les couleurs chaudes sont plus proches du jaune ou du rouge. 2 – L’Intensité Achromatique Neutre 3 – La Valeur La Luminosité :

Michel Meyer (philosophe) Cet article ou cette section traite d’une personne morte récemment (23 mai 2022). Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’hésitez pas à participer, en veillant à citer vos sources. Les biographies étant habituellement écrites au présent de narration, merci de ne pas mettre au passé les verbes qui sont actuellement au présent. L'emploi des mots « mort » et « décès » est discuté sur cette page.La dernière modification de cette page a été faite le 28 mai 2022 à 20:06. Michel Meyer, né le 11 novembre 1950 à Bruxelles et mort le 23 mai 2022[1] à Waterloo[2], est un philosophe belge, professeur à l'Université libre de Bruxelles et à l'université de Mons. Michel Meyer est économiste et philosophe de formation, licencié en sciences économiques (1973), maître ès arts de l'Université Johns-Hopkins aux États-Unis (1975), agrégé de philosophie (1973) et docteur en philosophie (1977). Le chapitre 4 est dédié à des méditations sur le logos.

Cours : le mélange des couleurs primaires Bienvenue sur NABISMAG, Si vous êtes nouveau ICI, vous voudrez peut être lire mon livre sur les recettes et l'utilisation des médiums, ainsi que des extraits de mon prochain livre La Théorie de la Couleur Mes EBOOKs. Merci de votre visite! Voici quelques cartes de démonstration pour vous expliquer l’utilisation des roues chromatiques et le mélange des peintures. Ces trois couleurs primaires ne doivent être fabriquer avec qu’un seul pigment (voir sur le tube sa composition) et sont nécessaires pour créer toutes les autres couleurs ! Pour commencer, voici une roue de couleurs très basique, montrant les couleurs primaires et secondaires. Ensuite, j’ai fait une autre roue, cette fois j’ai mélangé, une couleur primaire avec sa couleur secondaire la plus proche, j’ai obtenu alors une couleur tertiaire. Exemple : Rouge + Jaune = Orange Couleur secondaire Rouge + Orange = Rouge orangé Couleur Tertiaire Jaune + Orange = Jaune orangé Couleur Tertiaire Source : Julie DUELL

Vincent Descombes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vincent Descombes est un philosophe français, né en 1943[1], spécialiste de philosophie de l'esprit, de philosophie du langage et de philosophie de l'action. Directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales, où il est membre du CRPRA (Centre de recherches politiques Raymond Aron), il est aussi membre associé de l'Institut Jean-Nicod. Il a reçu le Grand Prix de Philosophie en 2005. Biographie[modifier | modifier le code] Vincent Descombes a suivi des études de philosophie et de sociologie à la Sorbonne, où il a obtenu l'agrégation de philosophie en 1967, puis un doctorat de philosophie en 1970 avec une thèse portant sur la philosophie grecque et publiée aux P.U.F. Ses travaux ont d'abord porté sur la psychanalyse en philosophie et sur les grands courants de la philosophie française depuis les années 1930. De 1983 à 1992, il enseigne la littérature française et la philosophie aux États-Unis (à Baltimore puis Atlanta).

Expérimenter le Mélange des Couleurs en Peinture : Repères et Principes À l’échelle de l’histoire de l’Art, la primauté du graphisme dans l’enseignement traditionnel tend à laisser l’enfant au stade antique, ignorant des révélations de la couleur et de la lumière. Expérimenter le mélange des couleurs permet à l’enfant de faire le chemin de cette histoire, à l’échelle de l’individu, et ainsi de révéler des espaces de compréhension propres. Nous proposons ici de redécouvrir à partir du cercle chromatique, les principes de base de la couleur et de ses combinaisons. Cet article se présente comme un support à l’intention des accompagnants de l’enfance, pour une compréhension globale de la couleur et de ses interactions, afin de créer les conditions de l’exploration libre chez l’enfant. Apports pédagogiques Développement sensorielAuto expérimentationDiscrimination visuelleVocabulaireCulture artistique Éléments de compréhension La couleur est une manifestation de la lumière suivant le spectre électromagnétique visible par l’oeil humain. Eugène Delacroix. Téléchargements

Alain (philosophe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'auteur utilisa différents pseudonymes entre 1893 et 1914. Il signe « Criton » sept "Dialogues" adressées à la très universitaire Revue de métaphysique et de morale (dans laquelle il signe par ailleurs plusieurs articles de son vrai nom) ; il signe « Quart d'œil » ou encore « Philibert » ses pamphlets dans La Démocratie rouennaise [2], journal éphémère destiné à soutenir la campagne du député Ricard à Rouen ; enfin « Alain » pour signer différentes chroniques dans La Dépêche de Lorient (jusqu'en 1903) puis dans La Dépêche de Rouen et de Normandie de 1903 à 1914. L'adjectif utilisé et dérivé de son nom est alinien[3]. En 1881, il entre au lycée d'Alençon où il passe cinq ans[4]. À l'approche de la guerre, Alain milite pour le pacifisme. La maison du Vésinet où vécut Alain de 1917 à 1951. Trois associations contribuent aujourd'hui à faire connaître et à diffuser son œuvre en se chargeant de la réédition et de la publication de textes inédits.

