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Le bonheur passe par le bien-être plus que par la richesse

L'argent fait-il le bonheur ? Depuis des siècles, les chercheurs tentent de répondre à cette question. Une nouvelle étude montre que disposer d'importants revenus ne garantit pas d'être plus heureux au quotidien. La recherche du bonheur. Une quête ultime, qui est depuis des millénaires nourrie par les citations, proverbes, et autres pensées laissées ici et là par les personnalités témoins d'une époque et d'une culture. Un proverbe pour le moins pratique: d'un côté, les plus pauvres peuvent y trouver une consolation de ne pas avoir assez d'argent, et de l'autre les riches peuvent se trouver une excuse d'en avoir beaucoup. L'argent fait-il le bonheur alors? Qui est l'auteur de l'étude, et de ce constat? Le bien-être des citoyens est-il la valeur de demain?

Quand les philosophes donnent du sens au travail FOCUS - Nietzsche, Pascal, Socrate, et beaucoup d'autres philosophes permettent de réfléchir au monde du travail contemporain. Le Figaro a compilé cinq concepts simples à méditer. Qui a dit que philosophie et monde du travail étaient deux choses inconciliables? Certainement pas la philosophe Julia de Funès, qui publie aux éditions Flammarion «Socrate au pays des process»*. Dans cet ouvrage, elle raconte sa vision du travail et de la vie de bureau contemporaine avec un prisme philosophique. Après quelques années à travailler en tant que chasseuse de tête où elle se dit aussitôt confrontée au «non-sens absolu», elle donne des conférences et intervient en entreprise. Le «process», le «leadership», le salaire, la «deadline»... 1)L'intelligence d'action d'Aristote. 2) Être habile au sens de Pascal. 3) La justesse au sens de Pascal. 5) Comment être libre en entreprise? *«Socrate au pays des process», Julia de Funès, aux éditions Flammarion, 16 euros.

Management : comment développer le sentiment d’appartenance ? Pour développer un sentiment d’appartenance (Sense of Belonging), un collaborateur doit pouvoir s’identifier à l’équipe, à l’entreprise, ou à la marque pour laquelle il travaille. Cette adhésion, mélange de sentiment d’utilité à un groupe et de solidarité à une équipe, est un indicateur puissant du sentiment d’appartenance. Ainsi, le collaborateur aura plus facilement tendance à adopter les valeurs de l’entreprise, ses codes et son éthique. Il trouvera un sens à son action et sera probablement plus performant. La communication ne constitue pas la démarche, elle l’accompagne Le sentiment d’appartenance suppose toutefois une conviction de base et une implication au plus haut niveau de l’entreprise. Enfin, aucun travail ne pourra s’engager sans avoir préalablement identifié les forces et faiblesses de l’organisation pour définir un plan d’action, mettre en place une politique RH adaptée et former les managers qui seront les premiers relais de la culture d’entreprise.

Le «sens au travail» ou la quête du graal des salariés français Le sens de notre travail est un sujet existentiel qui fait débat dans les entreprises. Une étude menée par le cabinet Deloitte et Viadeo dévoile que 56% des salariés estiment que le sens au travail s'est dégradé. Les tâches que vous réalisez chaque jour au quotidien ont-elles du sens? Vous sentez-vous stimulé par votre poste et ses réalités? In fine, avez-vous le sentiment d'être utile grâce à votre activité professionnelle? Des questions que se posent chaque jours des milliers de salariés français, sans réllement trouver de réponses qui leur conviennent. C'est effectivement le principal enseignement d'une étude «Sens au travail ou sens interdit», réalisée conjointement par le cabinet Deloitte et le réseau social Viadeo pour Wisdom Paris, que s'est procurée Le Figaro. LIRE AUSSI: Ce que votre salaire change à vos priorités au travail Au cours des six derniers mois, près de 80% des salariés français ont évoqué le sens au travail dans leurs discussions quotidiennes.

André Comte-Sponville, philosophe : « Un cadre doit être un professionnel du désir de l’autre » Né en 1952, à Paris, ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie et docteur de troisième cycle, André Comte-Sponville fut longtemps maître de conférences à l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne). Il a publié une vingtaine d’ouvrages, dont un Traité du désespoir et de la béatitude (PUF, 1984 et 1988), un Petit traité des grandes vertus (PUF, 1995), un Dictionnaire philosophique (PUF, 2001, rééd. 2013), Le capitalisme est-il moral ? (Albin Michel, 2004, rééd. 2009), et L’esprit de l’athéisme (Albin Michel, 2006). Son livre le plus récent : C’est chose tendre que la vie (Albin Michel, 2015). Vous intervenez régulièrement dans des colloques sur le management, tant dans le public que dans le privé. Je leur dis d’abord qu’ils font un métier très difficile. « Le travail, sauf exception, n’est pas d’abord un plaisir ou une vocation, mais une contrainte. » Ce que cherchent les salariés, c’est le bonheur. La « valeur » travail est donc une fable… Oui. Comment ? Pas du tout.

Etude sur le sens au travail Pour construire du sens, chacun d’entre nous doit donc pouvoir déployer sa pensée. Et pas seulement sur un mode logique mais aussi sensible, en reliant des désirs, des représentations, des affects, des souvenirs… Ainsi, le sens au travail prend vraiment sa source dans l’expérience d’un individu ou d’un collectif : il est impossible de le prescrire en l’imposant de l’extérieur. Bien sûr, une partie du processus de construction du sens au travail se loge dans les conditions et l’organisation du travail. Mais si les organisations veulent se saisir de cette question, et notamment parce qu’elles espèrent accroître l’engagement des individus, elles devront surtout rester vigilantes à laisser à chacun la liberté et les espaces qui lui permettent de construire et déterminer le sens qu’il donne à son travail. Force est de reconnaître que ces espaces existent peu. Une nouvelle dimension du leadership pour une performance plus équilibrée et plus durable.

