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L’Étranger lu par Albert Camus

L’Étranger lu par Albert Camus
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Questions envisageables au BAC Ce film d'animation de 2 minutes va vous faire rire par son humour absurde Après des mois de discussions en ligne, l’illustrateur Simz a rencontré sa petite amie en vrai. Il a illustré chaque moment de cette première rencontre. Les relations à distance font peur à nombre d’entre nous. Mais imaginez quand cette relation n’est que, dans un premier temps virtuelle et que deux personnes développent des sentiments l’un pour l’autre sans jamais s’être vues auparavant. Voilà une des magies qu’internet a pu permettre et qui a apparement inspiré l’artiste italien Simone Ferriero, qui se fait connaître sous le pseudonyme de Simz sur les réseaux sociaux. Après plusieurs mois de discussion avec une internaute canadienne dont il est tombé amoureux, Simone a osé faire le grand pas un jour en décidant de prendre un vol pour la rejoindre à Toronto. Le résultat ? On vous laisse découvrir son voyage rempli d’émotions et vous incitons à le suivre sur son compte Instagram. À l’aéroport de Naples (Italie) Crédits : Simone Ferriero, dit Simz Dans l’avion Les ailes de l’avion Les Alpes

Le langage (1) : Barthes et la tyrannie de la langue Le langage n’est pas la langue, la langue n’est pas le discours, le discours est autre que la parole, la parole ne se réduit pas aux mots, les mots sont plus que des lettres, les lettres qui existent sans les sons, les sons qui ne forment pas toujours des phrases, les phrases qui ne constituent pas à elles-seules un langage. Dans le langage, on tourne facilement en rond. Puisqu’en parler c’est déjà le solliciter. Le langage est un pays dans lequel nous pouvons voyager, comme on arpente un terrain familier dont chaque recoin nous paraît, de plus près, étranger. Pourquoi Roland Barthes vit-il le langage comme une maladie ? Eric Marty : La position de Barthes vis-à-vis du langage se caractérise par une ambivalence totale, qui est celle également de tous les penseurs de sa génération. Textes lus Extraits diffusés Musiques diffusées J.S. Bibliographie Écouter 2 min

"L'Étranger" en bande dessinée ! Albert Camus - Jacques Ferrandez. Cette association, les amateurs de bande dessinée en général, et de Ferrandez en particulier, en rêvaient depuis longtemps. Plus précisément depuis 1987 et la série Carnets d'Orient, qui relate la saga d'une famille de pieds-noirs des années 1830 à la fin des années 1950, et qui a séduit des milliers de lecteurs par la flamboyance de ses teintes à la Delacroix et son regard à la fois nuancé et sans concessions sur la réalité de la colonisation. Certes, Ferrandez s'était déjà attaqué à la montagne Camus, mais par un versant accessible, celui de L'Hôte, une nouvelle extraite de L'Exil et le Royaume que le dessinateur a adaptée avec un joli succès (17 000 exemplaires vendus). Cette fois, c'est un pic que vise Jacques Ferrandez puisqu'il a choisi L'Étranger, monument des lettres françaises qui souffre un peu aujourd'hui de son profil de roman pour lycéen préparant le bac français. Découvrez les dix premières planches :

Uniquement en Irlande Certes, peu de gens se rendent en Irlande uniquement pour les plages. Et pourtant ! Il en existe de superbes tout autour de l’île, sauvages et peu fréquentées. Les férus d’Histoire et d’aventures urbaines hors des sentiers battus se feront eux un plaisir de découvrir Kilmainham Gaol, une ancienne prison à présent transformée en musée, au cœur de Dublin. Au-delà des paysages à couper le souffle et de sa riche histoire à découvrir, explorer l’Irlande c’est aussi se retrouver plonger dans une ambiance unique et incroyable. Les fameux pubs irlandais, dont la réputation n’est plus à faire, en sont l’un des principaux exemples : pour écouter de la musique traditionnelle, goûter aux spécialités locales ou même profiter d’une escapade littéraire, il y a un pub pour tout en Irlande ! Alors, vous venez nous rendre visite quand ?

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]

Rhinoceros, Eugene Ionesco Le nazisme, spécificité allemande, par Alain Garrigou (Le Monde diplomatique, janvier 2018) Le premier ouvrage du sociologue Norbert Elias (1897-1990), publié à Bâle en langue allemande en 1939, dut attendre plus de trente ans pour se voir traduit en français, de surcroît, semble-t-il, de façon incomplète : Sur le processus de civilisation parut en deux volumes, La Civilisation des mœurs et La Dynamique de l’Occident (réédités par Pocket en 2003). Dans ce qui peut être considéré comme son œuvre majeure, Elias, Juif allemand exilé en 1935 au Royaume-Uni, étudiait comment, progressivement, au long d’un ensemble d’évolutions des structures sociales, s’élabore un « devenir civilisé », s’agence une nouvelle économie psychique marquée par le développement de l’autodiscipline et la transformation des émotions courantes — honte, pudeur, politesse — qu’induit la concentration par les États des moyens de la violence physique. (1) Norbert Elias, Les Allemands, Seuil, Paris, 2017, 592 pages, 35 euros. (2) Christopher Browning, Des hommes ordinaires, Les Belles Lettres, Paris, 2006.

Frédéric Lordon au Chiapas Texte inédit pour le site de Ballast Frédéric Lordon, que nous avions longuement interrogé pour le troisième numéro de notre revue papier, est l’un des penseurs radicaux les plus stimulants de cette dernière décennie. Économiste et philosophe, il ferraille contre ce qu’il tient pour des impasses, dans les rangs de l’émancipation : l’européisme béat, l’internationalisme incantatoire et le consensus démocratique. Son dernier ouvrage, Imperium, cible notamment la tradition libertaire : si l’intellectuel marxiste loue certains de ses traits, il n’en mord pas moins aux mollets anarchistes en jurant de sa candeur inconséquente. Une vieille querelle politique : Marx et Proudhon avaient ouvert le bal fratricide il y a maintenant deux siècles de cela. Débattre d’Imperium, le dernier ouvrage de Frédéric Lordon, est certainement utile, tant la ligne de clivage entre l’option anti-étatique à laquelle il s’en prend et l’option étatique qu’il défend divise profondément. Une verticalité fourre-tout F.

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