En Bretagne, le moteur à eau n'est plus un mythe, mais une réalité Pour beaucoup, le moteur à eau est un serpent de mer : on en parle sans arrêt, mais on n’en voit jamais la queue. Pourtant, de nombreuses expériences menées par des particuliers tendent à prouver l’efficacité d’un tel système. La dernière en date nous est rapportée par le très sérieux Télégramme et, le moins que l’on puisse dire, c’est que ça fait envie ! Marc Renaudin, un Breton de 64 ans, a ajouté un simple petit kit à sa voiture il y a deux ans et demi. Sans toucher à la moindre pièce de son moteur, il a juste repris une vieille astuce consistant à injecter de l’eau déminéralisée (ou de l’eau de pluie) dans un moteur à combustion. (L’eau pulvérisée réduisant la température de combustion et rendant ainsi le processus plus efficace et plus économe.) Depuis, les résultats sont spectaculaires ! Le Lorientais a fait le calcul : grâce à son nouvel équipement (qui ne lui a coûté que 480€), il aurait économisé 19 pleins d’essence, l’équivalent de 16 000 kilomètres parcourus « gratuitement » !
Avec SonoMotors, la voiture électrique devient solaire et se recharge seule Si la voiture électrique peine encore à séduire à grande échelle, c’est notamment à cause du rechargement de ses batteries : ça prend du temps et les bornes de rechargement sont bien trop rares. Mais, dans un avenir proche, cette question ne devrait plus du tout être un obstacle. Une startup allemande vient en effet de mettre au point une voiture électrique qui se recharge toute seule… et pour pas un rond ! Cette startup innovante, c’est SonoMotors. Exposées 5 heures à la lumière du jour, Sion peut parcourir 30km (et 50km après huit heures d’exposition). Sachez, par exemple, que la moitié des salariés français travaillent à moins de 7,9 km de leur domicile (source Insee). Et puis, s’il y a un plus gros déplacement à faire, avec Sion, ça n’est pas un souci. cette voiture étant également équipée d’un chargement classique, on peut, grâce à une prise, lui attribuer une autonomie de 120 km (voire 250km dans sa version plus puissante). Quoi qu’il en soit, on lui souhaite beaucoup de succès.
L'industrie textile : un désastre écologique... mais pas une fatalité Et si nos petits t-shirts polluaient autant qu’un bon vieux gros 4×4 Diesel ? Tel est le « drôle » de sentiment que laisse cette vidéo à tous ceux qui la regardent. Consacrée au fléau de la mode jetable, elle dénonce une à une les terribles conséquences de l’industrie textile contemporaine et nous invite à la plus grande vigilance. Depuis que le prêt à porter s’est mis au low cost, il se vend 80 milliards de vêtements neufs par an. En soi, on pourrait se dire que ça n’est pas franchement un problème. Pour s’en convaincre, vois la vidéo du Huffington Post Québec. La somme de tous ces drames ne donne pas matière à se réjouir. « Il est temps de reconnaître l’étendue des dégâts causés par l’industrie de la mode dans le monde et travailler ensemble pour les réduire. L’idée n’est pas de renoncer à bien s’habiller. Une vidéo essentielle, donc ! Lire aussi : Un distributeur de t-shirts à 2€ fait un flop à Berlin… Et c’est tant mieux !
Le Gosun stove : un four solaire qui atteint 290°... en 20 minutes ! Cuisiner avec l’énergie du soleil… Cette méthode est connue depuis de nombreuses années. D’ailleurs, on peut facilement trouver un four solaire voire même en fabriquer un soi-même sans grande difficulté. Seulement voilà, cette méthode est encore très peu utilisée, notamment parce qu’elle impose des temps de cuisson très longs… Mais, bonne nouvelle, la technologie vient de faire un bond en avant très impressionnant : le Go sun solar stove, peut atteindre les 290 degrés en 20 minutes seulement ! Le Gosun stove a été inventé par Patrick Sherwin, un ingénieur travaillant sur la cuisson solaire depuis 1998 : « Le Go Sun n’est pas un gadget anecdotique de plus. Le coeur de l’innovation se situe dans la forme d’objet : un tube qui démultiplie la puissance des rayons du soleil. Pour arriver à ses fins, ce four n’a besoin de rien d’autre que du soleil pour fonctionner : ni courant, ni essence, ni gaz, ni bois, ni charbon, ni quoi que ce soit. Et s’il n’y a pas de soleil me direz-vous ?
