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Est-ce que la société de consommation est créatrice de bonheur ?

Est-ce que la société de consommation est créatrice de bonheur ?
Qui n’a jamais rêvé de vivre dans un monde sans limite ? Où l’individu serait libre de tous ses actes ? Vous vous demandez sûrement qu’est-ce-que l’illimitation ? C’est une dimension propre à l’homme, c’est le dépassement de soi, de ses limites, c’est l’envie de toujours aller plus loin, et d’enfreindre les règles. Et, maintenant si je vous dis « société de consommation » ? En réalité, ces deux notions sont liées, et c’est d’ailleurs la société dans laquelle nous vivons qui dicte la plupart de nos comportements. Depuis quelques années, le marketing a changé nos valeurs et bouleversé les enjeux sociaux. Mais face à cela se pose un problème. Alors si vous voulez comprendre pourquoi nous agissons tous de cette façon, « La pente de l’illimitation » de François Flahault, explique pourquoi les hommes sont enclins à cette dérive. Mais n’oublions pas, la consommation nous mordons tous à l’hameçon ! Article rédigé par Mathilde Vienne, Etudiante en Master 1 « Marketing Plurimédia et Consommation »

Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ? FIGAROVOX/CHRONIQUE- Après Noël et le réveillon du 31 décembre, le philosophe Luc Ferry s'interroge sur le sens de la frénésie consumériste. Luc Ferry est philosophe. Il tient une chronique chaque jeudi dans Le Figaro Champagne, foie gras, cadeaux sous les sapins: nous voilà gavés pour l'année. Sommes-nous plus heureux pour autant? Consommer plus qu'à l'habitude a-t-il augmenté notre bonheur? À quoi bon, en effet, s'échiner à travailler, à œuvrer au développement économique et à l'augmentation indéfinie des richesses si tous ces efforts ne nous rendent pas plus heureux ? Pendant trois mois, sans doute, vous vous sentez mieux, plus heureux au volant… mais rien n'est plus éphémère que ce sentiment de confort auquel on s'habitue à la vitesse grand V!

La société de consommation mène t'elle au bonheur ? Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function mysql_connect() in /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php:24 Stack trace: #0 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php(1296): MySQLDB->MySQLDB() #1 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-content/themes/Avenue/header.php(5): require('/homepages/2/d3...') #2 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(501): require_once('/homepages/2/d3...') #3 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(477): load_template('/homepages/2/d3... Consommer rend-il heureux ? J’ai accepté, de façon imprudente car je ne suis en rien un spécialiste de la consommation, de participer, le 15 décembre, à une émission de France Inter animée par Isabelle Giordano sur un thème supposé adapté aux fêtes consuméristes de Noël : consommer rend-t-il heureux ? Quitte à choisir un titre, je préfère celui de cette émission matinale : Service public…. Mais, finalement, nous avons eu un débat animé que l’on peut écouter via ce lien. J’avais préparé quelques notes en guise d’« antisèches ». Consommer a de nombreux sens (par exemple l’usage n’est pas l’achat, les achats d’impulsion ne sont pas les achats réfléchis, les biens de première nécessité ne sont pas les biens de luxe, etc.). Les philosophes du passé ont beaucoup écrit sur cette question. Quant aux économistes, je me contenterai de citer Keynes. Quels sont les résultats ? Ensuite, si l’on examine les évolutions en France depuis près de 40 ans, on constate que le bien-être subjectif moyen a stagné.

L’industrie du Bonheur et son économie En lisant un article dans The Economist, « Happiness : No longer the dismal science ? » (trad. libre : « Le Bonheur n’est plus en manque de science »). Une série de produits et de rapports sur le bonheur font leur apparition dans le monde. Ils sont issus du domaine de l’économie et non de la philosophie. Voici mes premières impressions… Quoi, on peut mesurer le bonheur ? À vrai dire, plus ça se rapproche de la richesse, des biens et services, de la santé, et plus on se retrouve dans le voisinage de l’économie et des indicateurs de performance. Le premier Rapport Mondial sur le Bonheur a été commandé par la Conférence des Nations Unies, sous les bons auspices de son Assemblée Générale. Les pays les plus heureux sont les pays scandinaves et les plus malheureux sont en Afrique. Le bonheur se mesurerait par rapport à ses alternatives. Dans les années 80, ces recherches n’intéressaient que la socio-économie. Encourageant, n’est-ce pas ? Sur les murs de ma ville, j’écris ton nom… Liberté !

