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Le « hygge », la recette danoise du bonheur

Le « hygge », la recette danoise du bonheur
S’enrouler dans un plaid et discuter entre amis devant un feu de cheminée… Avec près de dix livres publiés sur le sujet, le mode de vie scandinave s’exporte mieux que jamais. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Vicky Chahine Un dîner entre amis, un chocolat chaud siroté au coin du feu, un après-midi pluvieux passé sur Netflix, ces petits moments qui procurent bien-être et confiance portent un nom au Danemark : le hygge (prononcez « hugueu »). Une « philosophie de vie » plutôt efficace, puisque la nation scandinave caracole depuis plusieurs années en tête des pays les plus heureux du monde, selon les mesures du World Happiness Report, publié par l’ONU. Cette rentrée, pas moins de dix ouvrages sont publiés en anglais sur le sujet, dont The Little Book of Hygge (Penguin Life), écoulé outre-Manche à plus de 20 000 exemplaires en septembre, mois de sa sortie, déjà vendu dans dix-huit pays et traduit en français chez First Editions (à paraître le 3 novembre). Stratégie de survie hivernale

Vive les petits bonheurs du quotidien Même, et peut-être surtout en temps de crise, les « petits bonheurs » se ramassent à la pelle. Question de regard, de disponibilité, d’attention. A la maison, au bureau, entre copines, en famille, même dans la rue ou dans le métro, on peut saisir et savourer l’instant où rien ne pèse, la petite lueur qui fait sourire, le geste qui met du baume au cœur. Au lieu de se contenter (ou se désoler) de l’aspect morose de la situation. Non, le bonheur n’est pas un état permanent. Les petits bonheurs du quotidien au boulot « Comme c’est là que je passe le plus de temps, même quand je croule sous la tâche, je m’offre des petits réconforts, explique Virginie, 42 ans : un bouquet de fleurs sur mon bureau, un peu de musique entre deux rendez-vous, un café avec mon associé… Et je mesure ma chance de l’avoir ! « Moi j’ai un truc quand je suis submergée : ne faire qu’une chose à la fois, remarque Julie, 32 ans. Les petits bonheurs du quotidien en famille « Regarder mes enfants dormir, si paisibles.

Le bonheur, un travail de chaque instant Entreprises. Les outils de management censés favoriser le bonheur en entreprise expriment une nouvelle extension de la biopolitique au champ de l’entreprise, qui montre sa volonté de prendre en charge les conditions du bonheur privé. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Pierre-Yves Gomez (Professeur à l'EM Lyon) Contrairement à ce que pensait Saint-Just en 1794, le bonheur n’est pas une idée neuve en Europe. Pour Platon comme pour Aristote, le rôle de la politique était déjà d’assurer ou de rendre possible le bonheur des citoyens. Il faut le rappeler au moment où on observe une prolifération rhétorique sur le bonheur dans l’entreprise. Esprit de start-up La recherche académique est partagée sur le lien entre le bien-être des employés et leur performance (André Spicer et Carl Cederström, The Research We’ve Ignore About Happiness at Work, Harvard Business Review, juin 2015). Le Familistère Prise en charge des conditions du bonheur privé

La conception du bonheur dans les cultures d'ailleurs Le bonheur, dans la pensée occidentale, est l’aboutissement d’une démarche et d’une construction aboutissant à un état durable de plénitude et de satisfaction ou encore, une jouissance d’une situation. Il est à la confluence de plusieurs registres, le sensible, le social, les affects. Pour l’Occident, les représentations socialement et historiquement construites du bonheur s’articulent à l’individualisme : il est un état émotionnel momentané ou durable de l’individu et moins du collectif ; c’est une notion subjective et en même temps normative. Qu’il se situe dans une aspiration individuelle ou collective, qu’il soit au bout d’une quête pour un avenir matériellement meilleur – une promesse pour demain – ou dans le mythe d’un âge d’or appartenant à un passé lointain – un temps révolu et perdu à jamais –, le bonheur est à la fois nostalgie et promesse. Le bonheur est-il un concept universel, partagé entre les humains ?

4 méthodes simples et efficaces pour plus de bonheur et moins de stress | prendre Confiance Nous recherchons tous à augmenter notre bien-être et notre bonheur, ainsi qu’à diminuer notre stress. Or nous prenons cela comme des objectifs à atteindre alors qu’il s’agit essentiellement d’une attitude à vivre au quotidien, malgré les vicissitudes et les contraintes de ce quotidien. Je vous propose 4 méthodes pour atteindre ce double objectif dès aujourd’hui. Un erreur traditionnelle est de confondre réalisation de ses objectifs et succès avec le bonheur et le bien-être. Dire que cela ne compte pas serait faux. Mais dire qu’il s’agit du point crucial et essentiel est tout aussi faux. Il n’y a pas de meilleur moment d’être bien et heureux que maintenant. Il faut de longues années d’études et de travail acharné pour atteindre la réussite professionnelle. Être reconnaissant À conditions de vie identique, vous trouverez des personnes heureuses et des personnes malheureuses. Les gens heureux sont reconnaissants de ce qu’ils ont dans leur vie et ils savent apprécier leur vie comme elle est.