SoloBucket : le panneau solaire performant... qui tient dans un seau L’énergie solaire se démocratise enfin, et pas qu’un peu ! Dernière invention en date : un panneau solaire et tout son nécessaire d’installation.. qui tiennent dans un simple seau ! Gros plan sur un système malin qui doit apporter l’électricité dans les coins les moins favorisés de notre planète. Le SoloBucket (c’est le nom de cette invention) a été imaginé par l’entreprise Solo Power Systems. Ses créateurs n’avaient qu’une obsession : rendre l’énergie solaire aussi transportable que possible et, surtout, la rendre très simple d’utilisation. Résultat : un kit rudimentaire mais performant qui tient dans un seau tout bête ! Le SoloBucket contient un panneau solaire souple, des câbles, une batterie et des lampes. “Chacun des câbles ne peut être branché que d’une façon. Deux minutes suffiraient à installer le tout.
Ne jetez plus vos piles jetables : la Regen Box va les régénérer ! On en était tous convaincus : une pile usée est une pile bonne à jeter. Eh bien, apparemment, on a tous été trompés : la plupart des piles (même les non rechargeable) pourraient vivre entre cinq et dix vies et être régénérées autant de fois ! Gros plan sur une révélation étonnante, mais très sérieuse. À quelques détails près, toutes les piles alcalines dites « jetables » portent le même avertissement : « Ne la chargez pas ou ne la jetez pas au feu – elle risque d’exploser ou de fuir » Autrement dit, après usage, on n’aurait pas d’autre choix que de l’amener en déchetterie ou dans les grandes surface qui en font la collecte (après l’avoir laissé trainée un bon moment dans un tiroir, ne sachant plus trop si elle était usée ou non !) Seulement voilà, ça fait des années que les initiés savent qu’il existe une alternative autrement plus écologique, intelligente et économe : régénérer ces piles ! Le principe, le voici.
Le toit solaire de Tesla pourrait coûter moins cher qu’un toit standard actuel - BGMeautor | Tesla Elon Musk, le directeur de Tesla, a déclaré que le toit solaire qui sera vendu par Tesla-SolarCity, coûtera probablement moins cher qu’une toiture standard à installer sur votre maison. En effet, les actionnaires de Tesla et de SolarCity ont voté en faveur de la fusion des deux entreprises et de l’accord de 2 milliards de dollars, jeudi dernier. À la fin du mois d’octobre 2016, Elon Musk dévoilait un nouveau produit de toit solaire pour montrer sa vision de l’entreprise Tesla, combinée avec SolarCity. Après le vote favorable des actionnaires, Elon Musk a expliqué que son toit solaire coûtera probablement moins cher qu’un toit standard actuel : « Il semble tout à fait prometteur qu’un toit solaire coûte moins cher qu’un toit normal, avant même de prendre en compte la valeur de l’électricité. L’une des quatre options proposées par Elon Musk : les tuiles solaires en verre texturé. Le détail d’une option différente : l’ardoise en verre solaire.
Le secret industriel bien gardé des piles alcalines : elles sont rechargeables - BGMeautor "Les industriels de la pile nous l’avaient bien caché : les piles alcalines dites à usage « unique » seraient en fait rechargeables. Des chercheurs, energy-hackers, ont déterré un brevet de 1980 tombé dans le public mais surtout aux oubliettes. Ils espèrent aujourd’hui l’utiliser pour remettre au goût du jour la trouvaille de Karl Kordesch, le scientifique qui démontra à l’époque que de telles piles pouvaient être rechargées. De cette découverte est né le projet Regen-Box, qui a fait l’objet d’un financement participatif discret mais réussi sur Ulule. Un brevet de 1980 tombé dans l’oubli En 1980, Karl Kordesch, ingénieur émérite qui a participé à l’invention de la première pile alcaline sèche et, en outre, à la mission Apollo, affirmait déjà qu’il était possible de recharger les piles dites à usage « unique ». Car les piles alcalines sont en fait tout à fait rechargeables, si tant est qu’on ait l’équipement adéquat.