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Edward Bernays : la fabrique du consentement ou comment passer du citoyen au consommateur

Edward Bernays : la fabrique du consentement ou comment passer du citoyen au consommateur
Edward Bernays est né en 1891 à Vienne et il est mort en 1995 à Boston. 103 années d’une vie fructueuse. Une vie consacrée à l’une des tâches majeures de notre siècle : celle qui consista à pervertir les democraties pour faire plier les volontés des masses aux desseins des élites, en toute non-violence. Edward Bernays était le neveu de sigmund Freud et il a su exploiter les avancées apportées par son oncle, ainsi que le rayonnement scientifique de ce dernier dans le domaine de la connaissance de l’irrationnalité, à des fins économiques idéologiques et politiques. Sa discrétion dans notre paysage culturel actuel est inversement proportionnelle à l’ampleur de sa tâche. Même dans les agences de pub ou dans les services de relations publiques, son nom est presque inconnu, tout du moins en France. Au début du siècle, étudiant en agriculture, fils d’un marchand de grains très prospère, Bernays s’ennuie et décide de se lancer dans le journalisme. Pourquoi les relations publiques ? Sources :

Edward Bernays Edward Bernays en 1917. Œuvres principales Il est considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques, qui ont fortement contribué à développer le consumérisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Edward Bernays naît à Vienne en 1891. Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud[3],[4], neveu germain et neveu par alliance[5],[6] : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud,sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[7]. Il a publié en 1965 son autobiographie[8]. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays, fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle »[9]. Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le cofondateur et premier PDG de Netflix[10]. — E.

11 - Il était une fois la mondialisation " Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire. " David Rockefeller , 1999 "Les quelques banques qui, grâce au processus de concentration, restent à la tête de toute l'économie capitaliste, ont naturellement une tendance de plus en plus marquée à des accords de monopole, à un trust de banques. En Amérique, ce ne sont plus neuf, mais deux très grandes banques, celles des milliardaires Rockefeller et Morgan, qui règnent sur un capital de 11 milliards de marks. " (Lénine , L'Impérialisme, stade suprême du capitalisme, 1916) - Il l'avait rêvée …. L'apôtre Luc raconte qu'après un jeûne de quarante jours dans un désert , Jésus, victime d'hallucinations, voit un " Démon " surgir devant lui et lui faire trois propositions, appelées " tentations ". L'OTAN et les grandes institutions financières Reporters sans frontière Le système d'espionnage Echelon Les institutions européennes

Edward Bernays, neveu de Freud et Machiavel de la propagande Rousseau disait de Machiavel « qu’en feignant de donner des lois aux rois, il en a donné aux peuples ». Peut-on en dire autant de l’Américain Edward Bernays (1891-1995), ce double neveu de Sigmund Freud que Normand Baillargeon présente comme « l’un des principaux créateurs [...] de l’industrie des relations publiques » ? La question, à tout le moins, se pose à la lecture de son ouvrage de 1928 franchement intitulé Propaganda. Comment manipuler l’opinion en démocratie. Dans cet ouvrage « de propagande en faveur de la propagande », selon la formule de Baillargeon, Bernays définit cette dernière comme « un effort cohérent et de longue haleine pour susciter ou infléchir des événements dans l’objectif d’influencer les rapports du grand public avec une entreprise, une idée ou un groupe ». Selon lui, cette technique est, par essence, amorale. Baillargeon rejette cette candeur. Impulsion, habitude, émotion La démocratie à la Bernays, on le voit, a de forts relents de Big Brother. Edward Bernays

Bernays (I) : Qui était Edward Bernays ? : L'Excroissance Edward Bernays (1891-1995) est un nom qui ne vous dit sûrement rien. Presque personne ne le connaît plus aujourd'hui. Pourtant, il est sûrement un de ceux qui ont le plus profondément bouleversé la société au cours du XXème siècle. Non seulement il a poussé les individus à avoir le mode de vie qu'ont les citoyens des pays riches aujourd'hui, modifiant par-là considérablement le poids matériel et financier des industries et des entreprise au sein de notre société, mais il a aussi augmenté leur ascendance symbolique sur le consommateur en créant les techniques pour le pousser à la consommation. Qui était Edward Bernays ? I. Introduction Plan I. II. 1. IIV. I. IV. I. V. I. I. Plutôt que de suivre le chemin que lui avait tracé son père marchand de graine, et de s'engager dans l'agriculture, Bernays opte pour le journalisme. Après ce succès, Bernays décide de devenir agent de presse pour des célébrités. La suite dans l'article "Bernays en exploits".

