Beezik, Deezer, le Geste, Orange et Starzik créent l’ESML, Syndicat des Editeurs de Service de Musique en Ligne L’ESML est né aujourd’hui à l’occasion de la signature des 13 engagements pour la musique en ligne. Un accord a été signé par Beezik, Deezer, le Geste, Orange, Starzik et Frédéric Mitterrand, Ministre de la Culture et de la Communication, en conclusion de la mission menée par Emmanuel Hoog. Pour les éditeurs de service de musique en ligne, ces engagements assurent l’accès aux catalogues dans des conditions économiques plus équilibrées et plus transparentes, en particulier en ce qui concerne le renouvellement des contrats, les avances, les minimums garantis et la répartition avec les ayants droit. Les engagements impliquent également les pouvoirs publics et le suivi de leur mise en oeuvre est confié à l’Hadopi. L’ESML devient ainsi l’interlocuteur et le partenaire naturel des autres organisations représentatives de la filière musicale (SACEM, SNEP, UPFI, ADAMI, SPEDIDAM,…) ainsi que des pouvoirs publics et de l’Hadopi. Les trois principales missions de l’ESML seront:
La musique a le blues - AgoraVox le m dia citoyen Paradoxalement, dans une société où la musique n’a jamais été aussi importante, les artistes vivent difficilement de leur métier. Les ventes de disques sont en chute libre et tous ne peuvent pas assurer leurs revenus par les concerts et les produits dérivés. Entre les prix trop élevés exercés par les majors et les mesures juridiques inefficaces contre le téléchargement, quel avenir peut-on imaginer pour les artistes ? On le sait, l’industrie de la musique est en crise depuis l’apparition de nouvelles technologies remettant complètement en cause les modes de distribution traditionnelle des majors (Universal, Sony, Emi, Warner). Comme si cela ne suffisait pas, le téléchargement illégal s’est transformé, grâce à la généralisation de l’accès à internet en haut débit, en « major’s killer”. Face à la tentative ratée de créer de nouvelles législations protégeant l’artiste, ses revenus et par conséquent, les royalties des majors de la musique, ces derniers tentent de s’organiser.
Musique de pub Oxmo Puccino pour Nike (2011) Oxmo Puccino en musique de pub pour Nike : c'est le nouveau spot publicité TV 2011 de la marque, responsable des nouveaux maillots de l'Equipe de France "sobres et classes à la fois". Ne cherchez pas le titre d'Oxmo, il ne s'agit que d'une tirade, interpreté par le charismatique rappeur mais déclamée par Cyrano de Bergerac, héros de la pièce de théâtre d'Edmond de Rostand. Une pièce et une tirade plutôt appropriée pour cette publicité, où l'on voit quelques prouessses de et ou encore Le texte interprété par Oxmo est posé sur la musique de Karl Jenkins " Palladio" for String Orchestra , à télécharger ici. {*style:<b> </b>*}{*style:<b> " </b>*}Élégant comme Céladon, Agile comme Scaramouche,Je vous préviens, cher Myrmidon, Qu'à la fin de l'envoi je touche !
De la musique dans Google Docs ? La rumeur a visiblement ses tendances. Et il semble bien que les bruits du moment tendent à vouloir fusionner des services. Preuve en est d’abord avec ce récent buzz de la fusion éventuelle du navigateur Safari et iTunes de Apple ; et ce nouveau ramdam numérique qui évoque la possible arrivée d’un service musical dans Google Docs. Même si tout cela reste hautement hypothétique, il convient de lister les principaux avantages de la fusion de services et/ou logiciels : moins besoin de soutien médiatique pour le lancement du produit puisqu’il s’appuie sur la popularité d’un service existant ajout de nouvelles fonctionnalités pour chacun des services fusionnés simplicité d’accès pour les utilisateurs Mais ce dernier bruit sur l’hypothétique arrivée d’un service musical dans Google Documents ne sort pas de nul part. L’arrivée récente de la lecture vidéo dans Google Docs serait-elle un signe annonciateur du lancement d’un service de streaming musical pour Google ? Source (en anglais)
Belgium iPhone » iTunes voué à devenir une application web De nouvelles rumeurs ressurgissent quant à la disparition prochaine du logiciel iTunes sur Mac et PC. Celui-ci serait voué à être remplacé par une application web intégrée exclusivement dans l’explorateur Internet Safari. Ces informations se basent sur le fait qu’Apple serait fin prêt à exploiter la technologie notamment précédemment utilisée par Lala (la musique en streaming) et le nouveau centre de données basé en Caroline du Nord (États-Unis). De cette manière, l’utilisateur pourrait ainsi retrouver facilement l’ensemble de “ses contenus” à travers l’application web, via streaming, et pourrait en tirer profit à partir de tous ses périphériques (ordinateurs et iDevices). Enfin, cette récentes rumeurs affirment que le nouvel iTunes ou plutôt cette nouvelle application web pourrait être lancée à l’automne de cette année. Réagissez sur le forum.
