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L’ère du management paradoxal

L’ère du management paradoxal
C’est histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide ! A l’évocation du mot “intelligence collective”, certains comprennent “perdre le contrôle”, anarchie, désordre,… ; d’autres comprennent innovation, résolution de problème, performance collective, valorisation des intelligences et des expertises pour mieux produire et mieux vendre. Dans les entreprises, l’intelligence collective n’existe pas. Il faut la créer par la volonté des dirigeants (c’est une décision, une vision, un paradigme et non le constat résigné qu’on fait que cela existe ou que cela n’existe pas). Dire que l’intelligence collective n’existe pas est une vision du monde. Vouloir créer l’intelligence collective et la gérer est une autre vision du monde. Mais, peut-on vouloir créer et gérer l’intelligence collective si on a peur de produire du désordre, de l’anarchie ? Pour répondre à la question, je vous propose le concept de management paradoxal qui induit l’idée d’une organisation paradoxale. Qu’est-ce que le chaos ? Related:  Communication / Management / Psycho

Trucs pour contrer la résistance au changement Tout changement aura ses partisans et ses opposants. Une préparation pour le changement ne comprend pas seulement le besoin de susciter l’enthousiasme pour le processus de changement et de travailler avec les adopteurs précoces ou les convertis, mais également d’être prêt à défier et gagner les sceptiques. La première étape pour contrer cette vague de résistance au changement consiste à entreprendre une analyse des champs de force comme moyen d’analyser les <forces motrices> du changement et la reconnaissance des <dispositifs de retenue>. Le changement peut être vu par certains comme une dévaluation de leur expérience passée! Une réflexion sur les perspectives personnelles du changement et la préparation à des réponses aux questions qui pourraient surgir, vous aideront à répondre aux préoccupations qui pourraient apparaître. Tout changement peut susciter certaines ou toutes les réactions suivantes: L’incrédulité initiale – Ça ne marchera pas! Je vous invite à partager vos expériences.

Le R.O.I. de l’intelligence collective enfin démontré Alexis Nicolas se définit comme un “manager 2.0.” Son rôle est d’activer au sein de BNP Paribas une organisation en réseau afin d’améliorer le capital social de l’entreprise. J’ai rencontré Alexis lors de ma dernière conférence à l’IGS. Nous avons échangé sur la question du R.O.I. (retour sur investissement) de l’intelligence collective et trouvé des pistes très intéressantes que je souhaite partager avec vous dans ce billet. Le 30 janvier 2013, Alexis a publié un article dans Le Cercle – Les Échos qui est très éclairant et que je vous invite à lire : Voici un petit résumé de cet article (avec quelques copier-coller !) Le résumé de l’article ! Chacune à leur manière, toutes les entreprises veulent réduire le coût du travail. L’approche classique prône une recherche d’utilisation des ressources à 100 %. L’impasse sur le coût des délais ! Qu’en pensez-vous ? Related

Management d'équipe: six leçons de Saint-Exupéry - L'Express Saint-Ex a vécu la plus belle aventure "technique" de son époque. Homme d'action, bienveillant, visionnaire, il témoigne de profondeur sans idéologie. Ses écrits accessibles à tous (1), peuvent éclairer le manager, lui donner des clés pour retrouver la capacité de faire et d'aller vers ce qui est fondamental, pour soi, l'équipe, la collectivité. Voici six de ses principaux messages. 1. "Il faut, autour de soi, pour exister, des réalités qui durent. >> Des points de stabilité permettent d'affronter ce qui bouge, vite, trop vite. 2. "La grandeur d'un métier est peut être avant tout d'unir les hommes, mais il n'y a qu'un luxe véritable et c'est celui des relations humaines." >> La finalité fonde les efforts communs, crée l'efficacité, fédère les compétences. 3. "Car il est bon que le temps qui s'écoule ne nous paraisse pas nous user et nous perdre, mais nous accomplir. >> Mû par l'urgence, l'homme étouffe, stationnaire, il s'ennuie. 4. 5. 6. "Mais tu ne peux pas cueillir les étoiles !

Management : 6 leçons des philosophes Ils nous invitent à nous connaître nous-même, à douter de nos certitudes, à aimer les autres, à avoir du courage… Pour bien diriger et encadrer une équipe, inspirons-nous des philosophes ! Souvent à contre-courant des idées reçues sur le leadership, les pensées de Platon, Descartes ou encore Kant, sont un atout précieux pour développer une véritable philosophie managériale et poser les bases d’un management humaniste. Leçon de philo appliquée à la vie en entreprise avec Patrick Errard, auteur de La philosophie au secours du management. Margaux Rambert Sommaire A découvrir Les idées à retenir « Connais-toi toi-même », de Socrate et « Cogito ergo sum » - « Je pense donc je suis » -, de Descartes. « Qui est-on, avant d’être manager ? L’idée reçue : « Evoluer dans sa carrière, c’est devenir manager. Le décryptage de Patrick Errard« En France, l’évolution de carrière est essentiellement basée sur une culture méritocratique. En pratique : « Pourquoi suis-je manager ou ai-je envie de le devenir ?

