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Consommer rend-il heureux ?

Consommer rend-il heureux ?
Dans le prolongement de l'émission Service Public (France Inter) de ce matin (podcaster), quelques éléments pour aller plus loin. "Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo oeconimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons à gagner l’argent nécessaire pour acheter. Le constat Au départ, il y a ce "paradoxe du bonheur" mis en évidence de façon empirique pour la première fois, par l’économiste Richard Easterlin au milieu des années 1970 : l'accroissement de la richesse n'entraîne pas nécessairement celui du bonheur des populations. Ces constats empiriques sont, bien sûr, sujets à discussion. Les explications Selon A.

Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ? FIGAROVOX/CHRONIQUE- Après Noël et le réveillon du 31 décembre, le philosophe Luc Ferry s'interroge sur le sens de la frénésie consumériste. Luc Ferry est philosophe. Il tient une chronique chaque jeudi dans Le Figaro Champagne, foie gras, cadeaux sous les sapins: nous voilà gavés pour l'année. À quoi bon, en effet, s'échiner à travailler, à œuvrer au développement économique et à l'augmentation indéfinie des richesses si tous ces efforts ne nous rendent pas plus heureux ? Pendant trois mois, sans doute, vous vous sentez mieux, plus heureux au volant… mais rien n'est plus éphémère que ce sentiment de confort auquel on s'habitue à la vitesse grand V!

La société de consommation mène t'elle au bonheur ? Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function mysql_connect() in /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php:24 Stack trace: #0 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/include/database.php(1296): MySQLDB->MySQLDB() #1 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-content/themes/Avenue/header.php(5): require('/homepages/2/d3...') #2 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(501): require_once('/homepages/2/d3...') #3 /homepages/2/d300783928/htdocs/TLL/wp-includes/template.php(477): load_template('/homepages/2/d3... Bonheur et société : des médiations complexes | Kairos Le bonheur est une notion complexe et soulève des problématiques multiples. Le bonheur revendiqué comme une demande sociale, politique et économique légitime Plus que jamais, dans le contexte international de crises (quelles qu'en soient les formes), le bonheur est un état revendiqué non seulement à titre individuel mais aussi à titre collectif. Pourquoi les indices de bonheur et de bien-être préoccupent-ils de plus en plus de nombreuses institutions qui s'attachent désormais à prendre le bonheur comme un indicateur du degré d'évolution des sociétés modernes et postmodernes ? Est-ce la précipitation des sociétés contemporaines dans des crises qui bouleversent leurs valeurs et intiment l'ordre de se définir ? Le 20 mars 2013 a eu lieu la première journée mondiale du bonheur, à l'initiative de l'ONU. Politiquement et économiquement, le bonheur est donc de plus en plus revendiqué comme une demande légitime. L'idée de bonheur soumise à des injonctions contradictoires Les axes de recherche

Est-ce que la société de consommation est créatrice de bonheur ? | Marketing Plurimédia Qui n’a jamais rêvé de vivre dans un monde sans limite ? Où l’individu serait libre de tous ses actes ? Vous vous demandez sûrement qu’est-ce-que l’illimitation ? C’est une dimension propre à l’homme, c’est le dépassement de soi, de ses limites, c’est l’envie de toujours aller plus loin, et d’enfreindre les règles. Et, maintenant si je vous dis « société de consommation » ? En réalité, ces deux notions sont liées, et c’est d’ailleurs la société dans laquelle nous vivons qui dicte la plupart de nos comportements. Depuis quelques années, le marketing a changé nos valeurs et bouleversé les enjeux sociaux. Mais face à cela se pose un problème. Alors si vous voulez comprendre pourquoi nous agissons tous de cette façon, « La pente de l’illimitation » de François Flahault, explique pourquoi les hommes sont enclins à cette dérive. Mais n’oublions pas, la consommation nous mordons tous à l’hameçon ! Article rédigé par Mathilde Vienne, Etudiante en Master 1 « Marketing Plurimédia et Consommation »

Consommer rend-il heureux ? du 15 décembre 2010 - France Inter Consommer rend-il heureux ? Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. invité(s) Claire Chartier Rédactrice en chef - Service société à L'Express pour le dossier consacré aux "décroissants de Noël"### Philippe Moati directeur de recherche au Credoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie), Professeur d'économie à l'Université Paris-Diderot### Jean Gadrey économiste, auteur de Adieu à la croissance éditions Les petits matins / Alternatives Economiques### Michel Lejoyeux psychiatre spécialisé dans les questions d’addiction à la consommation hôpital Bichat### programmation musicale Aloe Black Miss fortune ### Kaolin Crois moi

L'hyperconsommation peut-elle faire notre bonheur? | Education Santé Dans son ouvrage ‘Les temps hypermodernes’, Gilles Lipovetsky nous expliquait en quoi le ‘postmoderne’ avait fait son temps. Ici, il nous initie au concept d’hyperconsommation, fruit d’une troisième phase de l’évolution du capitalisme de consommation. Première phase, de 1880 à la seconde guerre mondiale, on assiste à l’apparition des grandes marques et à l’avènement de la publicité. Le bonheur, un idéal qui rend malheureux? FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le philosophe allemand Wilhelm Schmid vient de publier un essai intitulé Le Bonheur. Alors que le sujet de philosophie proposé aux élèves de terminale S est «Vivons-nous pour être heureux ?», FigaroVox lui a demandé sa définition du bonheur. Wilhelm Schmid vit à Berlin et enseigne la philosophie à l'université d'Erfurt. Le Bonheur (Éditions Autrement), court opus devenu un succès international, est son premier livre traduit en français. FigaroVox. - Votre livre s'intitule Le Bonheur. Wilhelm Schmid. - Il existe trois types de bonheur. Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne: le bonheur du bien-être. Mais seul l'art de vivre philosophique est capable d'éviter à un homme de résumer toute sa vie à un unique bonheur de bien-être. Un indice du bonheur national brut a été créé par l'ONU. Dès le Ier siècle après J. Les gens ont toujours cherché le bonheur, mais pas toujours avec la même intensité.

