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Encadrer les réseaux sociaux: pourquoi les médias se trompent

Encadrer les réseaux sociaux: pourquoi les médias se trompent
Après l'apparition de règles d'utilisation des réseaux sociaux à l'AFP et chez France Télévisions, Morgane Tual s'interroge sur la relation que les journalistes entretiennent avec Twitter et Facebook. Journalistes souvent, internautes toujours. Ça y est. Avec l’affaire DSK, les médias français ont pris conscience de l’existence des réseaux sociaux. Ou tout du moins, de leur importance. Comme les hommes politiques, qui semblent avoir découvert il y a peu Internet, il est désormais temps de “régulariser”, de “charter”, bref, de censurer. De quoi souffre la presse aujourd’hui ? Que veut faire la presse aujourd’hui ? Pour la transparence, l’indépendance d’esprit et le reste, on repassera. Rafraîchir l’image de la presse Pourtant, la liberté de ton que les journalistes ont trouvée sur Twitter est, je pense, une énorme opportunité pour rafraîchir l’image de la presse en France. En critiquant Libé, ses journalistes lui ont rendu service Autre question : qu’a-t-on le droit de dire ou non ? Related:  `test 1026

Officials Say the Darndest Things That sentence – that motivation for the report – may show deep, emotional feeling on the part of the senator, but I don’t think it leads you to an objective report. Former CIA and NSA director MIchael Hayden, on Sen. Diane Feinstein’s motivations behind the CIA interrogation report: to “ensure that an un-American, brutal program of detention and interrogation will never again be considered or permitted.” Dumb, dumb, dumb. Sen. I have full access to the recliner. Kansas Senator Pat Roberts, on his “residence" in his home state, a donor’s house that he pays $300 a month to occasionally stay at overnight. Baltimore’s police commissioner, whilst fielding questions about why the city’s homicide rate spiked last year though it fell elsewhere in the country.

20 Incredible Video Examples of Guerrilla Marketing What is guerrilla marketing and why is it a big deal? Guerrilla marketing is packed with creativity and a combination of different ideas to get your message across to the consumers. The big difference between guerrilla marketing and traditional marketing is big budgets. Let’s say there is a small coffee shop in a little town, and Starbucks just opened up a store nearby. If you are an entrepenuer that has or is about to launch a business, the following examples should get your creativity flowing. 1. This creative campaign was for one purpose only and that is to end poverty. Company: Global angelsAgency: Lapiz USA, ChicagoCountry: USA 2. What happens when you use paintball guns to create graffiti? Company: Mountain DewAgency: Redblue ViralCountry: United Kingdom 3. In celebration of Coca-Cola’s 125 years, this guerrilla marketing video shows peoples honesty. Company: Coca-ColaAgency: McCann EricksonCountry: Peru 4. Well this is a cool way to get women’s attention. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Quand les tweets remplacent les pétitions La pétition serait-elle sur le point de trépasser ? Si internet lui a offert son heure de gloire, il pourrait aussi la faire disparaître. Ou du moins, la rendre totalement obsolète. Exemple avec l'opération Sensetwitt, lancée hier par le Mouvement des entrepreneurs sociaux. En mai, l'ONG Action contre la faim avait lancé une campagne similaire sur Twitter à propos de la crise alimentaire au Sahel. Du bruit ! Le lobbying citoyen sur Twitter permet donc d'interpeller, à la manière des pétitions, des personnalités précises. Mais surtout, l'intérêt du tweet est qu'il a tendance à s'étendre, à déborder de son objectif initial. Ce qui signifie que même si les personnes interpellées ne réagissent pas, l'opération n'aura pas été inutile, contrairement aux pétitions.

Qui a peur du grand méchant Twitter? Les réseaux en général et Twitter en particulier, font encore peur à bon nombre de journalistes. Pourquoi ? Parce qu'il faut accepter de s'y mettre (un peu) en danger. Twitter ou ne pas twitter, telle est désormais la question dans bon nombre de rédactions. Sur Twitter, le journaliste est à poil devant ses lecteurs Twitter n’est pas un outil corporate destiné à faire la publicité du média pour lequel on travaille, ce n’est pas une page Facebook gérée par un community manager ou un jeune journaliste un peu geek (souvent en CDD)… Non, sur Twitter, le journaliste est tout seul. Bref, sur Twitter, les journalistes sont devant leurs lecteurs. Partout dans le monde, Twitter questionne le journalisme Twitter casse les codes du respect dû aux anciens (ou comment s’y faire tutoyer par des petits cons) Du coup, lorsqu’il n’y a pas de filtre, la plèbe se lâche et oublie parfois le respect dû non seulement aux aînés mais aussi et surtout aux journalistes ! Pas de quoi faire trembler un journaliste.