Matérialisme et bonheur, des valeurs qui s'opposent L’argent ne fait pas le bonheur… La recherche psychologique récente a non seulement montré la vérité de cette maxime, mais a commencé à démontrer que quand les gens organisent leurs vies autour de la poursuite de la richesse leur bonheur peut même diminuer. Les études sur les rapports entre le bonheur et la richesse matérielle des psychologues américains E. Diener et D. Myers, rapportées par l’American Psychological Association (APA), soulignent que “les individus sont plus heureux s’ils vivent dans les pays riches plutôt que dans les pays pauvres. Cependant, une fois qu’ils ont assez d’argent pour subvenir aux besoins de base comme la nourriture, un toit, etc., l’argent ne contribue pas beaucoup à améliorer leur bonheur. Ni les hausses de la croissance économique nationale, ni les augmentations de revenus personnels n’ont beaucoup d’effet sur le bien-être personnel des citoyens.” Matérialisme et bien-être psychologique La relation entre matérialisme et états mentaux est complexe.

Le bonheur, un idéal qui rend malheureux? FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le philosophe allemand Wilhelm Schmid vient de publier un essai intitulé Le Bonheur. Alors que le sujet de philosophie proposé aux élèves de terminale S est «Vivons-nous pour être heureux ?», FigaroVox lui a demandé sa définition du bonheur. Wilhelm Schmid vit à Berlin et enseigne la philosophie à l'université d'Erfurt. Le Bonheur (Éditions Autrement), court opus devenu un succès international, est son premier livre traduit en français. FigaroVox. - Votre livre s'intitule Le Bonheur. Wilhelm Schmid. - Il existe trois types de bonheur. Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne: le bonheur du bien-être. Mais seul l'art de vivre philosophique est capable d'éviter à un homme de résumer toute sa vie à un unique bonheur de bien-être. Un indice du bonheur national brut a été créé par l'ONU. Dès le Ier siècle après J. Les gens ont toujours cherché le bonheur, mais pas toujours avec la même intensité.

75 plaisirs simples pour illuminer votre journée Note : cet article est une traduction de l’article 75 Simple Pleasures to Brighten Your Day de Léo Babauta. C’est donc lui qui s’exprime dans le “je” de cet article ! (l’article a été traduit par Léa d’Albiat de Recettes de cocktails) Un petit truc que j’aime utiliser pour rendre mes journées plus agréables est de trouver des petits plaisirs simples et d’en parsemer tout au long de ma journée. Ce ne sont pas des choses importantes, mais chacun de ces plaisirs simples peut vous faire passer une bonne journée si vous les utilisez de la bonne manière. Par exemple le matin, je pourrais prendre une tasse de café et la boire doucement à petites gorgées pour la savourer pleinement. Pour le petit déjeuner, je pourrais mettre des baies dans mes céréales… Et j’adore les baies. Vous comprenez l’idée – ce sont de petites choses, qui ne coutent rien (ou pas beaucoup en tout cas), mais elles sont extrêmement satisfaisantes. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22.

Les lois du bonheur Depuis l’Antiquité, les philosophes se penchent sur l’art du bonheur. Depuis peu, les sciences humaines reprennent le problème sous un nouvel angle. N’existerait-il pas quelques facteurs fondamentaux – culturel, économique, social, relationnel et, pourquoi pas, génétique – qui prédisposeraient certains à être plus heureux, ou malheureux, que d’autres ? Le bonheur : de quoi parle-t-on ? « J’ai connu le bonheur, mais ce n’est pas ce qui m’a rendu le plus heureux », écrivait le malicieux Jules Renard. La mesure du bien-être Plutôt que d’en rester à des considérations générales sur le bonheur, des chercheurs ont entrepris de le mesurer objectivement (1).Depuis plus de trente ans, des méthodologies diverses – « life satisfaction » (satisfaction de vie) ou « well subjective being » (bien-être subjectif) – ont été développées pour mesurer le niveau de satisfaction. Les humains seraient programmés pour le malheur Certains sont nés pour être heureux La richesse ne rend pas plus heureux

PHILOSOPHIE: Le bonheur Dans nos chères librairies mauriciennes, on trouve, parmi les nombreux rayons, les catégories de « développement personnel », de « religion et/ou spiritualité », de « psychologie », mais aucun rayon qui n’ait pour nom ce qui existe partout ailleurs : « philosophie ». C’est dans les deux ou trois premières catégories citées que l’on peut trouver des livres qui promettent le bonheur, et on y trouve de tout : des ouvrages proposant le bonheur en quelques leçons jusqu’à des livres qui s’interrogent plus longuement sur la possibilité (ou non) d’être heureux. Quel sens peut-on donner à cette chose tant chérie qu’est le bonheur ? Le bonheur collectif On peut dire que pratiquement toutes les philosophies de l’Antiquité, qu’elles soient issues de la civilisation greco-romaine, ou bien de l’Asie orientale, proposent, chacune à leur manière, une idée du bonheur.

