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Les algorithmes comme construction sociale : rencontre avec Cathy O’Neil

TTSO Time to Sign Off Si vous avez passé la journée à penser à eux (et en particulier à lui) Devant le Sénat, les services US de renseignement affirment que le gouvernement russe est derrière l'ingérence dans l'élection américaine, le FBI s'est également rangé à cette opinion / Seul Trump conteste – Double explosion à Izmir (Turquie), un policier et un huissier tués, deux assaillants abattus par la police – Arguant que "le vrai choix des électeurs" PS sera entre Macron et lui-même, Mélenchon déclare "A quoi bon un candidat du Parti socialiste ?" Sondage Elabe/Les Echos : Fillon en nette perte de vitesse (-8 points / dévisse chez les femmes et même chez les plus de 65 ans !) Ça laisse quand même rêveur Le compte-rendu de la réunion de la Fed (la Banque centrale US) hier apporte une nouvelle preuve de ce que sera le grand combat 2017 : Trump et sa politique de relance vs Janet Yellen (la patronne de la Fed) qui relèvera les taux pour éviter la surchauffe et le dérapage de l'inflation. En lire plus dans La Tribune

Quelle stratégie IT pour supporter la transformation digitale en 2017 ? - IT Social | N°1 des tendances de l'entreprise digitale et collaborative Les dirigeants de l’entreprise et cadres des métiers doivent adopter dès aujourd’hui une stratégie pour améliorer les chances de succès de leur organisation. Voici quelques axes d’actions à mener dans les IT qui en seront le support. Quelques soient les tendances technologiques et les opportunités de business qui se présentent, le succès ne sera au rendez-vous que si l’entreprise adopte une stratégie de transformation digitale. Cette dernière imposera l’adoption de nouveaux modèles économiques, mais aussi de nouveaux modèles IT et d'infrastructure opérationnels. L’entreprise doit se préparer à ces changements, qui peuvent également nécessiter une refonte de leur cœur de métier, car ce qui peut réellement conduire au succès, c’est la conception de l'expérience client. 6 axes stratégiques IT Gestion des services IT Optimiser le risk management Image d’entête 503916606 @ iStock HerminUtomo

RSLN | Ces chercheurs qui pensent la société numérique A l’heure où 50,7% des Français se connectent chaque jour à Internet sur leur smartphone, où les réseaux sociaux ont acquis une place considérable – de l’information à la conversation –, et où l’éducation est de plus en plus pensée à l’aune du numérique, il paraît plus que jamais nécessaire d’interroger notre société numérique. Comprendre les usages et pratiques qui rythment le quotidien, c’est aussi comprendre comment les citoyens vivent ces mutations et se les approprient, pour être en mesure d’y apposer un regard critique déterminant. L’attention est-elle le nouveau mal du siècle ? Yves Citton, professeur de littérature française du XVIIIe siècle à l’université de Grenoble-3 et co-directeur de la revue Multitudes, s’est penché sur cette question d’autant plus prégnante à l’heure où émergent des mouvements dits « déconnexionnistes ». Pour lui, on aurait tort de comparer notre lien à la connexion à une addiction :

« L'homme de Davos » est mort, la fin du monde sera numérique La 47ème édition du forum économique mondiale à Davos avait cette année des allures d'enterrement. L' « homme de Davos », archétype de l'élite mondialisée convaincue que la mondialisation est bénéfique dans un monde devenu plat, comme l'avait défini l'éditorialiste du New York Times Thomas Friedman, a pris un sérieux coup sur la tête en 2016 avec le vote du Brexit en Grande-Bretagne puis l'élection de l'imprévisible (et imprévu) Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. L'édition 2017 du forum de Davos a été dominée par ces nuages protectionnistes et a pris du coup une coloration nettement plus politique que d'habitude. La Chine, qui n'est pas exactement le berceau de la démocratie, venant donner des leçons de libre commerce à Davos, voilà qui est nouveau. Jack Ma fait la leçon à l'Amérique Une mondialisation « inclusive » Certes, il y a des inconnues : sur la façon dont la nouvelle administration compte financer cette politique et sur « l'ajustement des accords commerciaux ».

Ceci n'est pas une libellule mais un drone - Sciencesetavenir.fr CYBORG. Prenez une libellule. Collez-lui sur le dos un peu d’électronique, des algorithmes et autres capteurs. Vous obtenez une espèce de drone vivant, capable de réaliser sur commande, des opérations de surveillance, de transporter des charges légères, voire si besoin, d’assurer les fonctions de pollinisation en volant de fleur en fleur. L’idée de concevoir des microdrones discrets est presque aussi ancienne que le concept de drone. Les missions potentielles que pourraient effectuer des microdrones. DRONE. Le système de navigation autonome n’est pas détaillé par les scientifiques. Ce drone libellule n’est donc pas encore opérationnel.

