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Pexels - Des milliers de photos libres de droit à portée de clic

Pexels - Des milliers de photos libres de droit à portée de clic
Si vous cherchez des photos pour illustrer vos articles de blog ou pour faire croire à vos amis Facebook que vous êtes un photographe hors pair, je vous invite à vous rendre sur Pexels. Sur ce site, vous trouverez des milliers de photos libres de droits, accessibles via le moteur de recherche, mais aussi classé par mot clé ou dans des Tops. Quand je dis libre de droits, je dis bien sous licence Creative Commons Zero (CC0). Cela veut dire que vous pouvez les utiliser aussi bien pour vos besoins personnels que pour des usages commerciaux, que l'image peut être modifiée, copier et redistribuée gratuitement et vous n'avez pas besoin de demander la permission, de mentionner l'auteur ou de faire un lien. Aucune attribution n'est exigée. La seule limite, c'est de ne pas attenter à l'image d'une personne visible sur l'une des photos. Enfin, une recette IFTTT est également disponible pour ceux qui aiment changer souvent de fonds d'écran Suivez KorbenUn jour ça vous sauvera la vie.. Related:  Arts visuels

Le Met autorise l'utilisation gratuite et sans condition de 375 000 images d’œuvres d'art - Pop culture Le Metropolitan Museum of Art annonce cette semaine l'arrivée d'une licence très permissive pour 375 000 images d’œuvres d'art. Cette nouvelle licence permet à n'importe qui d'utiliser ces reproductions gratuitement et sans condition. C’est une décision formidable pour le domaine public et on espère ardemment qu’elle fera tache d’huile dans tous les musées du monde. Vous voulez voir une interprétation du Couronnement de la Vierge ? Aspect particulièrement enthousiasmant de la démarche du Met, la licence choisie pour l’usage de ces images est très permissive : il s’agit de la licence Creative Commons Zero, la plus souple de toutes celles inventées par l’organisation éponyme : elle permet en effet de tout faire avec l’œuvre, dans les limites de la loi. Typiquement, cette licence permet en France d’utiliser les 375 000 images sans condition préalable et de façon gratuite mais à condition de tenir compte des droits moraux qui ont « un caractère perpétuel, inaliénable et imprescriptible ».

La France refuse de rendre les objets royaux du Bénin Désolé mais c’est non. La France vient de refuser officiellement de rendre les œuvres d’art que le Bénin lui réclamait. «Les biens que vous évoquez ont été intégrés de longue date, parfois depuis plus d’un siècle, au domaine public mobilier de l’Etat français, a écrit le Quai d’Orsay au ministre béninois de la Culture, dans un document que Libération a consulté. Conformément à la législation en vigueur, […] leur restitution n’est pas possible.» De quoi parle-t-on ? De portes de palais, de statues, de sceptres, de bijoux, d’un trône. Les demandes de restitution de leurs joyaux antiques de la part de l’Egypte et de la Grèce sont connues de longue date. «Réparer les crimes du passé colonial» Il faut dire qu’au-delà du simple aspect touristique, ces objets revêtent un caractère symbolique qui justifie, selon le Cran, leur rapatriement. Les artefacts royaux, précisément, «ne sont pas les plus nombreux» parmi les milliers d’œuvres béninoises dispersées à l’époque. Des excuses ? Une pétition

Mère Colère contre Mère Courage Cette photo de Dorothea Lange voulait montrer la souffrance des pauvres , contraints par la Grande Dépression à migrer. Presque rien de cela n'était vrai. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Claire Guillot L'été en séries : Ce que l'on croit voir… 5/6. La Mère migrante, la vraie, n'a jamais correspondu à sa légende, et n'a jamais apprécié d'être réduite à un symbole. Cette femme au visage marqué et au geste inquiet, qui serre contre elle ses trois enfants en haillons, a été photographiée par Dorothea Lange en 1936 au camp de Nipomo, en Californie. Dorothea Lange avait été recrutée par la Resettlement Administration, future FSA, pour illustrer l'action du gouvernement en faveur des travailleurs agricoles migrants. La suite ressemble à un conte de fées : la photographe transmet ses images à Washington, où les autorités font envoyer 10 000 kg de nourriture dans le camp. Son nom n'émergera que quarante ans plus tard. C'est seulement à sa mort que la famille se réconcilie avec l'icône.

Woody Guthrie Woody Guthrie [ˈwʊdi ˈɡʌθɹi][1] (né le 14 juillet 1912 à Okemah, Oklahoma — mort le 3 octobre 1967) est un chanteur et guitariste folk américain. Figure emblématique des hobos (« vagabond » produits par la Grande Dépression), il devient un important porte-parole musical des sentiments ouvriers et populaires. Ses chansons militantes inspirent le renouveau du folk américain des années 1960, à la tête desquelles on trouve des interprètes tels que Bob Dylan, Joan Baez et Phil Ochs[3],[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code] Woody Guthrie est le troisième d'une famille de cinq enfants. Son père, Charley Edwards Guthrie, quitte le sud du Texas et s'installe dans le Territoire indien, aujourd'hui l'Oklahoma en 1897. Sa mère, Nora Sherman Guthrie, s'installe dans la même région avec ses parents autour de 1900[6]. Figure de proue du mouvement folk des années 1960, Woody Guthrie est avant tout un musicien de country. New York[modifier | modifier le code]

