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Prosommateur

Prosommateur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prosommateur est un néologisme issu du terme anglais prosumer qui cherche à décrire les tendances qu'ont les consommateurs à se professionnaliser et s'approcher de la figure de producteur. Notamment par le biais de connaissances acquises grâce à un accès à l'information considérable (ce qui est d'autant plus vrai à l'ère numérique), et poursuivant certaines convictions d'ordre plus politique. Origine[modifier | modifier le code] Ce terme a été créé par la contraction des suivants : producer / professional et consumer. Inventé dès 1980 par Alvin Toffler, ce terme se trouve de plus en plus utilisé dans des publications scientifiques. Il est aussi utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail du commerce

Vulgarisation web2.0 : le web des prosommateurs « Mglcel’s Weblog “Information” et “Automatique” ont formés en 1967, après décision du Général De Gaulle, le mot ‘Informatique’ . Alvin Toffler, l’un des futurologues américains les plus célèbres de notre temps, inventa en 1980 le terme ‘Prosumer’, provenant de ‘producer’/’professional’ et de ‘consumer’, ce qui traduit en français à partir de ‘professionnel’/’producteur’ et ‘consommateur’ donne ‘prosommateur’. Wikipedia donne cette définition : « Le plus souvent utilisé dans le domaine du commerce pour signifier que le consommateur participe à la distribution (dans la vente par internet ou au supermarché). Alvin Toffler et sa femme Heidi définissent ainsi le terme : « Le terme a été inventé pour qualifier ceux qui créent des biens, des services ou de l’expérience, destinés à leur usage privé, et à leur satisfaction personnelle, plutôt qu’à la vente ou à l’échange. Le web actuel permet donc à l’humanité de continuer de s’adonner à un de ses passe-temps préférés, à l’échelle du marché numérique mondial.

Groupe de travail sur l'économie de la contribution ARCHIVES DE l'ATELIER - Enregistrements audio des séances de l'atelier - Intervention de Bernard Stiegler lors de la séance du 6 Novembre 2010 (video) - Intervention de Bastien Sibille : Entreprises à sources ouvertes - monnaie et dette, séance du 17 décembre 2011 : paix monetaire et financiere au sein de la zone euro - Innonation comme pharmacologie positive au delà de la logique économiste : séance du 4 février 2012 - Propositions pour le financement d'une croissance durable et soutenable : séance du 20 mars 2012 - Energie contributive : séance du 19 mai 2012 - Efficacité énergétique : séance du 28 janvier 2013 Ce groupe de travail « Economie de la contribution », est une thématique au centre de nos préoccupations ; celle-ci a fait l’objet de plusieurs débats au théâtre de la Colline et a été largement abordée dans nos publications, dans nos interventions publiques et dans notre Manifeste 2010.- cf. www.arsindustrialis.org/manifeste-2010 [1] cf. [2] cf. [4] cf. [8] cf. [9] cf. [10] cf.

Le Prosommateur et la culture du Travail Le Prosommateur et la culture du travail « L’essence des clubs de troc c’est la culture du travail (…) la finalité du troc ce n’est pas acheter et vendre mais produire » José Sandler (coordinateur du Globito Azul, Viedma- entretien TAOA du 23 Janvier 2011) « Dans un club de troc, il faut travailler » Beatriz Riveiro (coordinatrice du nodo Estrella, Buenos Aires – entretien TAOA du 05 Décembre 2010) « Le RGT est un réseau d’échanges de biens et services par et pour des gens qui croient que l’argent ne doit pas être la condition déterminant la vraie valeur d’une personne. Personne ne va nous sauver, sauf notre propre travail: le secret consiste à travailler et démontrer(prouver) – et se démontrer(se prouver) – que l’échange génère une valeur qui complète le système économique traditionnel». Les ferias des clubs de troc ne sont pas un marché comme les autres où se rencontrent vendeurs et acheteurs. Comment cela se traduit-il dans la réalité ? Sans prosommateur, que se passe-t-il ? 1. 2.

Bernard Stiegler : “Il y a beaucoup d’inventions qui ne produisent aucune innovation” - Nouvelles technos Constatant l'échec du consumérisme, le philosophe Bernard Stiegler soutient que seule l'intelligence collective permettra une économie innovante. Entretien, dans le cadre d’un “spécial innovation” que nous déclinerons jusqu’à ce week-end. C'est la bonne nouvelle de ces temps de crise, l'innovation innove ! L'innovation a une histoire, liée à celle de l'entreprise, de l'industrie, des technologies de pointe. Qu'est-ce qui distingue invention et innovation ? Quels sont les risques de l'innovation ? Mais ce modèle d'innovation n'est-il pas à bout de souffle, à force de courir après une technologie qui change de plus en plus vite ? En plus, si Sony est en train de mettre au point un nouveau procédé, il y a toutes les chances pour qu'en Californie ou ailleurs quelqu'un travaille sur un sujet proche. “En inventant la figure du consommateur, Ford a résolu - très provisoirement - le problème du chômage par une production de masse profitant à tout le monde, y compris aux travailleurs.”

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler. Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler

"Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite Eco89 publie un extrait du nouveau livre de Chris Anderson, mode d’emploi du commerce à l’ère du tout numérique. Faux billet de zéro dollar à l’effigie de George Bush (DR) Le meilleur moyen de gagner de l’argent ? Tout proposer gratuitement ! C’est la thèse surprenante de Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired, le magazine de référence du web et du numérique. Idéaliste ou visionnaire ? Chris Anderson n’en est pas à son coup d’essai. Avec Free ! Une gratuité complète (grâce à la pub notamment), ou partielle voire factice (en faisant payer des services complémentaires, par exemple). Dans cet extrait, Anderson présente les « règles du gratuit » et « les dix principes du raisonnement d’abondance ». Si c’est numérique, tôt ou tard cela sera gratuit. Sur un marché concurrentiel, les prix chutent jusqu’au coût marginal. Les atomes aimeraient bien être gratuits aussi, mais ils n’y mettent pas autant du leur. Hors du domaine numérique, les coûts marginaux tombent rarement à zéro. ► Free !

Bernard Stiegler « Siné déblogue La Zone de Siné Retrouvez sa dernière Zone » Stéphane Mazurier raconte… L'histoire (glaçante) de l'extrême droite française Le parti de Marine Le Pen pourrait devenir le premier parti de France aux élections européennes. Lire l’article » Vidéos Le FN n’est pas d’extrême droite Voir la vidéo » Filoche sème son blog L’entreprise C’est du dancingLire l’article » Livre Les Chats de Siné réédité Disponible en librairie » Fiche Libres savoirs, les biens communs de la connaissance Auteur(s) du livre: Ouvrage collectif coordonné par VecamÉditeur: C&F Éditions978-2-915825-06-0Publié en 2011Première rédaction de cet article le 5 novembre 2011 Qu'est-ce qu'il y a de commun entre la paysanne mexicaine qui réclame de pouvoir faire pousser des semences de maïs de son choix, le parisien qui télécharge de manière nonhadopienne un film qu'il ne peut pas acheter légalement, la chercheuse états-unienne qui veut publier ses découvertes sans enrichir un parasite qui vendra très cher le journal scientifique, le programmeur brésilien qui développe du logiciel libre, et l'industriel indien qui veut fabriquer des médicaments moins chers ? Tous veulent pouvoir utiliser librement le savoir issu des communs. Car même si les cinq personnages cités plus haut n'en sont pas forcément conscients, leur lutte est la même. Les biens immatériels représentent un cas particulier : contrairement au champ de l'article de Garrett Hardin, leur usage ne les épuise pas et ils peuvent être copiés.

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