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La famille fait le bonheur des Français «aisés»

La famille fait le bonheur des Français «aisés»
Elle est pour eux le premier ingrédient d'une vie heureuse. Moins d'un quart d'entre eux considèrent en revanche l'investissement professionnel comme un moteur dans leur existence. La famille avant tout! Malgré leur niveau de revenus, la moitié d'entre eux se décrivent comme économes et souhaitent «vivre sans se priver» (44 %). L'étude distingue dans cette population trois façons de voir la vie. Mais un tiers d'entre eux se trouvent réunis sous la bannière de «La Vie Libre».

«La famille, première clé de l'épanouissement» INTERVIEW - Face à la perte de repères, la famille est plus que jamais perçue comme un espace de bonheur, analyse Marie-José Forissier, présidente de Sociovision-Cofremca. LE FIGARO MAGAZINE. - La famille rime-t-elle avec bonheur aux yeux des Français? Marie-José FORISSIER. - La famille est plus que jamais source de bonheur et d'épanouissement. 89 % des Français interrogés par Sociovision-Cofremca * se disent heureux sur le plan familial, 87 % soulignent que rien ne compte plus à leurs yeux que de partager des moments forts avec leurs proches. La famille est l'une des clés du bonheur des Français, leur réponse à l'adversité ambiante. La crise a-t-elle accentué cette tendance? Elle a joué un rôle d'accélérateur. Ce retour en force de la famille est-il assimilable à un repli? Oui, mais cette attitude n'est pas négative. Dans les années 1960, la famille était à jeter aux orties. Il ne s'agit plus de la même famille: son périmètre est beaucoup plus élargi, élastique.

Il y a des styles de communication différents selon les familles © Jupiter Clairement. Il existe des familles très autarciques, repliées sur elles-mêmes, où le monde extérieur est perçu comme dangereux. La communication y est intense, mais avec l’extérieur elle est réduite : on ne parle pas de soi aux autres, on se méfie de leur manière de penser. A l’inverse, il y a des familles désintégrées, où les intérêts de chacun passent avant la solidarité familiale. On parle avec tout le monde, sauf avec les membres de la famille. C’est pour cela qu’il est utile, en thérapie familiale, de travailler avec une caméra. Les métamorphoses de la famille créent-elles de nouvelles difficultés de communication ? Oui. Tout cela est parfois douloureux et déstabilisant. Les secrets de famille sont-ils toujours aussi fréquents ? Moins, parce que la parole se libère à mesure que tombent les tabous. Des secrets sont aussi maintenus parce que ceux qui les détiennent n’ont pas pensé qu’il était important de les révéler.

Du bonheur en situation de malheur ? Lorsqu'une personne est touchée par un malheur, c'est tout son être, toute sa personne, son corps, ses pensées, son environnement qui sont touchés, affaiblis. Quelle est alors la part que l' ‘autre’ peut prendre pour l'aider à sortir du néant dans lequel elle se trouve ? L’auteur, dans son mémoire de Duheps, explore la signification de ce temps de passage ‘entre malheur et vie meilleure’, ce qui est du domaine de la personne et ce qui est collectif. Tout d’abord ce fut un retour sur mon histoire de vie, mon enfance, mes voisins du bidonville d'à côté, dont le souvenir imprégné en moi est celui de personnes vivant des situations de grande pauvreté et violence, et de mères que je voyais souvent pleurer. Le choc pour moi, enfant, de voir des personnes vivre dans de telles conditions et, malgré tout, des liens entre enfants, des liens d’écoliers, des livres ou des devoirs qu’on se prêtait. - l’environnement culturel, l’imaginaire, l’esthétique - les relations humaines - l’extrême pauvreté. B.