Bien-être émotionnel au travail 1Le concept de bien-être au travail souligne l’importance cruciale de la prévention des risques psychosociaux au travail, risques qui ont des conséquences néfastes pour les salariés, mais aussi pour l’ensemble de la société. Ces problèmes se manifestent sous plusieurs formes : dépression, épuisement professionnel (burn out), détresse psychologique et maladies physiques, problèmes qui ont, bien entendu, des conséquences sur la performance de l’entreprise (Gollac, Bodier, 2011). 2La question de la santé mentale des salariés est devenue un enjeu capital pour les entreprises parce qu’elle a pour corollaire l’augmentation du taux d’absentéisme et la baisse de productivité des salariés concernés (Cooper, 2006). La particularité de notre étude est d’envisager la dimension émotionnelle de ce bien-être dans le contexte particulier d’un changement organisationnel. 2.1 Bien-être et émotions au travail « L’implication de la direction générale et de son conseil d’administration est indispensable.

5 choses à savoir sur l'holacratie Supprimer les positions de pouvoir et la bureaucratie, donner plus d'agilité à l'entreprise... Les bienfaits supposés de l'holacratie sont tels que ce système de gouvernance mis au point en 2001 par un éditeur de logiciels américain, Ternary Software, a depuis fait des émules. Le cas le plus emblématique fut celui de Zappos, qui annonçait début 2014, qu'il passait à ce mode d'organisation enterrant la notion de hiérarchie. "Adopter l'holacratie, c'est tout à coup se voir renvoyer toutes les incohérences de son organisation et se donner la possibilité d'y remédier", explique, enthousiaste, Bernard Marie Chiquet, qui, à travers son cabinet iGi Partners, accompagne Kingfisher, Danone, ou encore bientôt Décathlon, pour tester le "concept" sur des unités pilotes. Quels sont les grands principes qui régissent l'holacratie ? Le point, avec cet expert. >>> A lire : l'interview de la présidente du directoire de Scarabée Biocoop, une PME qui a adopté l'holocratie 1. 2. 3. 4. 5.

Sérendipité en entreprise Qu’est-ce que la sérendipité ? Pour faire court, cela désigne la découverte d’information par le biais du hasard. On parle de recherche aléatoire, de découvertes inattendues… C’est une démarche plus ou moins consciente que l’on a tous déjà pratiqué et qui a fait l’histoire de l’humanité. Pour en savoir plus : wikipédia Pourquoi la sérendipité est-elle d’actualité ? On parle beaucoup de sérenpidité en ce moment car le web a développé chez tous un goût prononcé pour celle-ci et a même transformé la structure mentale des natifs numériques (les digital native) qui privilégient désormais les approches sérendipiennes aux démarches structurées. Alors la sérendipité a-t-elle sa place dans l’entreprise ? La première réaction face à la sérendipité est de la considérer comme contre-productive. Pourtant La sérendipité a des qualités indéniables que les entreprises ne devraient pas négliger : Elle est notamment un gage d’ouverture d’esprit et de créativité.

Poult : le management démocratique existe Le groupe toulousain Poult est aujourd’hui le deuxième vendeur de biscuits en France, derrière LU. Si la marque ne vous est pas aussi familière, c’est que Poult fabrique des produits affichant la griffe du distributeur. En fait, ses cinq usines et ses huit cents employés fournissent quasiment toutes les chaînes de supermarchés et d’hypermarchés de l’Hexagone. Jérôme Introvigne (@oimoci), ancien directeur de l’innovation, a remplacé au pied levé Carlos Verkaeren, PDG de la société, sur la scène de Lift France. Il n’aurait logiquement pas dû être à Lift pour nous présenter cette dernière, puisqu’il l’a quittée la semaine précédente pour monter sa start-up, Skiller, une plateforme collaborative de partage de compétence professionnelle ! Mais il reste cependant suffisamment enthousiaste à l’égard de son ancien employeur pour le représenter. Image : Jérôme Introvigne sur la scène de Lift France. Mais comment passer à la pratique ? Rémi Sussan Signaler ce contenu comme inapproprié

« Une entreprise dans laquelle il n’y a pas d’ordre est incapable de survivre mais une entreprise sans désordre est incapable d’évoluer » Bernard Nadoulek by nicoxbus Sep 13

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