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CNA-alimentation

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Conseil national de la montagne Depuis la promulgation en 1985 de la « loi montagne », les acteurs de la montagne disposent d’une instance consultative, présidée par le Premier ministre : le Conseil national de la montagne (CNM). Cette instance, dont la Datar assure le secrétariat général, est composée de 59 membres issus des différents massifs : parlementaires, représentants des régions et départements, socioprofessionnels (représentants des chambres consulaires et des syndicats patronaux et de salariés), délégués du monde associatif... Réuni régulièrement, ce conseil joue à la fois un rôle de veille et de force de proposition pourdéfinir les objectifs de développement, d’aménagement et de protection de la montagne. Entre deux réunions plénières, la continuité des travaux est assurée par la commission permanente, composée de 17 membres et présidée par un élu.

RES Rhône-Alpes Sous la coordination de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, du Conseil Régional Rhône-Alpes et de la DREAL, l’unité Cancer Environnement du Centre Léon Bérard et le Réseau Environnement Santé (RES), en collaboration avec Envirhonalp et la plateforme Envitera, publient le premier panorama des formations en Santé-Environnement en région Rhône-Alpes. Dans un contexte où les actions relatives aux formations en Santé-Environnement tardent à être mises en œuvre, les réflexions menées dans le cadre du 2eme Plan Régional Santé Environnement (PRSE) en Rhône-Alpes 2011-2014 ont amené les acteurs régionaux à s’engager en faveur de la formation en santé-environnement. La réalisation d’un état des lieux des formations existantes dans le domaine de la santé environnementale constitue une étape préalable essentielle avant d’engager une démarche amélioration et de développement des formations des acteurs à la santé environnementale en région Rhône-Alpes. Un premier niveau de connaissances régional

RGA 2010 - Agreste Le ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt a réalisé fin 2010 - début 2011 un nouveau recensement agricole sur l’ensemble du territoire de la métropole, des départements d’outre-mer et des deux collectivités d’outre-mer de Saint-Barthélémy et Saint-Martin. Le recensement de l’agriculture concerne toutes les exploitations agricoles, y compris les plus petites. Les premiers résultats du recensement agricole 2010 sont disponibles en ligne. Consulter les publications Des études thématiques tant au niveau national que local, Agreste-Primeur, ParuesAgreste Primeur Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Agreste Dossiers Structure des exploitations fruitières et légumières Agreste Primeur Diversification des activités Agreste Primeur Les élevages de porcs en France métropolitaine en 2010 Agreste Primeur agriculture et territoires Agreste Primeur plantes à parfum, aromatiques, médicinales, ornementales, textiles, tabac...

Le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides officiellement reconnu Un décret reconnaît cette pathologie comme maladie professionnelle chez les agriculteurs. Une avancée majeure dans un domaine où règne l'omerta. Le Monde.fr | 09.05.2012 à 19h08 • Mis à jour le 09.05.2012 à 22h01 | Par Angela Bolis C'est un pas de plus vers la reconnaissance des maladies professionnelles des agriculteurs. Lundi 7 mai, est entré en vigueur un décret qui reconnaît la maladie de Parkinson comme maladie professionnelle et établit explicitement un lien de causalité entre cette pathologie – seconde maladie neurodégénérative en France après Alzheimer – et l'usage des pesticides. Un pas de plus car, dans ce domaine où règnait jusqu'ici la loi du silence, la prise de conscience des effets des produits phytosanitaires sur la santé des agriculteurs commence seulement à émerger. Quelques jours plus tard, ils étaient plusieurs dizaines d'exploitants à manifester au Salon de l'agriculture, devant le stand de l'Union des industriels de la protection des plantes.

MiiMOSA Les fondamentaux Qu’est ce que le financement participatif ? Le financement participatif (crowdfunding en anglais) est un nouveau mode de financement permettant au grand public de soutenir financièrement et collectivemement des projets qui le séduisent. MiiMOSA, c’est quoi ? Le 1er site de financement participatif exclusivement dédié à l’agriculture et à l’alimentation. Il n’y a pas de petite participation, n’oubliez pas que « les petits ruisseaux font les grandes rivières » Comment ça marche? Chaque porteur de projet doit définir le montant dont il a besoin pour réaliser son projet ainsi que la durée de la collecte (90 jours maximum). Les 4 étapes clés des contributeurs Découvrez les projets issus de nos terroirsChoisissez les projets que vous souhaitez soutenirSoutenez financièrement ces projets en fonction du montant que vous souhaitez allouer et des contreparties souhaitéesProfitez de vos contreparties peut-t-on gagner de l’argent en soutenant un projet ? Les avantages de MiiMOSA Promotion

Un boulanger bio explique pourquoi le blé et le gluten sont devenus toxiques Le pain fait aujourd’hui partie de ces produits devenu presque interdit pour les allergiques au gluten. Pour certains, la faute serait due à l’arrivée du blé moderne. Explication en vidéo par Jean-François Berthelot, boulanger bio. Avant de pouvoir savourer cette délicieuse baguette que vous adorez, tout un processus entre en jeu qui fait intervenir agriculteurs, transformateurs, boulangers, revendeurs. Le mot gluten en latin signifie « colle ». "Un blé délaissé par la recherche agronomique" Le paysan boulanger travaille, lui, à partir de blé dit « impanifiable ». Le paysan boulanger souhaite une révision de la réglementation pour permettre de vendre les semences qu’il a lui même exhumé de l’Inra (Institut national de recherche agronomique).

