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Google Plus, la dictature des vrais noms

Google Plus, la dictature des vrais noms
En obligeant les membres de son réseau social à utiliser leurs vrais noms, Google a commis une grave erreur, analysée ici par danah boyd. Les liens de cet article sont en anglais. Tout le monde parle des“nymwars” [(contraction des termes anglais Anonym et Wars (guerres)], suite à la décision de Google Plus d’appliquer sa politique qui n’autorise que les comptes utilisant le “vrai nom” de leurs utilisateurs. Au départ, Google Plus a été pris d’une frénésie de suppression, éliminant les comptes qui enfreignaient la règle. Des dizaines d’articles de blogs défendant le pseudonymat sont apparus, chacun détaillant ses arguments. “Je suis un professeur de lycée, ma vie privée est d’une importance cruciale”“J’utilise ce nom dans le cadre de mon travail. Vous noterez qu’une thématique se dégage… Un autre site, “My Name Is Me”, rassemble des témoignages d’individus qui défendent les pseudonymes. Ils utilisaient le nom qui correspondait au réseau avec lequel ils avaient rejoint Facebook.

L'anonymat en ligne doit disparaître, selon une responsable Facebook Les pseudonymes finiront-ils par disparaître, remplacés par l'identité réelle des internautes ? Avec l'émergence des réseaux sociaux, en particulier Facebook, le patronyme est de plus en plus visible sur la toile. Forcément très utilisé sur la plate-forme conçue par Mark Zuckerberg, le couple nom/prénom se fait aussi de plus en plus présent ailleurs. Et pour cause, un nombre croissant de sites et de services intègre des modules de discussion issus de Facebook. Facebook, fort de ses 750 millions de membres, cherche-t-il à tuer le pseudonyme ? L'anonymat doit disparaître Pour la jeune femme de 29 ans, le constat est aussi simple qu'évident. "Je pense que l'anonymat sur Internet doit disparaître. Des commentaires avec la véritable identité Les propos de Randi Zuckerberg ne sont en réalité pas surprenants. Eric Schmidt de Google a le même avis Randi Zuckerberg n'est pas la seule à penser que l'anonymat en ligne est un problème. Le cas Google + Même Blizzard y a réfléchi

30 astuces pour mieux utiliser google plus Google plus occupe le devant de la scène depuis une semaine. Tout le monde ne parle plus que de cela. Chacun y va de son analyse, de son conseil, de ses louanges. Il faut dire que pour tout ceux qui sont réfractaires à Facebook, il n’existait jusqu’à maintenant aucune alternative crédible. C’est désormais le cas. Edit : aujourd’hui marquant l’ouverture de Google Plus au grand public accompagné de nombreuses nouveautés, nous vous proposons une mise à jour de ce billet vous présentant 50 outils pour mieux utiliser Google plus. Transférer ses photos de Facebook à Google plus avec Move2picasa Pas envie de ré-uploader toutes vos photos sur Google plus alors qu’elles sont déjà sur Facebook ? Rapatrier toutes ses données Google avec Google takeout Cette astuce est valable pour Google + mais pas seulement. Importer ses contacts Facebook dans Google plus Pourquoi repartir de zéro quand on a déjà rassemblé un vaste réseau sur Facebook ? Les raccourcis clavier Utiliser les cercles d’amis sur Facebook

danah boyd : Ce qu’implique de vivre dans un monde de flux A la Web 2.0 Expo qui se tenait mi-novembre à New York, la sociologue danah boyd a, comme à son habitude, fait une brillante présentation sur les conséquences qu’il y a à vivre dans un monde de flux, notamment en commençant à en dresser la liste des limites. Explorons dans ses pas – partiellement, mais fidèlement -, son « Streams of Content, Limited Attention : The Flow of Information through Social Media » (Flux de contenus, attention limitée : le flot d’information dans les médias sociaux). Image : danah boyd sur scène à la Web 2.0 Expo à New York en novembre 2009, photographiée par James Duncan Davidson. Vivre dans des flux Nous vivons dans des flux, comme l’expliquait Nova Spivack, c’est-à-dire dans un monde où l’information est partout. « Cette métaphore est puissante », rappelle danah boyd. « L’idée suggère que vous viviez dans le courant : y ajoutant des choses, les consommant, les réorientant. » 4 fausses idées sur la révolution numérique 1. 2. 3. 4. Inattention ? Hubert Guillaud