Consommer rend-il heureux ? J’ai accepté, de façon imprudente car je ne suis en rien un spécialiste de la consommation, de participer, le 15 décembre, à une émission de France Inter animée par Isabelle Giordano sur un thème supposé adapté aux fêtes consuméristes de Noël : consommer rend-t-il heureux ? Quitte à choisir un titre, je préfère celui de cette émission matinale : Service public…. Mais, finalement, nous avons eu un débat animé que l’on peut écouter via ce lien. J’avais préparé quelques notes en guise d’« antisèches ». Consommer a de nombreux sens (par exemple l’usage n’est pas l’achat, les achats d’impulsion ne sont pas les achats réfléchis, les biens de première nécessité ne sont pas les biens de luxe, etc.). Les philosophes du passé ont beaucoup écrit sur cette question. Quant aux économistes, je me contenterai de citer Keynes. Quels sont les résultats ? Ensuite, si l’on examine les évolutions en France depuis près de 40 ans, on constate que le bien-être subjectif moyen a stagné.

En France, la consommation a de l’avenir Les Français adoptent de plus en plus des pratiques collaboratives, comme le covoiturage. Pourtant, leurs achats d’équipements ne baissent pas. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les cadeaux de Noël sont définitivement désacralisés. La crise économique cacherait-elle une prise de conscience des consommateurs, augurant un développement plus durable de la société ? Son objectif ? Ce pic, c’est le concept phare d’une étude britannique qui a fait grand bruit, en 2011. « Au cours de la dernière décennie, le Royaume-Uni a moins consommé de voitures, d’énergie, de matériaux de construction, d’eau, de papier ou de viande. Les causes probables de ce découplage entre croissance économique et consommation de ressources sont multiples : progrès technologiques, meilleure efficacité énergétique, dématérialisation, apparition de nouvelles valeurs chez les jeunes et les urbains, ou encore vieillissement des populations et saturation des marchés.

La société face à la demande de bonheur L’idée de bonheur « La révolution doit s’arrêter à la perfection du bonheur », a dit Saint-Just en 1794, sous la Terreur. Mais de quel bonheur s’agissait-il ? Comme pour tous les domaines, l’histoire des idées du monde occidental débute en Grèce. « La cité juste est heureuse », dit Aristote. Quand on sait de quelle cité les grecs parlaient, leur idée du bonheur semble avoir été une chasse bien gardée, plus d’un Grec sur deux était esclave… Les stoïciens ramenaient le bonheur à la vertu. Il faut attendre Kant pour distinguer vertu et bonheur à partir d’une observation simple et combien évidente : l’homme est souvent malheureux dans l’accomplissement de ses devoirs : « Le bonheur est la satisfaction de toutes nos inclinations, tant en extension, c’est-à-dire en multiplicité, qu’en intensité, c’est-à-dire en degré » (Kant, 1781). L’inventaire de nos « inclinations » correspondrait à une évaluation prospective de notre bonheur. Ces techniques in? L’échelle du bonheur ? La quanti?

La société de consommation mène t-elle au Bonheur ? - Peace and Punk "Depuis le début du siècle, nous vivons dans une société de consommation. Ce phénomène social c’est accentué à la mesure que le temps avance et n’a sûrement pas atteint encore son paroxysme. Mais, ce système, quelque peu chaotique, fait ressortir diverses questions sur la société. Selon moi, la société de consommation ne mène pas au bonheur puisqu’elle crée des dépendances et des fausses attentes face à des produits en ventes sur le marché. La société de consommation présente aussi des côtés plus intéressants. Mais, les capitaux que nous créons en dépensant ne doivent pas quitter le pays et être remis aux travailleurs pour que la société soit juste. Finalement, nous pouvons tiré certaines leçons de notre société de consommation et ne pas refaire les mêmes erreurs que ceux que nous avons faites dans le passé et que nous faisons chaques jours. Ce texte n'est pas de moi, mais c'est toutafais ce que je pense de cette société de consommation de merde dans laquelle on vit.

Le bonheur, tributaire de la société. | Guillaume Deloison Le bonheur, concept compliqué et riche en définition. Parfois l’assouvissement de tout les désirs et d’autres fois la réalisation de tout ce qui est « bien ». Dans chacune de ses définitions pourtant revient un élément qui est lui aussi omniprésent dans chacune de nos existences. La société. En effet, c’est elle qui détermine ce qui est « bien » ou « mal » pour chaque membre dont elle est constituée. Et c’est elle aussi qui fait d’une chose un objet désirable et plus ou moins nécessaire. comme un tracée vers le bonheur, les immeubles créent des lignes horizontales qui guide le regard vers ce ciel pure. Cette réflexion semble donc s’opposer totalement à une pensée sartrienne qui placerait la société comme un enfer : « l’enfer c’est les autres ». La société ne crée donc pas à proprement parlé le bonheur mais en définissant le « bien » et le « mal » et créant un système de valeur elle cristallise Un bonheur qu’il est souhaitable d’atteindre dans une société donnée. Guillaume Deloison.

L'information est en lien mais source pas très fiable (blog). Nous ne retenons pas ce document. by math_manon Mar 7

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