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Schumpeter, l' Entrepreneur et la Destruction Créatrice

Schumpeter, l' Entrepreneur et la Destruction Créatrice

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L'entrepreneur selon Schumpeter L’entrepreneur est « le révolutionnaire de l’économie ». Joseph Schumpeter en fait, notamment dans Capitalisme, socialisme et démocratie, l’acteur essentiel de l’évolution économique, un agent radicalement différent du producteur et du consommateur conçus par la théorie économique. Il affirme que l’entrepreneur vit en quelque sorte en dehors de l’économie standard, dont il bouleverse la logique gestionnaire et utilitaire. >> Le capitalisme selon Marx sur un post-it L’entrepreneur est un agent économique exceptionnel. « Destruction créatrice » : pour en finir avec les contresens « Puisque l’on entre dans un monde très schumpétérien, il est important de libérer le processus de destruction créatrice » avançait Emmanuel Macron (interview au Point du 27 août 2017) afin de justifier la réforme du code du travail. Depuis, la référence à la « destruction créatrice » dans le contresens « pour créer du neuf, il faudrait faire table rase de l’ancien » est reprise un peu partout, à tort et à travers. Or, cela peut masquer les véritables enjeux portés par les « révolutions » en cours. Nous proposons ici de revenir sur le concept de « destruction créatrice » dans son sens « schumpétérien ». L’innovation, moteur du capitalisme

Les grands patrons sont-ils trop payés ? Quel salaire perçoivent les grands patrons ? En 2016, aux États-Unis, les patrons des firmes du S&P 500, l’équivalent du CAC40, ont perçu plus de 13 millions de dollars en moyenne, soit 350 fois le salaire moyen américain. Cet écart a été multiplié par près de 10 depuis 1970. En France, le coût annuel d’un PDG du CAC40 pour l’entreprise, représente 93 fois celui du salarié lambda . Les rémunérations des grands patrons sont-elles justifiables ? Le salaire est souvent considéré comme lié à la productivité. Pour une agriculture innovante au cœur des enjeux de recherche : lancement du plan « Agriculture-Innovation 2025 » L’agriculture française fait face à de nombreuses difficultés et les crises qu’elle traverse rappellent l’urgence de l’action. Au-delà des nécessaires mesures de soutien économique, l’agriculture constitue un formidable vivier d’innovations et de créativité. Une partie de son avenir se joue en effet dans sa capacité à mobiliser plus fortement la recherche et à convertir l’avancée des connaissances en autant de bénéfices à la fois en matière de compétitivité et de performance environnementale. Avec près de 10% de la dépense publique de R&D consacrée à l’agriculture et à l’agroalimentaire, la France est un des pays d’Europe qui investit le plus dans cette ambition.

Quel statut juridique choisir pour son entreprise ? Bien choisir son statut juridique Vous ne savez pas quel statut juridique choisir ? Vous pouvez utiliser le simulateur de Bpifrance Création pour trouver le statut juridique susceptible de correspondre à votre situation. Accédez au simulateur de Bpifrance Création Lire aussi : Impôt sur les sociétés ou impôt sur le revenu : quelle imposition selon son statut ? | Micro-entreprise, régime réel et régime de la déclaration contrôlée : les 3 régimes d’imposition des entreprises | Création d'entreprise : les démarches à effectuer

Innovation et progrès. Le progrès est mort, vive l'innovation ! Bonjour Thierry Ménissier, vous êtes agrégé de philosophie et docteur de l’EHESS en études politiques et professeur à l’IAE de l’Université Grenoble Alpes où vous dirigez le master 2 Management de l’innovation et vous êtes aussi membre du collectif Promising (Investissement d’Avenir/IDEFI) visant la création de formations innovantes. Spécialiste d’histoire des idées politiques et de théorie normative, vos recherches actuelles portent sur les relations entre les nouvelles technologies et la société démocratique. Vous êtes l’auteur d’une cinquantaine d’articles dans des revues à comité de lecture, ainsi que de plusieurs monographies mais si nous vous invitons aujourd’hui, c’est donc pour parler d’innovation et des rapports entre innovation et progrès, un thème que vous avez beaucoup étudié. Tout d’abord, comment définir simplement la notion d’innovation ? Il fut analyser la notion d’innovation en la référant à la modernité et au progrès.

La gouvernance de l'entreprise de Roland PÉREZ Les crises financières à répétition qui ont affecté l’ensemble du système financier et l’économie mondiale depuis le début du siècle et les « affaires » qui les ont accompagnées (d’Enron à Madoff…) ont mis en cause le modèle de gouvernance des entreprises concernées et, à travers lui, les dispositifs de contrôle et de régulation du capitalisme contemporain. Qu’est-ce que la gouvernance de l’entreprise ? Quelles sont les composantes d’un système de gouvernance d’une entreprise et, plus généralement, d’une organisation ? Comment ce concept, créé aux États-Unis (corporate governance), s’est-il appliqué hors de ce pays et notamment en France ? Quelles solutions peut-on envisager pour améliorer le mode de gouvernance et éviter que les dysfonctionnements observés ne se reproduisent ?

Le Progrès est mort, vive l'Innovation? HOMO NUMERICUS - On ne parle presque plus de progrès dans nos sociétés, on parle désormais d'innovation. Cette notion de « progrès » a-t-elle encore un avenir ? MARC GIGET - S'il y a eu régression du concept de progrès dans les médias, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Un peu partout dans le monde, on parle beaucoup de progrès, lequel ne signifie pas seulement l'introduction de quelque chose de nouveau dans la réalité (définition de l'innovation), mais de quelque chose de « mieux » : progrès scientifique, progrès social, progrès médical... Il suffit de vérifier sur Google Trends pour voir que, même en France, depuis quelques années, le terme de progrès a repris le pas sur celui d'innovation.

Entreprises et entrepreneurs à travers l'histoire Par Alexis Penot (ENS de Lyon et GATE-CNRS). Dans l'histoire du développement économique de l'Humanité, l'entreprise a joué un rôle moteur dans la multiplication des richesses produites. Le capital, que Drancourt (2002) [1] définit comme «l'ensemble des moyens en argent, en techniques, en savoir faire qui, naissant de l'épargne, peut-être mobilisé pour la production de biens et services», a joué un rôle primordial puisque les changements importants se sont produits dès lors que l'homme a commencé son utilisation.

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