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La mode jetable est un vrai problème

La mode jetable est un vrai problème
Les compagnies de prêt-à-porter vous vendent des vêtements vraiment pas chers et dont vous n'avez pas besoin. Cela entraîne des problèmes humains, sociaux et environnementaux. Chaque année, le monde consomme 80 milliards de vêtements neufs. Des millions de personnes sont payées en dessous du salaire minimum et travaillent dans des conditions dangereuses pour fabriquer ces vêtements. Mais les humains ne sont pas les seules victimes de cette production de masse, l'environnement aussi en prend un coup. L'industrie de la mode est le deuxième pollueur d'eau et l'industrie du coton utilise plus de pesticides que toute autre culture dans le monde. La plupart des usines fonctionnent au charbon, ce qui pollue l'air. Aujourd'hui, un Américain génère en moyenne 37 kg de déchets textiles par an. Il est temps de reconnaître l'étendue des dégâts causés par l'industrie de la mode dans le monde et de porter davantage attention à la façon dont sont fabriqués les vêtements et où ils terminent. Related:  Territoire industrielT3 - IndustrielDéveloppement durable

Le Vietnam, prochaine usine de la planète? Un texte de notre correspondant Yvan Côté Au beau milieu d'une usine de textile au coeur d'Ho Chi Minh-Ville, Nguyen Thi Bao découpe des tissus. La chaleur est écrasante et les ventilateurs tournent à plein régime, mais la femme de 28 ans ne se plaint pas. Au contraire, elle se dit choyée d'avoir trouvé cet emploi. Ma famille et mes amis me trouvent chanceuse, dit-elle avec le sourire. La Chine en perte de vitesse Aujourd'hui, la Chine n'est plus le pays préféré des manufacturiers du monde. Voilà pourquoi les gestionnaires d'entreprises ont trouvé de nouvelles adresses pour brasser des affaires. Je travaille plus de cinquante heures par semaine. Les ouvriers au Vietnam gagnent en moyenne 250 $ à 300 $ par mois. Foxconn et Intel s'installent Paul Norriss et son partenaire d'affaires emploient 450 personnes dans leur usine de textile. « Lorsque nous sommes arrivés au Vietnam, explique Norriss, il y avait toutes sortes d'embûches administratives et de barrières que nous devions surmonter ».

Obsolescence programmée, la Suède rabote les taxes sur les réparations ! Contrairement à ce qu’on peut penser, en finir avec l’obsolescence programmée, c’est parfaitement possible. Pour y arriver, il faut juste faire preuve de volonté et prendre les mesures qui s’imposent ! Exemple avec la Suède, en pleine préparation d’une mesure choc. Pour en finir avec l’ère du tout jetable, ce pays scandinave a un plan brillant : diviser par deux la TVA pour toutes les activités de réparation ! En Suède, la TVA est de 25% (pour rappel, c’est 5 points de plus qu’en France). Tous les secteurs sont visés : la cordonnerie, le textile, l’informatique, la mécanique, l’électroménager, l’électronique…! Per Bolund, minsitre suédois des marchés financiers, a défendu son projet de loi dans les colonnes du Guardian : « Nous pensons que cela va réduire les coûts et rendre plus rationnelle et économique la réparation. Y’a pas à dire : la volonté politique, ça paye ! Lire aussi : Obsolescence programmée : la réaction inattendue d’un géant de l’électroménager.

25 astuces faciles auxquelles on ne pense pas pour réduire son empreinte carbone au quotidien - Page 3 sur 3 - La Liste 16/ Acheter ses vêtements d’occasion L’industrie de la mode compte parmi les plus polluantes : en plus du choix infini que nous offrent les grandes marques (et l’éternelle insatisfaction qui en résulte) de par le monde, les usines textiles colorent, imperméabilisent et lavent leurs vêtements en utilisant des substances toxiques pour l’environnement et la santé, qui se retrouvent dans les eaux usées, et ensuite, dans les milieux aquatiques. 17/ Ramasser un déchet par jour dans la rue Si vous êtes encore loin des Mountain Days, ces ramassages en montagne après la fonte des neiges, vous pouvez cela dit vous forcer à ramasser un déchet nocif (visez surtout le plastique) par jour dans la rue. Car jeter par terre, c’est jeter en mer : le déchet qui est dans la nature se retrouvera tôt ou tard, dans l’océan, voire dans votre assiette si vous êtes amateur de poisson… 18/ Ne plus aller à la déchetterie 19/ Privilégier le verre Recyclable à l’infini, le verre est une valeur sûre ! 23/ Manger bio