Epoché Epoché and skepticism[edit] Epoché played an important role in Pyrrhonism, the skeptical philosophy named after Pyrrho. The Skeptics used to refer to themselves as zetetikoi ("searchers"). They do not dogmatically assert the inability to know anything: the word skepsis means "inquiry, examination." [3] According to them, only by refusing either to affirm or to deny the truth of what we cannot know, can we achieve ataraxia.[4] Without actually claiming that we do not know anything, Pyrrhonism argues that the preferred attitude to be adopted is epoché, i.e., the suspension of judgment or the withholding of assent.[5] It would be a contradiction to boldly assert that nothing can be known since that very proposition itself would then be elevated to the status of something which is known. None of this entails that we have no rationale to choose one kind of action over another; rather, one kind of life or one kind of action cannot be definitively said to be the 'correct' way or action.

Benjamin Bayart: protéger la biodiversité du Net Benjamin Bayart, président d'un fournisseur d'accès à Internet associatif, est l'un des premiers à avoir alerté sur les dangers de la centralisation d'Internet. Entretien sur les mécanismes du réseau et la nécessité de le défendre. La neutralité du réseau – soit la garantie que tous les flux seront traités à égalité sur le Net – est peu à peu, et sans doute parce qu’elle est de plus en plus menacée, devenue une question politique et médiatique. Il n’y a plus grand monde pour ne pas savoir ce dont il s’agit, et chacun a compris l’absolue nécessité de la préserver. Il n’en allait pas tout-à-fait – voire pas du tout – de même il y a quatre ans : la neutralité du réseau était alors l’affaire de quelques geeks politiques, peinant à se faire entendre du grand public. Le président de FDN, plus ancien fournisseur d’accès encore en exercice en France, s’est aussi battu contre Hadopi et pour les logiciels libres. Comprendre Internet : c’est un vrai enjeu ? Société du savoir Bien sûr que non.

The 404 error page of Heinz | 404 not found Your 404 was successfully submitted, let’s see if the staff likes it! Thanks! Heinz May 25, 2011 | Related 404 18 likes 4 likes 26 likes How to value big data ? Methodological issues and a glance at the future « Martin Pasquier Everyone has data, and we’re many to talk about them. But how can we monetize, or at least value social media data ? Here’s a few ideas given by companies as well as researchers during a brilliant conference hosted in Paris by the Social Media Club. Data needs a context One big issue with data is its context. Mesagraph, for instance, works on tweets to sell apps for social TV. Data needs a method Another problem to solve with data is its collection. Then, data collection needs improving. Data needs safeguards It’s hard to talk data without telling a few words about the ever-existing risk of a total control of our data by companies or state whose future is not stable. This question, unfortunately, seems to be bound to be repeated as a motto or an amulet at every geeky hangout, without, for the time being, any massive consequence (anyone on Diaspora anymore ?) The future of data and vendor relationship management Say you want a car.

La chaîne alimentaire des médias L'univers des médias est une industrie compétitive, l'information en est au coeur. Le parallèle entre chaîne alimentaire et circuit de l'information est des plus pertinent pour comprendre cette jungle. Article initialement publié sur The Meta-Activism Project, repéré par OWNI.eu et traduit par Marie Telling. Peu de dichotomies ont survécu au printemps arabe dans le monde des médias. La dichotomie entre anciens et nouveaux médias devient de plus en plus trouble. Elles ne considèrent pas les médias sociaux comme des phénomènes marginaux mais comme des sources à part entière. Comment comprendre l’environnement médiatique du 21e siècle si celui-ci ne s’envisage pas en termes de dichotomie ? Une dualité consommateur/producteur complémentaire et contemporaine Pourquoi comparer l’environnement médiatique actuel à un réseau de chaînes alimentaires ? Comme les chaînes alimentaires, les réseaux d’informations sont chaotiques et imprévisibles. Interconnexion et double nature de ses acteurs

Délires conspirationnistes, ou lucide anticipation d'un monde ignoble ? TWEETS ajoutés le 25 1 2014 De @hi_droopy : Le lanceur d'alerte est tourné en dérision ("Délires conspirationnistes", "c'est un malade") pour donner moins de crédit à ses propos. Tirer la sonnette d'alarme, c'est se faire traiter d'antisémite, cette arme de dissuasion des sionistes pour éviter toute critique. De : Tous les whistleblowres (lanceurs d'alertes) sont des déviants pour le système dénoncé.. On les dénigre à défaut de pouvoir nier leur propos. De @hi_droopy : Les dénigrer, c'est un peu rendre leurs propos peu crédibles. De @rsistons : C'est mon travail, mon intuition, ma réactivité qui me font anticiper, alerter avant qu'il ne soit trop tard. De @hi_droopy : Tu as toujours une longueur d'avance ! Allez visiter ce blog (NB: celui-ci), elle fait un travail d'intérêt public. ALERTE ! Le monde que nous devons refuser, imposé par quelques-uns à leur profit exclusif Alerte !

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