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Le numérique à l'école

Le numérique à l'école
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De l’impact du Web sur la pensée et l’attention — Enseigner avec le numérique 1. À propos de Nicholas Carr Je lis sur le Web donc je pense autrement Pr Michael Agger - Traduit par Peggy Sastre« Pour comprendre comment Internet nous transforme, Nicholas Carr est un excellent guide. Google et Platon Les inquiétudes que nous avons sur l’Internet, les anciens Grecs les avaient sur cette nouvelle technologie qu’était l’écriture… Platon démontre comment la nouvelle technologie de l’écriture est supérieure parce qu’elle permet une transmission ordonnée et logique du savoir... Comme un saumon à l’agonie Carr en vient à l’ère d’Internet armé des dernières innovations en matière de science du cerveau… « Quand nous surfons », écrit Carr, « nous entrons dans un environnement qui pousse à la lecture en diagonale, à une pensée pressée et distraite, et à un apprentissage superficiel ». Mots-croisés « Essayez de lire un livre tout en faisant des mots-croisés ; voici l’environnement intellectuel d’Internet »… En donc quoi, nous sommes un peu plus distraits ? Consommation distraite 2.

Education, quelles fractures numériques ? Avec : Eunice Mangado, directrice déléguée de l'AFEV ; Anne Cordier, maître de conférences en Sciences de l'Information et de la Communication à l'université de Rouen, auteur de "Grandir connectés" et Karine Mauvilly, co-auteur du livre "Le désastre de l'école numérique" (Seuil) (en duplex depuis Bordeaux) et Jean-Marc Monteil, chargé d'une mission sur le numérique dans l'Education nationale (insert téléphonique) 9ème Journée du refus de l'échec scolaire, organisée par l'AFEV - Le numérique contre les inégalités éducatives: Revue Diversité, N° 185, 3ème trimestre 2016 : Ce que le numérique peut en éducation (Canopé éditions) : L'actualité de l'éducation avec Marie-Caroline Missir, directrice de la rédaction de l'Etudiant - Rentrée universitaire, 40000 étudiants supplémentaires -Scolarité obligatoire de 03 à 18 ans - Convention sur l'éducation du FN et

Une tablette en classe : quelles plus-values ? - Délégation académique au numérique éducatif À l’heure du plan numérique, les tablettes numériques ont fait leur apparition dans les classes. Cet outil, facile et rapide à prendre en main, offre de multiples usages pédagogiques. Plusieurs témoignages d’enseignants utilisant la tablette au quotidien mettent en lumière son intérêt et ses plus-values, notamment : l’individualisation des apprentissages En offrant une plus grande diversité de situations d’apprentissage, la tablette favorise l’individualisation des parcours et permet à l’enseignant d’imaginer de nouvelles formes d’actions pédagogiques. l’autonomie des élèves Légères, puissantes, connectées, offrant des surfaces d’affichages suffisantes, compagnon mobile idéal de l’élève, les tablettes libèrent les élèves de la contrainte spatiale et de la multiplication des manuels scolaires à transporter. Vous trouverez en lien 3 vidéos montrant des pratiques pédagogiques favorisant l’autonomie des élèves et l’individualisation des apprentissages.

Une presse sans influence ? Nouveau monde. Comment Internet a mal tourné Internet a des effets pervers alors qu'il était censé apporter plus d'intelligence et de liberté. Et si on s’était trompés ? Il y a quelques années beaucoup étaient persuadés qu’Internet allait changer le monde "en bien" grâce à la connaissance et à l’ultra-communication entre les hommes. Raté ! Finalement, c’est exactement le contraire qui serait en train de se produire. Que s'est-il passé ? On pourrait passer en revue la liste de tout ce qui va mal sur Internet, il y en aurait pour des jours. Que faire ? L'attention à l'heure du numérique Pour 71% des Français, le numérique n’a pas d’impact négatif sur notre attention • 91% affirment qu’il permet un accès plus facile à l’information. • 66% qu’il empêche de s’ennuyer. • Seul un quart (26%) des Français estiment que le numérique augmente leur niveau de stress quotidien et ils ne sont que 36% à se sentir dépendants de leur smartphone. Mais pour les jeunes l’impact est plus négatif • 73% des parents estiment que le numérique nuit à l’attention de leurs enfants. • 61% des moins de 35 ans se sentent dépendants de leur smartphone, 47% estiment qu’il amoindrit la qualité de leur sommeil, et 85% consultent ou pianotent souvent ou de temps en temps sur leur smartphone quand un proche leur parle. Les Français plébiscitent donc la mise en place de solutions pour s’adapter • La déconnexion (s’imposer des temps de déconnexion chaque jour ou chaque semaine) est un sujet majeur : elle est jugée utile par plus de 80% des Français (mais seulement 41% la mettent en place !).