Frédéric Worms, La vie qui unit et qui sépare, lu par Pascal Chantier - oeil de minerve ISSN 2267-9243 Frédéric Worms, La vie qui unit et qui sépare, éd. Payot & Rivages, 2013, lu par Pascal Chantier. L’ouvrage relativement court (90 pages), présente un texte revu et enrichi d’abord publié en 2004 dans la revue Kairos de l’université de Toulouse sous le titre « La vie qui unit et qui sépare ? La question philosophique du sens de la vie aujourd’hui ». Il s’agit rétrospectivement, de l’aveu même de l’auteur, d’un texte inaugural, annonciateur des recherches ultérieures. Dans le premier chapitre, Worms distingue et oppose deux situations qui voient surgir cette question existentielle. Dans le chapitre deux, l’auteur s’enquiert des raisons pour lesquelles nous reléguons à l’arrière-plan les expériences relationnelles au profit de la question abstraite du « sens de la vie ». Le chapitre trois est consacré à ces expériences relationnelles entre les vivants, « les expériences concrètes des décès et des deuils, comme aussi des rencontres et des séparations, des amitiés et des violences ».

Emmanuel Levinas Pour les articles homonymes, voir Levinas. Biographie[modifier | modifier le code] De l'Empire Russe à la France[modifier | modifier le code] Emmanuel Levinas est né à Kaunas au sein de l'Empire Russe, aujourd'hui Lituanie, le 30 décembre 1905 (12 janvier 1906 dans le calendrier grégorien). Fils de Jehiel Levyne (Levinas) et de Déborah Gurvic, Emmanuel est l'aîné d'une fratrie de trois garçons ; ses frères s'appellent Boris (né en 1909) et Aminadab (né en 1913). Son père est libraire et la famille parle yiddish, lituanien et russe. La guerre de 1914 pousse la famille à fuir toujours dans l'Empire Russe vers Kharkov dans la région qui est aujourd'hui l'Ukraine jusqu'en 1920. En 1923, Levinas se rend en France à Strasbourg pour suivre des études de philosophie (1923-1927). En 1930, il obtient la nationalité française[2]. Levinas est mobilisé en 1939. En 1945-1946, il est Secrétaire de l'Alliance Israélite Universelle[5]. Expérience de la guerre[modifier | modifier le code] Audiovisuel

Une séance de Kinésiologie Gilles Gaston Granger Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Granger. Gilles Gaston Granger (Paris, le 28 janvier 1920) est un épistémologue et philosophe rationaliste français. Il est professeur émérite à l’université de Provence et professeur honoraire au Collège de France, après y avoir été titulaire de la chaire d’« Épistémologie comparative » de 1986 à 1990[1]. Spécialiste notamment de Ludwig Wittgenstein, il a publié en 1972 une traduction en français de son Tractatus logico-philosophicus qui succède à celle de Pierre Klossowski (1961)[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code] La Raison, Paris, PUF, 1955 ; rééd. 1984.Méthodologie économique, Paris, PUF, 1955.La mathématique sociale du Marquis de Condorcet, Paris, PUF, 1956 ; rééd. Autres publications Bibliographie[modifier | modifier le code] La pensée de Gilles-Gaston Granger, sous la direction d'Antonia Soulez, avec la collaboration d'Arley R. Portail de la philosophie

Qu'est-ce que la symbolique des maladies? La théorie est la suivante : on ne contracte pas une maladie ou un mal par hasard, la maladie est une nécessité psychique comme toute activité humaine. En d’autres termes, avant même de devenir une réalité biologique la maladie répondrait un besoin psychique. La partie biologique est visible, c’est ce qu’on appelle le symptôme. La partie psychique, elle, reste souvent inexplorée. Pourtant, elle est antérieure à la réalité biologique. Elle en serait même la cause ou le déclencheur. C’est le pari qu’a fait le Docteur Pierre-Jean Thomas Lamotte en quittant les hôpitaux de Paris où il était chef de clinique pour exercer la médecine en cabinet en Normandie. Dans les cahiers du Cridhomh , on nous explique : « Dans les cas cliniques bien documentés, la maladie apparaît comme la compensation symbolique d’une souffrance intime gardée, secrète, inavouée, refoulée. En clair, les symptômes sont un mal créé pour en oublier un autre. Pour aller plus loin :

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