1930s-40s in Color | Flickr New Deal Photography / La Photographie du New Deal - USA 1935-1943 Au début, on se dit : "Encore une nouveauté qui ressemble à une vieillerie...". Pour un mardi de rentrée, voyons ce qui se fait de nouveau, de moderne... De fait, le sujet n'est pas nouveau, mais ce livre se révèle passionnant. New Deal-FSA, deux notions qui nous ramènent à la dureté des années 1930, dans ce pays qui n'a pas encore la grandeur qu'on lui connaît maintenant : les États-Unis d'Amérique. Le 24 octobre 1929, un certain Jeudi noir, la Bourse de New York plonge. Dès son élection en 1933, Franklin D. Edwin Rosskam. Ce sera la mission dévolue par la toute nouvelle Farm Security Administration (ou FSA) à sa division de l'Information, dont sa section Historique. Créée pour aider les fermiers les plus touchés et lutter contre la pauvreté rurale, la FSA, d'abord nommée Resettlement Administration, a été confiée par Roosevelt à l'un de ses conseillers économiques, professeur d'économie à Columbia : Rexford Tugwell. Jack Delano. Carl Mydans. Dorothea Lange.

Les Raisins de la colère Les Raisins de la colère (titre original en anglais : The Grapes of Wrath) est un roman de John Steinbeck publié en 1939. L'auteur reçoit pour cette œuvre le prix Pulitzer en 1940. L'intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (la Grande Dépression est une période qui débute lors du krach de 1929 et qui se termine par le début de la Seconde Guerre mondiale, en 1939) et le lecteur suit les aventures d'une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l'Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Alors que la situation est presque désespérée, les Joad font route vers la Californie avec des milliers d'autres Okies (habitants de l'Oklahoma), à la recherche d'une terre, d'un travail et d'un avenir. Résumé[modifier | modifier le code] L'histoire commence au moment où Tom Joad sort de prison. Les Joad empruntent la route 66 pour aller vers l'ouest. Personnages[modifier | modifier le code]

La "Mère migrante" de la Grande Dépression : une vie de battante - 15 août 2016 Pour la deuxième année consécutive, "l'Obs" revient cet été sur les photos qui ont marqué l'histoire. À la une des journaux, dans les pages de nos livres d'école ou arborées fièrement sur nos t-shirts, elles ont fait le tour du monde. Mais connaissez-vous l'histoire secrète de ces clichés mythiques ? Le symbole de la crise économique La dignité. C'est ce qu'inspire aux spectateurs, depuis huit décennies, le portrait de la "Mère migrante" - puisque la postérité a retenu ce nom poour désigner Florence Owens Thompson. Prise en 1936 au bord d'une route californienne, la photographie montre cette femme de 32 ans entourée de chérubins – ses enfants –, tout près d'un camp accueillant quelque 2.500 travailleurs des champs plongés dans la misère. Dorothea Lange, via Libary of Congress Paradoxe : pendant plus de 30 ans, le public n'a presque rien su de Florence Owen Thompson. "Nipomo, Californie, 1936. Dorothea Lange poursuit : "Je ne lui ai pas demandé son nom ni son histoire. Autre révélation.

Dorothea Lange's "Migrant Mother" Photographs in the Farm Security Administration Collection: An Overview The photograph that has become known as "Migrant Mother" is one of a series of photographs that Dorothea Lange made of Florence Owens Thompson and her children in February or March of 1936 in Nipomo, California. Lange was concluding a month's trip photographing migratory farm labor around the state for what was then the Resettlement Administration. In 1960, Lange gave this account of the experience: I saw and approached the hungry and desperate mother, as if drawn by a magnet. The images were made using a Graflex camera. There are no known restrictions on the use of Lange's "Migrant Mother" images. Images in the series are as follows (select the small image to view larger versions through the Prints & Photographs Online Catalog): Note: The Library of Congress does not maintain all of the Internet sites listed below. Contemporary Publications in Which "Migrant Mother" Was Featured: "Ragged, Hungry, Broke, Harvest Workers Live in Squaller." Later Publications Discussing "Migrant Mother":

Farm Security Administration/Office of War Information Black-and-White Negatives - About this Collection - Prints & Photographs Online Catalog Most images are digitized | All jpegs/tiffs display outside Library of Congress | View All The photographs in the Farm Security Administration/Office of War Information Photograph Collection form an extensive pictorial record of American life between 1935 and 1944. This U.S. government photography project was headed for most of its existence by Roy E. Stryker, who guided the effort in a succession of government agencies: the Resettlement Administration (1935-1937), the Farm Security Administration (1937-1942), and the Office of War Information (1942-1944). In total, the black-and-white portion of the collection consists of about 175,000 black-and-white film negatives, encompassing both negatives that were printed for FSA-OWI use and those that were not printed at the time. For a video overview of the collection, see "Documenting America, 1935-1943: The Farm Security Administration/Office of War Information Photo Collection." Research Tips

Dorothea Lange - California Museum Dorothea Lange’s photographs have etched the faces of the poor and forgotten into the American memory. Her compassionate images of disadvantaged Native Americans, displaced families of the Great Depression, and interned Japanese Americans during World War II helped develop documentary photography as we know it today. Born in Hoboken, New Jersey, in 1895, she contracted polio at age seven and was left with a lifelong limp. After studying photography as a young woman in New York City, in 1918 she moved to California and opened her own portrait studio in San Francisco. She made her living taking pictures of the city’s wealthier families, but she was impassioned by the plight of the unemployed and homeless that she saw on the streets around her. In 1933, Lange and her husband, Paul Taylor, documented the grim exodus of farm families escaping the dust bowl, and her powerful images persuaded many of the need for government programs to aid the dispossessed.

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