L'histoire du bonheur - Economiedubonheur.com, le site francophone de référence sur l'économie du bonheur. En ce qui concerne l’histoire du bonheur, on peut distinguer deux histoires : l’histoire du concept de bonheur et l’histoire du bonheur des personnes du temps passé. Le bonheur n’a pas été toujours central dans les représentations. Dans l’Antiquité grecque, différentes définitions du bonheur sont développées : bonheur hédoniste et bonheur eudémoniste notamment. Il n’en demeure pas moins que le bonheur, dans ce qu’il a de plus élevé, est associé aux dieux. Le bonheur possède une dimension divine. Est-ce que les personnes du passé était heureuses ? Motivation - La pyramide des besoins selon Maslow - Management Selon Maslow, les motivations d’une personne résultent de l’insatisfaction de certains de ses besoins. Les travaux de Maslow (1954) permettent de classer les besoins humains par ordre d’importance en 5 niveaux. Ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu ; la satisfaction des besoins d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant. La pyramide des besoins de Maslow L’idée est qu’on ne peut agir sur les motivations "supérieures" d’une personne qu’à la condition expresse que ses motivations primaires (besoins physiologiques et de sécurité) soient satisfaites. Les besoins physiologiques Les besoins physiologiques sont des besoins directement liés à la survie de l’individu ou de l’espèce Ce sont typiquement des besoins concrets (manger, boire, se vêtir, se reproduire, dormir...). A priori ces besoins sont satisfaits pour la majorité d’entre nous, toutefois nous ne portons pas sur ces besoins la même appréciation. Les besoins de sécurité avoir des amis

Consommer rend-il heureux ? Dans le prolongement de l'émission Service Public (France Inter) de ce matin (podcaster), quelques éléments pour aller plus loin. "Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Le constat Au départ, il y a ce "paradoxe du bonheur" mis en évidence de façon empirique pour la première fois, par l’économiste Richard Easterlin au milieu des années 1970 : l'accroissement de la richesse n'entraîne pas nécessairement celui du bonheur des populations. - dans un pays donné, à un moment donné, il existe bien une corrélation robuste entre le niveau de revenu des individus et le sentiment subjectif de bonheur : les individus les plus riches se déclarent, en moyenne, plus heureux que les plus pauvres ; Ces constats empiriques sont, bien sûr, sujets à discussion. Les explications L’effet d’adaptation Selon A.

Bonheur et malheur, unis dans la résilience On parle du bonheur à toutes les sauces, les magazines féminins et masculins en font même leur fond de commerce. Aujourd’hui il faut être heureux ! C’est presque le challenge de chacun. Mais il arrive parfois que le chemin qui mène au bonheur soit semé d’embûches, et ce, très tôt. Dès l’enfance le malheur peut faire de l’ombre au bonheur, cependant, il n’y a pas de fatalité. Le bonheur, un bien de consommation ? Vouloir être heureux c’est finalement un idéal assez récent. Pour être heureux soyons malheureux ? Sous cette question un peu provocatrice, on s’aperçoit vite qu’effectivement, le bonheur n’existe que parce-qu’il forme un couple opposé mais indissociable avec le malheur. Et la résilience ? Boris Cyrulnik est un enfant qui a vécu l’expérience traumatisante de la guerre. Tuteur de résilience : pour quoi faire ? On peut tous devenir «résilients» ? N’est pas résilient qui veut !

L'argent ne fait pas le bonheur : cliché ou réalité ? Un article de presse paru sur la crise financière titrait : « L’effondrement de la Bourse touche les retraités ». Cet article disait en substance que lorsque la Bourse baisse, les personnes aux revenus fixes souffrent : elles renoncent à aller au restaurant, chauffent moins leur habitation en hiver et sont plus regardantes quant aux prix des denrées qu’elles peuvent se permettre. Cela signifie-t-il qu’on est plus malheureux ? Non, cela veut simplement dire qu’on est moins à l’aise et moins libre de satisfaire ses désirs. Je n’entends pas par là que l’argent n’a aucune importance. Il en a, bien sûr, mais il ne fait pas forcément le bonheur. Le confort L’argent permet d’obtenir le confort matériel, des sous-vêtements aux meubles, en passant par les produits de première nécessité. Le soutien L’argent ne vous apporte qu’un confort moral en ce sens qu’il vous aide dans les périodes éprouvantes. La liberté L’argent apporte la liberté économique : - il vous libère des soucis financiers ;

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