L'impact écologique et humain de votre jean est inimaginable 1968. Getty. Veruschka, 1970. Getty. 1971. Recycler les déchets électroniques coûterait moins cher qu'extraire les métaux des mines En 2017, l'humanité aura jeté plus de 40 milliards de kg d'appareils électroniques et électriques, des e-déchets, qui contiennent de l'or, du cuivre, du lithium, etc. Cela représente des millions de lingots de métaux purs : les études évoquent une valeur de quelque 50 milliards de dollars. Mais ils sont dispersés dans les circuits et les rouages, parfois sous forme d'amalgames ou de micro et nano particules. Combien il en coûterait de les recycler ? Newsletter Science&Vie Recevez toute l’actualité des sciences, trois fois par semaine Deux chercheurs, l'un en sciences écologiques, l'autre en économie et marchés, ont répondu à cette question dans cette étude ultra détaillée. D'où l'idée que l'avenir sera à la « mine urbaine ». Un idéal écologique Diminuer l'exploitation du sous-sol terrestre et nettoyer la pollution en surface par les e-déchets... Les résultats sont étonnants Les chercheurs ont comparé les coûts des autres métaux, entre 2010 à 2015. A quand la ruée vers l'e-déchet ?

Ces 10 multinationales contrôlent presque tout ce que vous achetez…. Vous pensiez avoir le choix ? Grosse erreur, à l'arrivée ce sont toujours les mêmes que vous enrichissez ! Sur Les moutons enragés : 9 Mai 2012 par Voltigeur « L’Illusion du choix » est une infographie publiée sur Reddit.com qui établit des liens entre les marques des produits les plus répandus, et les multinationales qui les contrôlent. Ainsi, Knorr, Miko, Lipton, Dove et Slim-Fast, sont des marques possédés par Unilever, tandis que Mövenpick, Ralph Lauren, Garnier et Purina dépendent de Nestlé. En dépit de l’impression de choix que la multitude de marques et de produits suggèrent, ils ne proviennent que d’une poignée de groupes. Auteur : Audrey Duperron Source : www.express.be publié par TerreSacrée

Comparing the sustainability of local and global food products in Europe - ScienceDirect In the debate surrounding the sustainable future of food, claims like “buy local” are widespread in publications and the media, supported by the discourse that buying “local food” provides ecological, health and socio-economic benefits. Recognising the lack of scientific evidence for this claim, this paper aims to compare the results of sustainability assessments for 14 local and global food products in four sectors within four European countries. Each sector has been analysed independently using sustainability indicators across five dimensions of sustainability: environmental, economic, social, health and ethics. In order to determine if local products generally perform better, an outranking analysis was conducted to rank the products relative to their sustainability performance.

Pas d'obligation de transformer le diamant au Québec À quelques jours de l'ouverture officielle de la mine de diamants Stornoway, dans le Nord québécois, le gouvernement Couillard a définitivement fermé la porte à ce qu'une partie de la transformation du diamant soit obligatoirement faite dans la province. Québec détient près du tiers de l'entreprise mais n'utilisera pas son actionnariat pour faire pression sur l'entreprise. Un texte de Jean-François Deschênes d'après les informations de Michel-Félix Tremblay L'engagement de l'ancien premier ministre Charest, précisait que 10% des diamants extraits au Québec devaient être « valorisés au Québec » lors de l'annonce de la stratégie minérale adoptée par les libéraux en 2009. Le gouvernement Couillard ne forcera pas la compagnie Stornoway à transformer une partie de sa production dans la province. Pourtant, les Québécois sont propriétaires de 29 % de cette minière. Déception à Matane Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, demande d'ailleurs des explications.