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La recette du bonheur existe, c'est Harvard qui le dit ! En novembre 2015, lors d’une conférence TEDx, Robert Waldinger a révélé l’aboutissement d'une longue, d'une très longue étude. Pendant 75 ans, des chercheurs de la prestigieuse Harvard Medical School ont suivi à la loupe le quotidien de 724 hommes. Alors que, généralement, les études de cet acabit s’arrêtent au bout d’une dizaine d’années, faute de moyens, ici pas moins de quatre directeurs d’étude se sont succédés depuis 1938 pour mener à bien les recherches. La chaire sur le « développement de l’adulte » (Study of Adult Development) de l'université a passé au crible tous les aspects de la vie des participants. À intervalles réguliers, les scientifiques ont méticuleusement interrogé les patients sur leur travail, leur famille et leur santé. Ils ont réalisé des analyses de sang, des scanners des cerveaux et sont même allés jusqu’à autopsier les participants décédés. Un travail titanesque Le projet original était ambitieux, tant au niveau des fins que des moyens. À lire aussi :

Heureux d'être malheureux: le cas français La prestigieuse revue américaine The New Yorker s'interroge sur le cas français: un pays à la psychologie particulière qui se complait dans les lamentations sur soi-même et le malheur. «En dépit en général d'excellentes conditions de vie matérielles en France, les Français sont lugubres. Un récent sondage WIN-Gallup montre que leurs prévisions pour l'année sont plus sombres que celles des Irakiens et des Afghans», écrit le New Yorker. Il n'est pas le seul média à s'étonner de ce paradoxe. Le quotidien britannique The Guardian fait le même constat dans un article qui cite abondamment l'économiste française Claudia Senik. Pour Claudia Senik, le «paradoxe français» - le fait que la prospérité générale du pays ne se traduit pas par le bonheur de ces citoyens - peut s'expliquer par des «attitudes mentales acquises à l'école et à d'autres occasions de socialisation, plus particulièrement pendant la jeunesse». Slate.fr Partagez cet article

Enfants Québec Être parent rend-il heureux? Crédit: Istockphoto Avoir des enfants apporte-t-il le bonheur? La réponse n’est pas si simple… Pascale Navarro Normand et Isabelle rêvaient de fonder une famille. Quand les parents s’oublientVoilà bien une histoire dans laquelle tous les parents se reconnaissent. Avoir un enfant occupe un espace mental, affectif et physique qu’on ne soupçonne pas. La vie en rose«Avant d’avoir son enfant, on pratique la pensée magique», dit Annie Carpentier, auteure de Quel bonheur d’être une mère heureuse ! «Il faut faire le deuil de l’enfant rêvé, conseille Claudia Écrement, psychologue auprès des jeunes et des familles en clinique privée et collaboratrice au magazine Enfants Québec. L’idéalisme découle bien sûr d’une certaine naïveté. Gérer les attentesCinquante ans après la pilule, on ne devient plus parent pour les mêmes raisons qu’avant. Autrefois, les enfants arrivaient souvent sans qu’on l’ait vraiment choisi. Par ailleurs, selon Mme Dubé, on saisit peut-être mal ce qu’est le bonheur.

François de Singly : "La famille apporte le bonheur ensemble et le bonheur individuel" Spécialiste de la famille, François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, décrit comment, aujourd'hui, on perçoit la famille moderne. Il a récemment publié "Les Adonaissants", Armand Colin, Paris, 2006. Le Monde.fr | | Propos recueillis par Propos recueillis par Karim El Hadj Quelle définition donneriez-vous du mot famille ? François de Singly : Il n'y a pas de définition de la famille de telle sorte qu'elle puisse exister à n'importe quelle période de l'histoire de l'humanité et dans n'importe quelle culture. D'où viennent les idées que l'on se fait de la famille ? Les références à la famille que nous avons viennent de l'Etat, de notre propre histoire familiale, mais aussi des romans, des films... Quand la famille est-elle devenue moderne ? Quelle est la caractéristique de la famille actuelle en Europe ? François de Singly : En Europe, la famille est conçue comme l'espace offrant un lieu de réalisation de soi.

Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous Avoir des enfants rend-il (plus) heureux ? Barbara Lambert : La théorie qui prédominait jusqu’à présent était que les couples sans enfants étaient plus heureux que les couples avec enfants. Or une étude vient de paraître selon laquelle les couples avec enfants ne seraient pas forcément plus heureux mais « moins malheureux », sur le long terme, que les couples sans enfant. Avez-vous pu constater une telle évolution dans votre pratique quotidienne ? Valérie Colin Simard : Oui, je constate exactement ce dont vous parlez. La question serait plutôt de savoir si avant, c’était différent. Peut-être que dans la période post-68, il y avait une sorte d’idéal de liberté… En tout cas, aujourd’hui, nous vivons dans un monde où beaucoup n’ont plus de repères, et ont du mal à trouver un sens à leur vie. En même temps, bien des femmes sont malheureuses de ne pas avoir d’enfant… Toutes les femmes ne le sont pas forcément… Bien sûr. C’est un sentiment qui perdure ? Oui, alors que c’est faux. C’est vrai. atlantico sur facebook notre compte twitter

Le bonheur en famille. Du bonheur pour toute la famille ! Cela peut paraître simpliste, mais c’est pourtant primordial : Nos enfants ont besoin de nous voir heureux pour s’épanouir et grandir sereinement. Le bonheur en famille est souvent près de nous… tellement près qu’on ne le voit pas ! Le quotidien nous entraîne dans une routine monotone et parfois négative. En résumé: on voit le verre à moitié vide alors que nous pourrions facilement le voir à moitié plein ! Pourquoi notre bonheur est important aux yeux de nos enfants ? Pour Isabelle Filliozat (psychothérapeute et mère de deux enfants), notre état d’esprit peut influencer le comportement de nos enfants. Résultat : L’enfant passe à côté de ses sentiments, étouffe ses propres besoins et peut ressentir une certaine culpabilité. Avant toute chose : déculpabilisez votre enfant Nous aimons les idées de Françoise Dolto sur ce sujet. Elle avance notamment l’idée suivante : On ne peut pas mentir à l’inconscient, il connaît toujours la vérité. Comment être heureux au quotidien ? A très bientôt Amélie

« Le bonheur, ça s'apprend » - Le Parisien Médecin, psychiatre en exercice, lecteur de Freud très jeune, Christophe André a un jour ouvert son approche, vers la méditation notamment, en s'engageant plus personnellement dans ses livres. « Et n'oublie pas d'être heureux : Abécédaire de psychologie positive » (Ed. Odile Jacob), qui vient de sortir en poche, va accompagner notre été : chaque jour, à partir de demain et jusqu'au 21 août, vous découvrirez un extrait de cet abécédaire, 42 raisons d'être heureux, en somme. Christophe André nous explique son approche de la sérénité. Vous avez débuté comme un psychiatre classique, puis vos livres ont changé, vous avez parlé du bonheur, et même de vous. CHRISTOPHE ANDRÉ. Que recouvre la notion de psychologie positive ? Ce terme peut agacer, il est un peu limitatif. Dans votre livre, vous dites que vous n'êtes pas plus doué qu'un autre pour le bonheur... On a tous des petites tendances anxieuses ou dépressives. Le mode d'emploi, c'est le vagabondage.

Le premier enfant rend plus heureux. Le deuxième aussi. Mais le troisième... «Famille nombreuse, famille heureuse»? Pas si simple. En fait, la naissance des deux premiers enfants procurerait du bonheur supplémentaire aux parents, mais il semblerait que ce soit moins marqué pour le troisième bambin, selon une étude de la London School of Economics, que relaie le Smithsonian Mag. Les chercheurs se sont fondés sur les données de plus de 7.000 familles, recueillies sur plus de dix ans, à la fois en Allemagne et en Grande-Bretagne. Ils se sont intéressés à la correspondance entre le niveau de bonheur auto-évalué par les couples et le fait que ces derniers attendent un enfant ou aient eu un bébé récemment. Résultat: il semblerait que la naissance du premier enfant augmente significativement le bonheur de ses heureux géniteurs. Pas de panique, cela ne signifie pas que les parents manquent d’intérêt pour leur troisième rejeton, ni qu’il sera moins heureux que ses frères et soeurs, explique l'un des chercheurs au Washington Post:

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