Replay > Une charte pour la musique sur Internet… avant la prochaine Depuis quelques années, les industries culturelles, notamment celle de la musique, tentent de s’adapter à la donne Internet avec un outil de prédilection: la charte. La beauté d’une charte tient dans la participation de différents acteurs, publics et/ou privés, qui s’engagent à quelque chose sans avoir besoin d’y être contraints par une loi. C’est donc avec enthousiasme que, dans un communiqué de presse, le Syndicat national de l’édition phonographique (Snep) a salué lndi 17 janvier la signature de la charte « 13 engagements » par le ministère de la Culture, les ayants-droit du secteur du disque et les services de distribution de musique en ligne. Cette charte, comme la plupart du temps, est le résultat d’une mission mise en place par les pouvoirs publics pour lister une série de mesures répondant à un problème précis. «13 engagements» Du métier, le secteur en déjà pas mal côté chartes et missions de réflexion. A quand la prochaine ? Rating: 0.0/10 (0 votes cast)
Musique en streaming : Jiwa rouvre enfin ses portes Il avait dû baisser le rideau face à son incapacité à répondre aux demandes financières extravagantes de certaines maisons de disques, qui ont eu sa mort. Mais Jiwa, le concurrent français de Deezer, va renaître de ses cendres ce vendredi 21 janvier 2011. La renaissance arrive bien plus tard que ce qu'avait espéré la société Digiteka, qui l'avait racheté en octobre après sa mise en liquidation judiciaire, et dans une forme provisoirement réduite, mais elle se produit enfin. L'été dernier, la fermeture de Jiwa avait fait prendre conscience aux pouvoirs publics de la responsabilité des majors dans le manque de dynamisme des offres de musique en ligne. Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand avait confié à Emmanuel Hoog le soin de concilier éditeurs de services et acteurs de la filière musicale, pour aboutir à 13 engagements rendus publics lundi dernier. Pour sa réouverture, Jiwa aura le même design que l'an dernier, mais un nouveau site est en cours de développement.