Le gaspillage de fringues ne choque personne, et c'est un problème | Slate.fr Temps de lecture: 11 min Et encore des fringues pour femmes. J’ouvre les sacs de dons déposés par des Parisiens dans des points de collecte au bénéfice d’une association qui vient en aide aux migrants. J’ouvre un premier sac: trois pulls, quatre pantalons, deux jupes, une ceinture, des mouchoirs en tissu, un kimono, une paire de sandales. Une semaine plus tard, je repasse dans le point de collecte. Encore des jupes, des robes, des petits hauts, des chaussures à talons. Un océan de fringues Les associations à qui nous proposons nos surplus sont aussi débordées que nous, il n’est pas si facile de trouver des organisations qui vont récupérer nos énormes stocks d’habits pour femmes pour les redistribuer. Le gaspillage alimentaire est une plaie et moralement, il est indéfendable sur une planète où les ressources sont limitées et où une partie de la population meurt de faim. Comparable au gaspillage alimentaire «Les gens ne savent pas comme c’est dur, pour nous, de fabriquer ces vêtements.

Fortune Global 500 List 2017: See Who Made It Companies are ranked by total revenues for their respective fiscal years ended on or before March 31, 2017. All companies on the list must publish financial data and report part or all of their figures to a government agency. Figures are as reported, and comparisons are with the prior year’s figures as originally reported for that year. How is this list different from the Fortune 500? The Fortune Global 500 is our annual ranking of the largest 500 corporations worldwide as measured by total revenue, whereas the Fortune 500 is exclusively U.S. corporations. Revenue figures include consolidated subsidiaries and reported revenues from discontinued operations, but exclude excise taxes. are shown after taxes, extraordinary credits or charges, cumulative effects of accounting changes, and noncontrolling (minority) interests, but before preferred dividends. Assets shown are those at the company’s fiscal year-end.

The Great Pacific Garbage Patch | The Ocean Cleanup Resulting from several research missions, travelling across and above the GPGP, The Ocean Cleanup team compiled an unprecedented amount of data to better understand the plastic that persists in this region. Research Expeditions Scientists have been studying this area since the 1970's - usually by means of dragging a small sampling net through the debris. This method showed a bias towards smaller objects and did not provide much insight into the larger pieces, and, thus, the entire scope of the GPGP. Over the course of three years, researchers at The Ocean Cleanup went on several data collection missions. 2015 - Multi-Level-Trawl Expedition Realizing that previous methods of analyzing the plastic in the patch needed improvement, The Ocean Cleanup designed a new research tool, called the multi-level-trawl, which allowed measurements of 11 water layers simultaneously going as far down as 5 meters below surface level. 2015 - Mega Expedition 2016 - Aerial Expedition Counting and Classifying

Ces Mexicains vivent sans accès à l’eau potable à cause de Coca Cola ! Au Mexique, Coca-Cola a acquis un pouvoir considérable. Dans le sud du pays, au Chiapas, l´un des états les plus pauvres, la multinationale américaine a fait main basse sur l´eau et sur la vie de ses habitants. Le Chiapas est considéré comme le réservoir d´eau du Mexique. Dans les années 80, la firme Coca Cola installe à San Cristobal de Las Casas sa plus grosse usine, qui emploie près de 300 personnes. Elle y pompe l´eau nécessaire à sa production, puisant directement dans la nappe phréatique de la ville jusqu´à en assécher certaines communautés alentours. Pour fabriquer 1 litre de Coca, il ne faudrait pas moins de 6 litres d´eau. La multinationale américaine s´est ainsi immiscée partout. Face à ce fléau, certains habitants tentent se mobilisent et tentent de se réapproprier leur ressource naturelle. Boire Coca Cola c’est participer à ça : Source : PublicSenat.fr – EspoirChiapas.blogspot.fr – Communiqué de presse en espagnol – Brochure informative Être certain de voir nos publications

Classement d'entreprises : les plus riches, les plus profitables Chiffres d'affaires, profits, capitalisations boursières : découvrez le classement des entreprises les plus riches du monde. Comme chaque année, le magazine Fortune a publié son palmarès Global 500, classant notamment les entreprises au plus gros chiffre d'affaires. De son côté, PricewaterhouseCoopers (PwC) publie également chaque année au mois de juin son classement des sociétés à la plus grosse capitalisation boursière. Retrouvez ci-dessous les dernières informations disponibles. Les entreprises aux plus gros chiffres d'affaires En 2016, pour la quatrième année consécutive, Walmart est au sommet du podium des entreprises générant le plus de chiffre d'affaires. Comme il y a un an, les entreprises chinoises occupent trois des cinq premières places du classement. Notons que sur les 15 premières entreprises du classement établi par Fortune deux font leur apparition : le groupe d'assurances UnitedHealth Group (13e) et la chaîne de pharmacies CVS Health (14e).

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