Sentiment d'appartenance en entreprise Développer le sentiment d'appartenance de vos collaborateurs est d'autant plus crucial aujourd'hui que s'étend le phénomène de travail à distance (de chez soi ou chez un client) ou du travail mobile. L'enjeu réside pour l'entreprise dans la gestion des hommes, la coordination et la communication quand il est avéré que seul un sentiment d'appartenance à l'entreprise (mélange de sentiment d’utilité à un groupe et de solidarité à une équipe) partagé par au moins 80% des collaborateurs est un gage de réussite dans la mise en place de la qualité totale ou la réorganisation du travail. Ce qui s'avère on ne peut plus logique quand le sentiment d'appartenance aura un impact non négligeable sur l'absentéisme, le turnover, la motivation, l'estime de soi et l'acceptation du changement. Reste à savoir comment développer ce sentiment d'appartenance. 1. Du coup, pour donner à ces jeunes l'envie de rester, l'entreprise devra opérer une mutation déjà en marche :

Pyramide des besoins Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation. Les besoins s'inscriraient dans le cadre d'une hiérarchie. En conclusion, lorsqu'un groupe de besoins est satisfait un autre va progressivement prendre la place selon l'ordre hiérarchique suivant : besoins physiologiques > besoins de sécurité > besoins d'appartenance et d'amour > besoins d'estime > besoins d'accomplissement de soi. Remarque : lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées, notamment du fait que Maslow n'a jamais représenté sa théorie sous forme hiérarchique[1].

Motivation - La pyramide des besoins selon Maslow - Management Selon Maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses besoins. Les travaux de Maslow (1954) permettent de classer les besoins humains par ordre d’importance en 5 niveaux. Ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu ; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant. La pyramide des besoins de Maslow L’idée est qu’on ne peut agir sur les motivations "supérieures" d’une personne qu’à la condition expresse que ses motivations primaires (besoins physiologiques et de sécurité) soient satisfaites. Les besoins physiologiques Les besoins physiologiques sont des besoins directement liés à la survie de l’individu ou de l’espèce Ce sont typiquement des besoins concrets (manger, boire, se vêtir, se reproduire, dormir...). A priori ces besoins sont satisfaits pour la majorité d’entre nous, toutefois nous ne portons pas sur ces besoins la même appréciation. Les besoins de sécurité avoir des amis

Développement du sentiment d'appartenance Quel est le pourcentage d'employés et de cadres vraiment engagés et mobilisés au sein de votre entreprise? Nos services INTRODUCTION Les entreprises performantes partagent la caractéristique et la capacité de développer chez leur personnel un sentiment d'appartenance élevé qui se traduit par un engagement, un état de mobilisation et un rendement supérieurs. Hermann Simon, après avoir étudié attentivement des PME performantes, concluait, dans l'édition d'avril 1992 du Harvard Business Review, que " la stratégie de niche, l'intégration du marketing et de la technologie, la relation de partenariat avec les clients et l'identification du personnel à l'entreprise " constituaient les principaux facteurs de compétitivité de ces entreprises. Nous avons nous-mêmes répertorié et examiné plus de 3,000 études récentes qui portent sur les effets individuels et organisationnels du sentiment d'appartenance. Ces études ont été effectuées aux États-Unis, en Europe et en Asie.

Burn-out au travail: managers, salariés, comment repérer les signes avant-coureurs pour éviter le pire 1. Des profils plus exposés "Le syndrome d'épuisement professionnel, aussi baptisé burn-out, touche généralement des personnes très engagées dans leur travail. Elles sont volontaires, s'investissent dans les projets de l'entreprise et démontrent une motivation très forte", décrit Gaëtan Dallemagne, psychologue du travail, responsable adjoint études à l'Institut d'accompagnement psychologique et de ressource (IAPR). Des secteurs sont également plus exposés que d'autres, comme les professions libérales, les activités médico-sociales ou encore le secteur des transports (cf. encadré ci-dessous). >> A LIRE AUSSI Comment ce patron a surmonté son burn-out 2. Processus long et insidieux, le burn-out peut couver pendant des semaines, des mois, voire des années avant d’exploser. 3. «Le signal le plus facilement repérable reste le changement de comportement. 4. La rumination est également un autre signal d'alarme à ne pas prendre à la légère. Comment réagir? Au niveau personnel.

Mécénat Écrit par B. Bathelot, modifié le 19/02/2021 Glossaires : Publicité médiaMarketing du luxe Le mécénat est un soutien financier ou matériel apporté par une entreprise ou un particulier à une action ou une activité d'intérêt général (culture, recherche, humanitaire, solidarité,...). Le mécénat se distingue généralement du sponsoring ou parrainage par la nature des actions soutenues et par le fait qu'il n'y a normalement pas de contreparties contractuelles publicitaires au soutien du mécène. Le mécénat correspond généralement à des objectifs d'image et de communication, de responsabilité sociale et de mobilisation interne des salariés. Le soutien apporté par l'entreprise mécène peut être monétaire (mécénat financier), matériel (mécénat en nature) ou passer par la délégation de compétences (mécénat de compétences). Une présentation sur les principes du mécénat sur son impact fiscal : Quelques exemples de mécénat : Proposer une modification

Ce document nous offre un avis controversé: l'argent ne fait pas le bonheur by camlise Mar 7

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