Comment les médias contrôlent nos pensées
Savez vous qu'actuellement, et ce, depuis plus de deux semaines, une vague de protestations sans précédent depuis quarante ans secoue les Etats-Unis, dans le Wisconsin ? Certainement pas, et cela, car l'information que vous recevez est partiale, triée, et vous dicte ce sur quoi vous devez réfléchir. Il ne faut pas se voiler la face, les médias n'ont pas pour but la diffusion d'informations, ils ne sont pas dirigés par des philantropes, leur raison d'exister est "faire du profit". Les médias sont des entreprises, qui, pour faire du profit, utilisent le crédo de la diffusion de l'information. Ainsi, les médias sont, pour la grande majorité, des entreprises privées, gérées par des actionnaires privés et par des élites ayant des intérêts à ce que le système capitaliste, avec les injustices qu'il crée et qui leur sont tant favorables, soit imprimé, toujours plus, dans la volonté collective. Non, tout est plus furtif, complexe et sophistiqué. Comment ça marche ? Jumelles disparues : 349 articles
Edward Bernays
Pour les articles homonymes, voir Bernays. Bernays en 1917 Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Ascendance d'Edward Bernays Edward Bernays est né dans une famille juive autrichienne en 1891. son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays (1861-1951), la femme de Freud,sa mère, Anna Freud[n 1] (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[3]. Son arrière grand-père paternel, Isaac Bernays (1792-1849), était le grand rabbin de Hambourg. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays (1824-1881), fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle. »[4] Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe juive Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (en) (né en 1958), le co-fondateur et premier PDG de Netflix[5]. Formation[modifier | modifier le code] Carrière[modifier | modifier le code] Mode de vie américain[modifier | modifier le code]
11 - Il était une fois la mondialisation
" Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire. " David Rockefeller , 1999 "Les quelques banques qui, grâce au processus de concentration, restent à la tête de toute l'économie capitaliste, ont naturellement une tendance de plus en plus marquée à des accords de monopole, à un trust de banques. En Amérique, ce ne sont plus neuf, mais deux très grandes banques, celles des milliardaires Rockefeller et Morgan, qui règnent sur un capital de 11 milliards de marks. " (Lénine , L'Impérialisme, stade suprême du capitalisme, 1916) - Il l'avait rêvée …. L'apôtre Luc raconte qu'après un jeûne de quarante jours dans un désert , Jésus, victime d'hallucinations, voit un " Démon " surgir devant lui et lui faire trois propositions, appelées " tentations ". L'OTAN et les grandes institutions financières Reporters sans frontière Le système d'espionnage Echelon Les institutions européennes
Edward Bernays, Propaganda. Comment manipuler l'opinion en démocratie
1 Qui a notamment servi de titre au documentaire que Pierre Carles a consacré au sociologue en 2001 2 Qui, conformément à ses propres préceptes, ne manquait jamais une occasion de se présenter comme le (...) 1« La sociologie est un sport de combat ». En prononçant cette phrase1, Pierre Bourdieu ne songeait sans doute pas en priorité aux usages peu scrupuleux que l'on pouvait faire des techniques de ce « sport ». Et pourtant, elles peuvent s'avérer redoutablement efficaces, notamment quand elles revêtent la forme du marketing, également appelé de manière euphémisée « relations publiques ». La démonstration en a été faite dès 1928 par Edward Bernays2 et que la nouvelle collection « Zones » réédite opportunément aujourd'hui, augmenté d'une préface de Normand Baillorgeon. 2Le philosophe québecois, auteur de Petits cours d'autodéfense intellectuels (Lux, 2007) retrace l'itinéraire d'Edward Bernays, et en particulier ses premiers « succès » en matière de propagande.
Propaganda : Comment manipuler l'opinion en démocratie
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Edward Bernays, neveu de Freud et Machiavel de la propagande
Rousseau disait de Machiavel « qu’en feignant de donner des lois aux rois, il en a donné aux peuples ». Peut-on en dire autant de l’Américain Edward Bernays (1891-1995), ce double neveu de Sigmund Freud que Normand Baillargeon présente comme « l’un des principaux créateurs [...] de l’industrie des relations publiques » ? La question, à tout le moins, se pose à la lecture de son ouvrage de 1928 franchement intitulé Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie. Dans cet ouvrage « de propagande en faveur de la propagande », selon la formule de Baillargeon, Bernays définit cette dernière comme « un effort cohérent et de longue haleine pour susciter ou infléchir des événements dans l’objectif d’influencer les rapports du grand public avec une entreprise, une idée ou un groupe ». Selon lui, cette technique est, par essence, amorale. Baillargeon rejette cette candeur. Impulsion, habitude, émotion La démocratie à la Bernays, on le voit, a de forts relents de Big Brother. Edward Bernays
Bernays (I) : Qui était Edward Bernays ? : L'Excroissance
Edward Bernays (1891-1995) est un nom qui ne vous dit sûrement rien. Presque personne ne le connaît plus aujourd'hui. Pourtant, il est sûrement un de ceux qui ont le plus profondément bouleversé la société au cours du XXème siècle. Non seulement il a poussé les individus à avoir le mode de vie qu'ont les citoyens des pays riches aujourd'hui, modifiant par-là considérablement le poids matériel et financier des industries et des entreprise au sein de notre société, mais il a aussi augmenté leur ascendance symbolique sur le consommateur en créant les techniques pour le pousser à la consommation. Qui était Edward Bernays ? I. Introduction Plan I. II. 1. IIV. I. IV. I. V. I. I. Plutôt que de suivre le chemin que lui avait tracé son père marchand de graine, et de s'engager dans l'agriculture, Bernays opte pour le journalisme. Après ce succès, Bernays décide de devenir agent de presse pour des célébrités. La suite dans l'article "Bernays en exploits".
The manipulation of the American mind: Edward Bernays and the birth of public relations
“The most interesting man in the world.” “Reach out and touch someone.” “Finger-lickin’ good.” Such advertising slogans have become fixtures of American culture, and each year millions now tune into the Super Bowl as much for the ads as for the football. While no single person can claim exclusive credit for the ascendancy of advertising in American life, no one deserves credit more than a man most of us have never heard of: Edward Bernays. I first encountered Bernays through an article I was writing on propaganda, and it quickly became clear that he was one of the 20th century’s foremost salesmen of ideas. Bernays pioneered public relations Often referred to as “the father of public relations,” Bernays in 1928 published his seminal work, Propaganda, in which he argued that public relations is not a gimmick but a necessity: The conscious and intelligent manipulation of the organized habits and opinions of the masses is an important element in democratic society.