MegaMP3 : musique mobile sur abonnement, la fausse bonne idée ? Les acteurs de la musique en ligne s’engagent à plus de transparence Les acteurs de la musique en ligne veulent rendre ce secteur plus transparent. Suite à la fin de la mission de médiation d’Emmanuel Hoog qui lui a été confié en 2010 par Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture et de la Communication a officialisé ce 17 janvier la signature d’une charte portant sur 13 engagements pour la musique en ligne. Elle a été signée par des représentants de producteurs de disques (SNEP, UPFI, SPPF, SCPP), la SACEM, des représentants des artistes-interprètes, ainsi que par des services de diffusion de musique, comme Deezer, Beezik, Orange, Starzik et le GESTE (Groupement des Editeurs de Services en Ligne). Ces derniers ont même à cette occasion annoncé la création du ESML, le syndicat des Editeurs de Services de Musique en Ligne. Par cet accord, les éditeurs de services de musique en ligne s’engagent à assurer l’accès à leurs catalogues « dans des conditions économiques plus équilibrées et plus transparentes ». L’Hadopi est ravie
Google Music fait une apparition dans Gingerbread ? On murmure son nom tout bas depuis des mois mais on sait encore très peu de choses à son sujet. Google Music, comme on l’appelle entre amateurs éclairés, pourrait s’imposer comme une offre à mi-chemin entre Spotify et iTunes. Il y serait question de musique et de dématérialisation. L’utilitaire en question, c’est celui dédié à la synchronisation. La question qui reste en suspens, c’est de savoir si Google Music existe, bien sûr, mais aussi quelles sont les fonctionnalités qui pourraient être proposées par le service. Achat de titres et d’albums (genre iTunes).Ecoute musicale en streaming (genre Spotify).Synchronisation de la bibliothèque musicale de l’utilisateur.Synchronisation dans Android + mode hors ligne (ha ha).Partage de titres et d’albums avec ses amis.Intégration de lyrics + support de Google Translate.Intégration d’un lecteur dédié dans Gmail.Intégration d’un lecteur dédié dans Chrome.Abonnement à un genre musical par Flux RSS.Etc… Via
MIDEM 2011 : Le paradoxe français ? » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques Du rapport Zelnik à Hadopi, on doute de la pertinence des mesures politiques francaise de soutien à l'industrie musicale. Dans le même temps, la France s’apprête à accueillir l'événement international phare de l'industrie. Paradoxe ? L’édition 2011 du plus grand salon professionnel de l’industrie musicale, le MIDEM, démarre dès ce week end à Cannes. Emily d’Unicum Music nous livre son point de vue sur le décalage entre une politique économique française rétrograde dans son soutien à l’industrie, et l’accueille de cet évènement international phare. A peu près au même moment l’année dernière où étaient réunies en France pour le sommet annuel du MIDEM tout ce que l’industrie musicale mondiale compte de personnes visionnaires et influentes, M. L’idée n’est pas ici de disséquer ce rapport. Le disque, le disque, le disque ! « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ». L’exception culturelle ? Mais pourquoi ce manque de confiance ? Le MIDEM est dans une semaine.
L'Hadopi nomme un hadopi-sceptique pour conduire une mission Emmanuel Hoog a remis lundi au ministère de la Culture un accord passé entre les ayants droit de la musique et les éditeurs de plateformes de musique en ligne, qui a abouti à une série de 13 engagements . La licence de gestion collective, à laquelle aurait dû aboutir ces négociations, a été enterrée, comme on le savait déjà depuis près d'un an . Elle aurait permis d'autoriser n'importe quel éditeur à exploiter commercialement le catalogue de toutes les maisons de disques, à des conditions tarifaires communes pour tous. A la place de la gestion collective obligatoire, les maisons de disques se sont engagées à publier leurs conditions générales de vente pour qu'elles soient les mêmes pour tous, à assurer une certaine pérennité aux contrats, à justifier les avances sur recettes demandées, à faire preuve de transparence sur les minima garantis demandés,... autant de mesures qu'il faut applaudir, parce qu'elles régulent enfin un secteur qui était resté sans foi ni loi.
Le téléchargement illégal pèse toujours sur les ventes musicales mondiales en 2010 La cérémonie sera retransmise le 10 mai sur France 3. Show, invités surprises: cette édition pourrait être celle du renouveau, y compris pour l'audience de France 2. Cette 21e édition sera retransmise en direct d'Aix-en-Provence. La cérémonie sera retransmise sur France 2 le 14 février. Un aperçu du premier Taratata de l'année. Deux catégories de radios sont particulièrement concernées. Sur la bande son du douzième épisode (ce week end), 3 titres du nouvel album du boss. Ouverture des festivité dès le 6 mai avec les demi-finales. Le finaliste de la deuxième édition revient avec un album de reprises et le clip de son titre inédit "Merci". Documentaire. La jeune lauréate de l'émission musicale de D8 se lance dans le grand bain. Le nouveau rendez-vous musical du dimanche sur France 3 sera présenté par la chanteuse Natasha St-Pier. Jeune Palestinien de la bande de Gaza, Mohammad Assaf s’est produit hier soir près du mausolée Yasser Arafat. Journée spéciale à partir de 16h40 sur Arte