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Obésité

Obésité
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». À la base, l’obésité résulte d’une consommation trop grande de calories relativement à la dépense d’énergie, durant plusieurs années. On doit distinguer l’obésité de l’embonpoint, qui est aussi une surcharge pondérale, mais moins importante. Pour sa part, l’obésité morbide est une forme d’obésité très avancée. Elle serait si dommageable pour la santé qu’elle ferait perdre de 8 à 10 années de vie54. Diagnostiquer l’obésité On ne peut se fier uniquement au poids d’une personne pour déterminer si elle est obèse ou si elle fait de l’embonpoint. L’indice de masse corporelle (IMC). Des chercheurs travaillent à mettre au point de nouveaux outils de mesure de l’excès de graisse. L’obésité en chiffres La proportion de personnes obèses s’est accru au cours des 30 dernières années. Voici quelques données. Des causes multiples

Surpoids et obésité : repérer plus tôt et mieux prendre en charge L'équilibre alimentaire : le régime anti diabète Compte tenu de ses effets sur la glycémie et l’équilibre glycémique, l’équilibre alimentaire est une préoccupation constante pour la personne diabétique qui doit bien choisir ses aliments et connaître les équivalences glucidiques. Manger varié, sain, équilibré (avec plaisir) pour être en bonne santé, c’est possible ! Il faut pour cela être vigilant dans chaque situation de la vie courante où les occasions de manger trop gras et trop sucré sont nombreuses. Y-a-t-il un régime ou une diététique pour les personnes diabétiques ? Aujourd’hui, on ne parle plus de régime pour personnes diabétiques. Une vidéo d'animation sur équilibre alimentaire et diabète Les grands groupes d’aliments Selon leurs apports nutritionnels, les aliments sont classés en 7 grands groupes contenant diversement : des glucides (les sucres), des lipides (les graisses) et des protéines (viande, poisson) Comment utiliser les groupes d’aliments ? 1 crudité au moins (un fruit ou légume cru) Portion de viande ou poisson ou œufs

Obésité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'obésité est l'état d'un individu ayant un excès de poids par augmentation de la masse adipeuse[1]. L'obésité se définit par un indice de masse corporelle supérieur à 30. L'obésité humaine a été reconnue comme une maladie en 1997[2],[3] par l'OMS. Cette organisation définit « le surpoids et l'obésité comme une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé. » Sa prévention est un problème de santé publique dans les pays développés. Elle peut avoir des répercussions importantes sur la santé de l'individu. Cette maladie multifactorielle est considérée aujourd'hui par métaphore comme une pandémie, bien qu'il ne s'agisse pas d'une maladie infectieuse[4]. Étymologie et définition[modifier | modifier le code] Le mot « obésité » apparaît en 1550[5]. Histoire des représentations de l'obésité[modifier | modifier le code] Phénotypes[modifier | modifier le code] Quatre types d'obésité sont décrits :

La nutrition de l'adulte 1. Introduction Chaque jour, nous sommes bombardés de messages nutritionnels et de santé et l’on nous dresse bien souvent un tableau noir des problèmes liés au style de vie et au régime alimentaire. 2. 2.1. Cette allégation santé est la plus répétée dans les recommandations diététiques du monde entier. 2.2. L’acte de manger est un des grands plaisirs de la vie. Le petit déjeuner est sans doute le repas le plus important de la journée. 2.3. Equilibrer son alimentation signifie se procurer en suffisance, mais pas en excès, chaque sorte de nutriment dont l’organisme a besoin. Des quantités modérées d’aliments puisées au sein de toutes les familles alimentaires garantissent un apport énergétique quotidien bien contrôlé. 2.4. Le poids idéal dépend d’un individu à l’autre et varie selon beaucoup de facteurs comme le sexe, la taille, l'âge et l’hérédité. Les poignées d’amour sont le signe évocateur d’une ingestion de calories plus élevée que le besoin. 2.5. 2.6. 2.7. 2.8. 2.9. 2.10. 3. 4.

Activité physique - Réduire les risques de cancer « Bouger », c'est mettre en mouvement les muscles de son corps. L'activité physique ne se réduit donc pas à la seule pratique sportive, qu'elle soit de loisir ou de compétition. Elle inclut tous les mouvements effectués dans la vie quotidienne, professionnelle et domestique (activités ménagères, jardinage, marche ou vélo jusqu'au lieu de travail, montée des escaliers...). Activité physique et cancers La pratique régulière d’une activité physique contribue à réduire le risque de développer plusieurs cancers : le cancer du côlon ; le cancer du sein ; le cancer de l’endomètre ; le cancer du poumon. L'exercice physique contribue aussi à limiter la prise de poids, autre facteur de risque de cancers. Par ailleurs, pendant et après un traitement anticancéreux, une activité physique adaptée permet d'améliorer la survie des personnes malades, ainsi que leur qualité de vie (anxiété, dépression, sommeil, image du corps, sensation de fatigue). L'activité physique en pratique Activité physique et enfants