La blockchain s'attaque au coton (avant d'envahir le monde) | Usbek & Rica Depuis son invention il y a huit ans, la technologie blockchain ne cesse de se trouver de nouveaux débouchés. Si elle reste très majoritairement utilisée pour des transactions financières, sa récente arrivée dans le monde du négoce international préfigure sa possible généralisation. Entre économie collaborative et libertarianisme, son potentiel est ambivalent. Pour le coup, le numérique fait dans le concret. Un bon vieux chargement de coton, transporté par bateau du Texas vers la Chine. Voilà le contenu de ce qui restera dans l’histoire comme la première transaction de négoce réalisée par la technologie blockchain. Cette méthode de transmission et stockage d’informations ultrasécurisée était jusqu'alors utilisée presque exclusivement pour des transactions financières. « Imaginez un très grand cahier, que librement et gratuitement, tout le monde puisse lire, sur lequel tout le monde puisse écrire, mais qui soit impossible à effacer et indestructible » Inviolée depuis 2008 Enthousiasmant ?

Reconnaissance vocale : l'ordinateur au niveau de l'homme « Il y a cinq ans je n’aurais jamais imaginé que nous pourrions réaliser cette performance. Je ne pensais pas que ce serait possible. » Il y a un mois, l’équipe de chercheurs de la cellule de Microsoft Research dédiée à la parole et au discours atteignait 6,3% de taux d’erreur par mot (WER – word error rate) avec leur logiciel de reconnaissance vocale. Désormais, le groupe vient de franchir un nouveau palier en obtenant seulement 5,9% de taux d’erreur par mot. « Cet accomplissement est le point culminant de plus de vingt ans d’efforts », a déclaré Geoffrey Zweig, directeur du groupe de recherche. Pour la première fois, une intelligence artificielle peut en effet reconnaître les mots d’une conversation aussi bien que le ferait une personne. « Nous avons atteint la parité humaine. C’est un accomplissement historique », confirme Xuedong Huang, chief speech scientist. La prochaine étape pour les chercheurs ? Pour en savoir plus, c’est par ici.

Des chercheurs franchissent un cap dans le stockage de données dans de l'ADN Un groupe de chercheurs a réussi à stocker une grande quantité d’informations dans des brins d’ADN, en atteignant une densité théorique record de 215 pétaoctets par gramme. Une technique qui ouvre de vraies pistes sur le stockage pérenne d’informations, avec de sérieuses limitations toutefois sur le coût et le temps. L’idée d’utiliser de l’ADN pour stocker des données initialement électroniques n’est pas nouvelle. Des travaux sont menés en ce sens depuis des années, puisque l’acide désoxyribonucléique – de son vrai nom – est une molécule conçue justement pour transporter de l’information. Une idée qui n'est pas neuve... Dans la revue Science, les chercheurs Yaniv Erlich et Dina Zielinksi et leur équipe ont mis au point une nouvelle technique. Pour comprendre la technique utilisée, il faut rappeler quelques bases. ... les problèmes non plus Le principal problème dans le stockage d’une information dans de l’ADN est la fiabilité de la retranscription. Ajouter des données de redondance

Projet Catapult : ce que les puces FPGA changent au traitement des données De 4 secondes à 23 millisecondes. C’est le record de vitesse de calcul d’algorithmes atteint par les nouvelles puces FPGA (Field Programmable Gate Array), conçues par les chercheurs de Microsoft Research dans le cadre du projet Catapult, débuté en 2010. Ces puces FPGA remplacent peu à peu les processeurs classiques au sein des serveurs du groupe pour accompagner les technologies liées à l’intelligence artificielle. Ces puces sont en effet capables d’être configurées à de multiples reprises (sans qu’elles ne cessent de fonctionner) pour effectuer des tâches spécifiques. Les FPGA « coûtent moins de 30% de la totalité des composants d’un serveur et consomment moins de 10% d’énergie, pour une vitesse de transmission des données multipliée par deux« , explique Wired. « C’est une façon très différente de voir le monde, de l’appréhender », explique Doug Burger responsable du projet chez Microsoft Research. Pour en savoir plus, c’est par ici.

RSLN | Quel est l’impact environnemental d’un e-mail ? Pour la plupart des utilisateurs, appuyer sur le bouton «envoi» d’un email est une action complètement virtuelle. Pourtant, des data center aux ordinateurs ou smartphones utilisés, l’envoi d’un e-mail consomme une part non négligeable de l’énergie produite sur Terre. Avec des conséquences bien réelles sur les émissions de gaz à effet de serre ou l’extraction des matières premières. Surtout si, comme le prédit le Radicati Group, nous passons de 4,4 milliards de comptes e-mail en 2015 à près de 5,6 milliards en 2019. Le trajet d’un e-mail de l’envoi à la réception : des kilomètres de câbles, des milliers de serveurs… Lorsque vous envoyez un e-mail à votre correspondant, ce message suit un trajet et parcourt des infrastructures très concrètes, sans parler du device que vous utilisez, qui consomment de l’énergie électrique. … et des impacts environnementaux importants Cette consommation d’énergie a un impact environnemental non négligeable. Quelques bonnes pratiques

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