Research: Half of Cloud Clients to Change Privacy Policy by Q4 2012 Research firm Gartner's release earlier this week of an update to its venerated "Hype Cycle" cast a long shadow that hid a startling prediction: At least half of all organizations that host data on behalf of clients will change, or be forced to change, their privacy policies by the end of next year. The increased awareness of security breaches among cloud providers, especially Amazon, is one reason. The rest, according to Gartner research director Carsten Casper, center around the changing legislative landscape, especially among multiple countries where the disparities between data protection laws appears only to be growing. Sponsor Casper writes: Cloud computing and privacy are at odds by nature. Casper's use of the phrase "jurisdictionally specific" refers to the trend among cloud customers to request that their data only be housed in jurisdictions where law enforcement agencies would not be entitled to seek court-warranted access to them. That fact has U.S. Discuss

La reconnaissance faciale sur le réseau social facebook se heurte au d La question de la reconnaissance faciale proposée sur le réseau social Facebook a déjà fait couler beaucoup d'encre des deux côtés de l'océan atlantique, mais elle revient ces jours sur le devant de la scène pour des raisons différentes. Depuis fin 2010, le réseau social Facebook propose une fonction de reconnaissance faciale. L’utilisateur se voit ainsi proposer de marquer (tag) ses amis qui figurent dans les photos qu’il a téléchargé. Les photos avec des visages similaires sont regroupées et les noms des amis qui auraient été marqués précédemment sont suggérés. Le principal reproche qui est fait à Facebook est que cette fonction a été ajouté de manière assez discrète et surtout par défaut (modèle opt-out). A noter que les logiciels de photo Picasa (Google) et iPhoto (Apple) offrent des fonctions similaires de reconnaissance. En Europe En Suisse, également cette fonction ne respecte pas la loi sur la protection des données. Aux USA

Et si Google avait définitivement perdu la bataille du « réseau social » face à Facebook ? Aujourd’hui la bataille entre les deux géants, ce n’est plus (depuis longtemps) Microsoft contre Google, mais bien Google contre Facebook. Google en position de leader dominant et poussé par une vision orientée autour de la maitrise du contenus a laissé la place à son principal rival sur le domaine social. Toutes les tentatives plus ou moins récentes se sont soldées par des échecs plus ou moins retentissant. Aujourd’hui Google a bien compris que la bataille se menait contre Facebook et qu’il lui fallait réagir vite. En premier lieu, Eric Schmidt, ancien CEO de Google a lui même reconnu qu’il s’est trompé sur le social. La bataille se situe bien autour de l’utilisateur, de sa connaissance, de son graphe sociale et de la pertinence des informations que l’on pourra lui proposer en s’appuyant sur les entreprises qu’il faut également séduire. Les trois erreurs que Google a commises Et Google+ change-t-il la donne ? La question qui vient immédiatement est : est-ce que Google+ fonctionnera ?

Vie privée : le point de vue des “petits cons” Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée. Et si, a contrario, ils ne faisaient qu’appliquer à l’internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Dans « La vie privée, un problème de vieux cons ? Au-delà des problèmes d’inhibition des « vieux cons« , il est difficile d’aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. Pour Josh Freed, célèbre éditorialiste canadien, c’est la plus importante fracture générationelle depuis des décennies, qu’il résume ainsi : d’un côté, nous avons la « génération des parents« , de l’autre, la « génération des transparents » : La vie privée ? Dans l’arène publique, ou via une interface technique. Une génération « rock’n roll »… 1.

Datenschutz und Datensicherheit Vom anonymen Surfen bis zur verschlüsselten Festplatte «Es ist bedenklich, dass kaum jemand weiß, welche Daten über ihn gespeichert sind. Es ist äußerst bedenklich, dass kaum jemand weiß, wer diese Daten gerade besitzt. Bedenklich ist es hingegen nicht, dass sich nur eine Minderheit dagegen wehrt. Das ist dramatisch.»Hamann/Rohwetter Die eigenen Daten zu schützen heißt, die Daten und Dokumente, die am eigenen Rechner gespeichert werden, unbefugten Zugriffen zu entziehen. Von gläsernen Surfern und “Datenkraken” Ein Ergebnis unserer Internet-Ausflüge ist viel zu oft ein prall gefüllter Akt an gesammelten Daten. DIE ABWEHR DER DATENSAMMELWUT ➊ Ein Video aus der Reihe Quarks & Co des WDR gibt «Fünf goldene Regeln zur Datensicherheit». Im beruflichen Alltag gibt es eine ganze Reihe von Punkten, die es zu beachten gilt, sollen Daten vor unabsichtlicher Weitergabe an Dritte geschützt werden. Die Frage «Warum Datenschutz im Internet?» Informationell selbstbestimmt im Netz

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