Obésité Dossier réalisé en collaboration avec Arnaud Basdevant, nutritionniste et chercheur, unité Inserm U872, Institut hospitalo-universitaire ICAN (Institute of cardiology metabolism and nutrition), Paris, président du Plan National Obésité 2010-2013 - Janvier 2014. © Fotolia Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques. Ce déséquilibre aboutit à une inflation des réserves stockées dans le tissu graisseux qui entraîne elle-même de nombreuses complications. L’obésité concerne aujourd’hui la quasi-totalité de la planète, y compris de nombreux pays émergents : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 35 % des adultes dans le monde sont atteints d’obésité ou de surpoids. Les complications associées, en particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires, entraînent le décès d’au moins 2,8 millions personnes chaque année. Mesurer l’excès de masse grasse © Inserm, D. © Inserm, F. Sites

Surpoids, obésité et risque cardiovasculaire Surpoids, obésité et risque cardiovasculaire Le risque cardiovasculaire lié à une obésité ou un surpoids « abdominal » Les mécanismes physiopathologiques du surpoids ou de l’obésité abdominale Surpoids, obésité et risque cardiovasculaire Comme nous l’avons décrit dans les autres chapitres, le surpoids et l’obésité sont largement responsables d’une augmentation du risque cardiovasculaire. Leur impact sur les maladies cardiovasculaire est à la fois direct, lié à l’augmentation de poids, mais aussi indirect, lié à l’apparition de facteurs de risques cardiovasculaires comme l’hypertension artérielle, l’augmentation du taux de cholestérol dans le sang ou le diabète. L’impact de ces facteurs de risques cardiovasculaire est décrit dans de nombreuses études et vous pourrez trouver de nombreux renseignements sur le site e-Cardiologie. Mais le surpoids en lui-même peut constituer un risque cardiovasculaire, en particulier lorsqu’il existe une infiltration de graisses au niveau des viscères.

Nutrition Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. En savoir plus... Pour plus d'information :

L'obésité : épidémiologie, causes, traitements, obésité infantile Obésité Définition extraite du Dictionnaire de la réadaptation. Obésité - les enjeux de santé publique Dans le rapport intitulé "pour une politique nutritionnelle de santé publique en France", des informations intéressantes sur l'épidémiologie de l'obésité (constat et enjeux) ainsi que sur les connaissances actuelles sur les facteurs nutritionnels impliqués dans le déterminisme de l'obésité - juin 2000. Obesity-diet.com Site très complet traitant de la diététique et de l'obésité entièrement géré par des professionnels groupés au sein d'une association scientifique, l'Association pour la Coordination et la Recherche en Obésité et Nutrition. Généralités, diététique, le coin pratique, complications, chirurgie digestive, chirurgie plastique, autres traitements, médicaments. Dernière mise à jour du site 16 janvier 2002. Prévenir l'obésité. Obésités Définition, prévalence, physiopathologie, formes cliniques, complications, examens biologiques, traitement, prévention. L'obésité Qui est obèse ?

Conditions de vie-Société - L'obésité en France : les écarts entre catégories sociales s'accroissent Imprimer la page Thibaut de Saint Pol, division Conditions de vie des ménages, Insee Résumé En France, la corpulence des femmes comme des hommes a fortement augmenté depuis 1981, avec une accélération depuis les années 1990. Cette évolution concerne aussi bien les jeunes que les plus âgés. Toutefois ce processus n'a pas touché également tous les groupes sociaux. Sommaire Encadré L'indice de masse corporelle et la mesure de la corpulence Publication 1m75 et 77 kg pour les hommes, 1m63 et 63 kg pour les femmes Actuellement, la taille moyenne déclarée par les hommes ayant entre 18 et 65 ans est de 1m75 et celle des femmes de 1m63. Retour au sommaire La corpulence moyenne augmente de plus en plus vite Alors que la corpulence moyenne des hommes, mesurée par l'IMC, était stable entre 1981 et 1992, elle augmente nettement entre 1992 et 2003 (graphique 1). Graphique 1 - Indice de masse corporelle moyen selon le sexe et l'âge Champ : individus de 18 à 65 ans, résidant en France métropolitaine. Encadré

Le risque cardiovasculaire Chacun peut être concerné par les facteurs de risque cardiovasculaire. Cumulés, ils peuvent aboutir à l’obstruction des artères et entraîner des maladies cardiovasculaires. Il est donc important de connaître son risque cardiovasculaire. Le risque cardiovasculaire est la probabilité de survenue d’une maladie ou d’un accident cardiovasculaire (maladies du cœur et des artères). Un certain nombre de facteurs sont à l’origine de ce risque et favorisent le développement des maladies cardiovasculaires. Plus les facteurs de risque sont cumulés, plus la probabilité de développer un jour une maladie cardiovasculaire augmente. Ces facteurs de risque sont de deux types : ceux sur lesquels on ne peut pas agir tels que l’âge, le sexe, l’existence de maladies cardiovasculaires dans la famille ; ceux sur lesquels on peut agir pour les supprimer ou les diminuer : tabagisme, diabète, HTA, excès de cholestérol, surpoids, consommation d’alcool, la sédentarité. ©cnamts 2010 athérome Sources

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