Ce qu'on sait, ce qu'on ne sait pas (1/5) : Du vrai et du faux sur internet Ce nouveau cycle d'émissions enregistrées en public au Théâtre de l’Odéon s’intitule « Ce qu’on sait, ce qu’on ne sait pas ». L’idée qui nous a menés vers cette problématique est assez simple. Elle provient du constat que la connaissance et l’ignorance se tiennent par la barbichette : ignorer qu’on ignore, c’est, de fait, ne rien savoir ; tandis que savoir qu’on ignore, c’est vraiment savoir, puisque cela suppose de connaître tout ce qui est déjà établi, et d’être capable de détecter ce qui fait encore trou dans la connaissance, de déceler ses manques et ses lacunes. Croire savoir sans savoir, voilà la vraie pathologie du savoir. Pour commencer ce cycle, nous allons nous demander quelle est la part du vrai et du faux dans ce que propose internet : informations, intoxications, croyances, faits alternatifs, rumeurs, comment échapper à la manipulation numérique ? Invité : Gérald Bronner, professeur de sociologie à l’université Paris-Diderot.

La tablette en classe, en partant de zéro, en huit étapes Je reçois régulièrement des mails d’enseignant(e)s qui me posent ce genre de question : « Dans notre école, nous allons recevoir des tablettes, mais nous ne savons vraiment pas par où commencer. Peux-tu nous conseiller des applications ? Comment les utiliser ? Avons-nous besoin de plusieurs tablettes ou pouvons-nous commencer avec une seule ? Vous avez raison de poser ces questions, et je me propose de vous donner quelques pistes dans les lignes qui suivent. Je ne vais pas revenir ici sur le sujet. Méfiez-vous des apps, et installez-en le moins possible. Tout d’abord, je trouve que de nombreuses applications sont faites par des gens qui ne connaissent pas l’école, et qui font des erreurs. Ceci dit, il existe quantité de produits de qualité, et vous aurez tout le loisir de les découvrir et de les utiliser, mais pas tout de suite. Faites en sorte que la page qui s’affiche lorsque vous démarrez la tablette soit vide, totalement vide. L’enseignant, c’est vous. , mais la SanDisk iXpand

Un condensé traduit: Qui veut priver les élèves britanniques de bibliothèques scolaires ? Nazareth College, CC BY 2.0 Justine Greening, secrétaire d’État à l’Éducation, aura du courrier, et pas des moindres. Dans le Dorset et le Berkshire, deux importantes bibliothèques ont fermé leurs portes, et les écrivains s’alarment. « De plus en plus d’écoles prennent la voie des économies, et assurent qu’elles n’ont plus d’argent, qu’elles doivent se débarrasser de leurs bibliothécaires », souligne la directrice de la School Library Association, Tricia Adams. C’est fort de ces constats que Riddell, épaulé par Blake, Anne Fine, Michael Morpurgo, Jacqueline Wilson, Michael Rosen, Anthony Browne, Donaldson et Malorie Blackman, ont écrit une lettre à la Secrétaire... que cette dernière lira peut-être, si elle a le temps. Ils réclament tous en chœur une enquête probante sur l’état des fermetures de bib scolaires. Or, sur la période 2012-2014, il semble que 280 établissements ont déjà fermé leurs portes. via Guardian

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