Manuscrits de 1844 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Les Manuscrits ont été rédigés par Karl Marx lors de son séjour à Paris en 1844. Ils étaient destinés à son usage personnel comme mise au clair de sa pensée et non à la publication[réf. nécessaire]. Ils furent publiés pour la première fois en 1932. Thèmes[modifier | modifier le code] Communisme et propriété[modifier | modifier le code] Comment le communisme aborde-t-il la propriété ? Besoin, luxe et misère communisme et division du travail[modifier | modifier le code] Le besoin d’argent est l’unique besoin produit par l’économie politique tant et si bien que l’on voit réapparaître les modes les plus primitifs du travail. L’ouvrier est dépossédé de son moyen de production, son moyen d’existence est celui d’autrui du fait de la puissance inhumaine qui règne universellement. L’homme marchandise ; propriété foncière, capital et travail[modifier | modifier le code] L’argent[modifier | modifier le code] Karl Marx

Les infiltrés @ Fini Les Concessions : Si j’ai bien compris votre démonstration, on ne peut pas dire que les dominants complotent car n’ayant pas choisi leur statut social, ils seraient eux-mêmes dominés par leur domination. Cependant comme toute classe sociale, ils "mettent en place des stratégies pour défendre et maintenir leurs intérêts"... Une stratégie pour défendre et maintenir ses intérêts ne peut-elle pas donner lieu à un complot ? Par exemple quand la CIA renverse en 1953 le gouvernement démocratiquement élu de Mossadegh qui avait entrepris de nationaliser les compagnies pétrolières étrangères ne s’agit-il pas d’un complot ? Marie-Anne Boutoleau (de CQFD) pense qu’il est stupide de prétendre que les complots n’existent pas ("Par ailleurs, la position qui consiste à voir des complots partout est tout aussi stupide que celle qui consiste à n’en voir nulle part"). A propos des diners du Siècle, vous avez remarqué : Mais revenons au "concept" du complot. Et alors me direz-vous ? A bon entendeur..."

marx La comparaison entre les concepts d'aliénation et d'exploitation permet de mieux comprendre cette distinction. a) L'aliénation. C'est un concept philosophique que Marx emprunte à Feuerbach. L'aliénation (du latin alienus qui signifie étranger, autre) est la perte de soi dans un autre. Elle est chez Marx pratique et non métaphysique. On sait combien le taylorisme (postérieur à l'analyse marxiste) a accru le phénomène d'aliénation ainsi décrit. b) l'exploitation. Le matérialisme dialectique correspond à la philosophie marxiste quand le matérialisme historique, lui, se veut une science de l'histoire. a) le matérialisme dialectique. b) le matérialisme historique. Les forces productives : c'est tout ce qui sert matériellement à la production c'est à dire les outils, les machines, les terres, les usines, les matières premières mais aussi et surtout la force humaine de travail. C'est l'état des forces productives qui détermine celui des rapports de production. Le mode de production antique.

Savoir dire non ! LE DEGOUT... ET L'ESPOIR! Combien sommes-nous encore à savoir dire NON ? Combien sommes-nous encore à pouvoir dire NON ? La révolte n’est plus de mise. Son sentiment nous gêne. Nous sommes TOUS tenus en laisse par l’hydre du consensus. Nous battons notre coulpe ! « Oui Monseigneur, oui notre Grand Maître, je subis votre juste courroux parce que j’ai péché ! Je n’ai pas soutenu les cadences qu’exigeait la juste concurrence du marché… J’ai trop dépensé en me goinfrant de raviolis (en boîte) et en osant remplacer mes pauvres baskets par des tongs fabriquées par des enfants en Asie et qui ne tiendront pas longtemps… J’ai emprunté pour refaire mon toit et je suis tombé dans le piège d’un consortium de minables escrocs anonymes. Les assureurs qui sont les sangsues qui vous collent au dos quand vous leur devez le moindre écu, s’éloignent aussitôt quand il s’agit de gratter dans leur riche escarcelle ! Ainsi nous battons notre coulpe parce que, pourtant, peu ou prou, ce système nous semble indispensable. Oui! On se CON-FORME.

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