30 Plaisirs que la vie a à vous offrir ! | Le petit coach Lisez la liste de petits plaisirs qui suit et souriez car la vie est formidable et il serait temps d’en prendre conscience et d’en profiter, maintenant ! Comme c’est agréable d’être bien au chaud dans son lit lorsqu’on entend le vent siffler et la pluie battre sur le toit et contre les vitres. Vous avez sûrement déjà ressenti cette petite satisfaction lorsque vous avez ressorti une veste d’hiver ou un vêtement que vous n’aviez pas mis depuis longtemps et que vous avez trouvé un billet ou des pièces dans une poche. Si cela ne vous est encore jamais arrivé, je vous conseille de laisser un billet de 5 Euros dans plusieurs poches de veste afin de les retrouver plus tard lorsque vous n’y penserez plus. C’est agréable et surtout contagieux. Certaines vidéos sur youtube le prouvent comme celle-ci ou celle-là. Cette liste peut être complétée à l’infini et je vous invite à partager les bonheurs qui vous semblent importants via les commentaires ci-dessous.

Les 6 critères du bonheur, selon le rapport 2013 de l'ONU BONHEUR - Rappelez-vous, c'était il y a un peu plus d'un an: la publication du premier World Happiness Report, le Rapport annuel sur le bonheur, par l'ONU. Sa finalité: mesurer le bien-être des individus pays par pays évidemment, mais aussi déterminer quels sont les critères les plus importants dans la mesure du sentiment de bonheur. Rendu public dimanche 8 septembre, le second World Happiness Report permet d'y voir un peu plus clair. Grâce à l'analyse de données fournies par les États mais aussi les travaux sur le bien-être d'organisations comme l'OCDE, ou encore ceux de l'institut américain Gallup, les chercheurs ont pu aller plus loin que l'an dernier. Lire aussi:» Arianna Huffington : Pourquoi les enquêtes sur le bonheur me laissent perplexe » Mesure du bien-être : 1978 fut l'année la plus heureuse selon une étude de chercheurs australiens Ils ont notamment repéré les six facteurs importants du bien-être. Danemark Norvège Suisse Pays-Bas Suède Canada L'importance du bien-être mental

Nourrir sa vie, en quoi cela consiste-t-il © Jupiter Par différence avec l’usage européen du verbe « nourrir » (nourrir son corps ou nourrir son âme), « nourrir sa vie », c’est plus que nourrir son corps ; mais sans pour autant se créditer d’une « âme » à part du corps. En termes chinois, c’est nourrir son énergie, son « capital de vie ». Car « que » suis-je effectivement, si ce n’est un potentiel de vie ? Et l’amour… et le plaisir ? Il est clair que l’Amour avec un grand A, cette grande fonction si dépensière d’énergie, telle que l’Occident l’a construite et fantasmée, n’a guère de place dans la Chine classique. Car, avant l’entrée du bouddhisme en Chine, on disait qu’il faut « réduire les désirs », mais non pas les éteindre et les exterminer. Nous serions donc tous à égalité par ce capital de vie, tout dépendant seulement de la manière dont on en fait usage ? Ma « nature humaine », c’est mon capital de vie, disent les naturalistes chinois.

C'est dans ma tête. Une aptitude au bonheur ? Ces chercheurs avancent que les gens doués pour le bonheur seraient des gens optimistes, déterminés, qui ont le sens du contact, et qui sont stables au niveau de leurs idées et de leurs émotions. Mais rassurez-vous, même si vous n’avez que 4 de ces 5 qualités, il paraît que vous pouvez quand même être heureux… Cette théorie est-elle juste ? Non, bien sûr. D’abord parce que ce genre de théorie est toujours fondé sur l’idée (implicite) que les qualités et les défauts des individus seraient là dès leur naissance. Ce n’est pas une question de caractère ? Bien sûr que non. Un enfant à qui ses parents font confiance et qu’ils valorisent n’aura aucune raison, plus tard, de raser les murs en pensant qu’il est idiot. La capacité au bonheur dépend donc elle aussi de l’histoire que l’on a eue ? Oui mais pas seulement. Pourquoi ? Des "marchands de bonheur" Et c‘est une dimension que l’on oublie trop souvent.

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