Agriculture paysanne Nutrition Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde. Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. Les avancées de la recherche ont précisé le rôle que jouent l’inadéquation des apports nutritionnels et l’insuffisance d’activité physique dans le déterminisme de nombreux cancers et maladies cardio-vasculaires, qui représentent plus de 55 % des 550 000 décès annuels en France. En savoir plus...

CGAAER Le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) a pour mission d’assister les ministres dans l’exercice de leurs attributions en participant à la conception, au suivi et à l’évaluation des politiques publiques qui concernent son champ de compétence. Créé en 2006, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux est présidé par le ministre de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Bertrand Hervieu en assure la vice-présidence. Le CGAAER participe à la modernisation de l’action publique, à la mesure de la performance des services centraux et déconcentrés ainsi que des établissements publics, et il veille au bon emploi des ressources publiques. Composition Organisation du conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (février 2014) (PDF - 106.1 ko) Publications Le CGAAER assure une publication régulière sous forme de lettres mensuelles et de cahiers thématiques. Textes Rapports Colloques

Nutrition et santé Avec la collaboration du Pr Serge Hercberg, professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Paris 13, directeur de l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam), directeur de l’unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (USEN -InVS/ISTNA-CNAM), directeur du Centre de recherche en nutrition humaine (CRNH) Ile-de-France (GIS) et du Pr Jean-Michel Oppert, chef de service au Centre de recherche et de médecine de l’obésité(Hôpital de la Pitié-Salpetrière, Paris), chercheur à l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam) - Octobre 2013. La santé passe par l’assiette et l’activité physique © Inpes L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui. Bien manger, tout un programme © Inserm / Samia Serri Plan National Nutrition santé - Recommandations et repères. © Inserm / Patrice Latron Sites

Alimentation et santé publique : un constat inquiétant | Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable Les habitudes alimentaires ont considérablement évolué depuis le milieu du XXème siècle. Comme cela est observé dans le rapport commun de l'OMS et de la FAO de 2002 intitulé « Alimentation, nutrition et prévention des maladies chroniques », une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.1 Ces maladies ne sont plus limitées aux « pays riches », et constituent désormais un problème de santé publique croissant dans les pays en développement1, où le modèle alimentaire « occidental » se propage et remplace souvent les alimentations traditionnelles. Maladies cardio-vasculaires Références :

Bisphénol A, phtalates, pesticides : la Commission européenne condamnée pour son inaction Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Il n’y a, bien sûr, pas de condamnation pécuniaire, mais le coup est rude. Le Tribunal de l’Union européenne a condamné la Commission européenne, mercredi 16 décembre, pour « avoir manqué à [ses] obligations » sur le dossier des perturbateurs endocriniens (PE). En vertu du règlement européen de 2012 sur les biocides, Bruxelles devait publier, au plus tard le 13 décembre 2013, les critères scientifiques permettant de réglementer ces molécules de synthèse agissant sur le système hormonal et présentes dans une variété de produits courants (pesticides, plastifiants, bisphénols, solvants, etc.). Or, constate le Tribunal dans son arrêt, « la Commission n’a pas adopté de tels actes » définissant les PE, en dépit d’« une obligation claire, pré́cise et inconditionnelle de [les] adopter » précisée par la réglementation. Lire aussi : Perturbateurs endocriniens : l’Europe irresponsable « Etude d’impact » Lire la chronique : Bruxelles intoxiquée

Une nouvelle politique de l'alimentation 4 axes pour une nouvelle politique nationale Le "produit en France" c’est à la fois une fierté pour nos agriculteurs et une garantie pour les consommateurs de produits de qualité et avec un niveau de performance environnementale, sanitaire et social que l’on nous envie à l’étranger! Stéphane Le Foll 20 février 2015 "Il ne faut jamais oublier que la finalité première de notre agriculture est avant tout de nourrir les hommes," rappelle Stéphane Le Foll. Le 8 octobre 2014, il a présenté en Conseil des ministres, les 4 axes prioritaires et structurants de cette nouvelle politique. Ces 4 priorités traduisent la volonté de faire de l’alimentation un des fondements de la citoyenneté mais aussi d’accompagner l’évolution de notre société. Stéphane Le Foll insiste particulièrement sur la question de la restauration collective, qui s’adresse à 10 millions de personnes chaque jour, et qui englobe ces différentes priorités. Les appels à projet du Programme national de l'alimentation #antigaspi

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