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L'attention, comment ça marche

L'attention, comment ça marche
L'attention est l'objet de tous les enjeux. Elle est pour de nombreux auteurs la nouvelle ressource économique rare. Mais qu'est-ce que cette attention, comment fonctionne-t-elle, quels sont les éléments qui la favorisent ou qui la distraient ? Jean-Philippe Lachaux est un spécialiste du cerveau, et il a particulièrement orienté ses recherches vers l'attention. Dans Le cerveau attentif, il fait régulièrement le lien entre les mécanismes de l'attention tels que nous les vivons, et la biologie du cerveau. La vidéo de son intervention pour la FFFOD et Communotic constitue une introduction à son travail très intéressante et adaptée au monde de la formation et de l'enseignement. Attention sélective / attention exécutive L'attention sélective permet de repérer un visage dans une foule, des mots dans un texte, de sélectionner des objets... Diriger notre attention Nous sommes capable d'orienter notre attention sur certaines voix, des couleurs ou des objets. La carte de saillance Ressources : Related:  COGNITIF- NEUROSCIENCESapprendre

Ressources didactiques » LA MOTIVATION DES ELEVES La motivation est définie en termes « d’état d’activation » pour répondre à un motif à satisfaire. Il existe diverses sortes de motivations mais nous nous intéressons ici aux motivations dites cognitives (la curiosité). Elle consiste à susciter chez l’apprenant l’envie, le désir d’apprendre, à capter son attention, à l’intéresser. Lors de la conduite d’une leçon, la motivation des élèves revêt une grande importance, en ce sens qu’elle met l’élève dans une situation qui l’amène à s’intéresser aux différents contours de la notion qui doit être évoquée. Les différentes analyses sur la motivation à apprendre en contexte scolaire révèlent qu’un certain nombre de facteurs influe sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe, notamment les informations sur le contenus, les activités d’apprentissage que l’enseignant propose, l’évaluation qu’il impose, les récompenses et les sanctions qu’il utilise, et lui-même, de par sa passion pour sa matière et le respect qu’il porte à ses élèves.

Comment j’apprends Au moment où on entend parler de plus en plus des moocs et autres classes inversées, il est toujours intéressant de revenir à des fondamentaux ! Or dans notre domaine de spécialité, ce qui est fondamental c’est le sujet qui apprend (cf la vidéo de cloture du mooc itypa2 dans l’échange que j’ai eu avec Marcel Lebrun). Les méthodes d’enseignement sont-elles capables de transformer les formes de l’apprentissage des sujets ? Les sujets doivent-ils s’adapter aux formes d’enseignement qui leur sont proposées ? La mesure des taux d’échecs ou d’abandon face aux différents systèmes, méthodes, types d’enseignement, nous renseigne au moins sur un point, bien connu depuis longtemps : il ne suffit pas d’enseigner pour que quelqu’un apprenne !!! Pour revenir aux fondamentaux, regardons simplement comment chacun de nous apprend. Mais le problème initial est que l’école a tout déformé ou formaté. La question qui se pose à chacun de nous est donc de comprendre comment on apprend soi même.

Des sciences cognitives à la classe : Entretien avec Olivier Houdé Les sciences cognitives frappent à la porte de la classe. Mais les concepts et outils développés dans les laboratoires ont-ils une pertinence dans les classes ? Les enseignants s’interrogent sur les apports de la psychologie expérimentale et des neurosciences et sur la possible articulation entre les résultats scientifiques et les pratiques de classe. "L'enseignement repose toujours sur l'idée qu'il faut accumuler et activer des fonctions cognitives, et jamais sur l'idée de travailler sur les capacités d'inhibition." Olivier Houdé : « La pédagogie, c’est la science des apprentissages. Ainsi, les enseignants doivent savoir qu’il y a trois systèmes cognitifs dans le cerveau. Quelles pistes pour enrichir une formation initiale et continue fonctionnant sur le modèle "cumulatif" pour que les enseignants s'approprient une certaine posture clinicienne (au sens d’observer, repérer, reconnaître les actions cognitives sous-jacentes) pour proposer des activités pédagogiques appropriées ?

Comment fonctionne la mémoire Je me répète: la science prend du temps, je publie quand je peux, le mieux est de me suivre sur Twitter, Facebook ou Google Plus. Un grand merci à Stefania De Vito, chercheuse en sciences cognitives à l’ICM, Hôpital de la Salpêtrière. Elle publie dans plusieurs revues scientifiques (cfr. liens) : “Images of the future drawn from the past”, dans “The Psychologist”, la revue della British Psychological Society: “Clic! “Il futuro non sarà com’era”: Alexander Luria, « Une prodigieuse mémoire », Delachaux et Niestlé, 1992 Signaler ce contenu comme inapproprié

Les invariants pédagogiques Tels que définis par C. Freinet en 1964 Pour lire le texte intégral : Bibliothèque de l'Ecole moderne n° 25 C'est une nouvelle gamme des valeurs scolaires que nous voudrions ici nous appliquer à établir, sans autre parti-pris que nos préoccupations de recherche de la vérité, à la lumière de l'expérience et du bon sens. Sur la base de ces principes que nous tiendrons pour invariants, donc inattaquables et sûrs, nous voudrions réaliser une sorte de Code pédagogique ... Invariant n°1 L'enfant est de la même nature que l'adulte. Invariant10 bis Tout individu veut réussir.

Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ? Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. L’ordreL’associationLa répétition Sur la carte heuristique suivante, j’ai dessiné quatre branches : j’ai scindé « association » et « combinaison d’associations » pour une question de visualisation. Arts de la mémoire – principe de mémorisation 1. Pour mémoriser, il faut d’abord placer les éléments à retenir dans un certain ordre.

Cogni-sciences Apprendre à apprendre et à enseigner à l’aide des neurosciences et de la pédagogie des gestes mentaux (Céline Breysse) L'année dernière, j'ai été contactée par Céline Breysse dans le but d'organiser : – une formation à destination des enseignants du lycée professionnel où elle enseigne – et une intervention auprès d'un groupe d'élèves concernant la méthodologie de travail et les techniques de mémorisation. Céline Breysse fait partie de ces enseignants bienveillants, enthousiastes et profondément engagés, qui ne cessent d'apprendre et de se documenter dans le but d'aider leurs élèves à prendre confiance en eux et en leur potentiel, pour progresser et découvrir de quoi ils sont capables. Elle avait lu mon livre "Objectif mémoire" et avait le projet de monter un accompagnement à destination de lycéens volontaires. Son énergie est communicative et son humilité exemplaire. Voici le témoignage qu'elle a écrit en réponse à mon invitation : Professeur en lycée professionnel depuis une dizaine d’années, j’ai repéré que de nombreux lycéens ne savent pas comment s’y prendre pour mémoriser des connaissances.

Métacognition - Les gestes professionnels à l'École primaire En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et des offres adaptés à vos centres d’intérêts. Pour en savoir plus cliquez ici. Les gestes professionnels à l'École primaire Sur mon autre blog : Un facteur à l'Éducation nationale Contact Accueil >> Métacognition Métacognition Je viens de mettre le nouveau dossier en ligne Cordialement Jacques Fraschini Newsletter envoyée le Dimanche 28 Février 2016 Retour à la liste des newsletters Les gestes professionnels à l'École primaire - Concevoir son blog avec Eklablog - CGU - Signaler un abus -

De la question des devoirs à l’apprentissage de l'autonomie dans le travail personnel, pistes et ressources pour la formation Sommaire Ce texte s'appuie sur la modélisation conçue par le centre Alain-Savary présentée dans le document "Concevoir des formations pour aider les enseignants à faire réussir tous les élèves", et notamment sur les cinq directions proposées pour concevoir la formation continue : Prendre conscience des inégalités générées par les devoirs à la maison et des ruptures didactiques entre les différents espaces/temps du travail personnel Historiquement, la question des devoirs se pose dans le cadre d’une institution scolaire marquée traditionnellement par une division du travail : le temps du cours où le professeur enseigne et le temps de l’étude où l’élève apprend. communes et les structures associatives. La plupart des enseignants ont parfaitement conscience que les devoirs à la maison posent des problèmes du point de vue de l’égalité des élèves. Pour travailler la question en formation : Travailler autour des dilemmes de métier générés par les devoirs et le travail personnel Pour quoi faire ?

Neuromythes et enseignement De récentes études ont montré que les enseignants croient souvent à des neuromythes, c’est-à-dire à de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau,. Ces neuromythes peuvent s’avérer problématiques pour la réussite des élèves, parce qu’ils peuvent orienter les pédagogues vers des pratiques d’enseignement qui ne sont pas entièrement compatibles avec le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Pour cette raison, dans cet article, les trois neuromythes les plus fréquents en éducation sont présentés et discutés. Le premier concerne les styles d’apprentissage, le deuxième est lié à la notion de« cerveau gauche et cerveau droit » et le troisième touche aux exercices de coordination visant l’optimisation du fonctionnement cérébral. Neuromythe 1 : Les élèves apprennent mieux lorsqu’ils reçoivent l’information dans leur style d’apprentissage préféré (ex. auditif, visuel ou kinesthésique). Il est temps d’abandonner ces neuromythes au profit d’une pédagogie plus efficace. Conclusion

Infographie: le pouvoir de l'inspiration ! L’inspiration est l’un des piliers de la créativité. Le dictionnaire la définit comme « une idée qui pousse à la création » ou encore un « enthousiasme, souffle créateur qui anime l’écrivain, l’artiste, le chercheur » (Larousse). Si l’inspiration n’est pas un processus que l’on peut contrôler consciemment, il est possible de l’encourager. Cette infographie va vous expliquer plus en détails ce qu’est l’inspiration, comment la stimuler et les bénéfices à être inspiré. Vous trouverez la traduction des textes juste en dessous de l’image 7 faits établis sur l’inspiration 1. Le mot inspiration est dérivé du latin « inspirare » qui signifie littéralement « respirer dans 2. Avez-vous déjà remarqué que vous parlez toujours en expirant ? 3. Les Grecs anciens ainsi que les anciennes religions nordiques pensaient que l’inspiration provenait des muses et des dieux. 4. Il est communément admis que l’inspiration est une chose que l’on ne peut contrôler consciemment. 5. 6. 7. 5 avantages à être inspiré

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