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INPES - Drogues

INPES - Drogues
En France, une personne (15-64 ans) sur 12 a consommé dans l’année une drogue illicite dont 3,8 millions du cannabis, 400 000 de la cocaïne et 100 000 de l’héroïne. Le cannabis est la drogue illicite la plus consommée dans un contexte de consommation plutôt occasionnelle, rarement abusive et stable dans son évolution L’entrée dans la consommation se situe autour de 15 ans, concerne un quart des 18-25ans (une fois dans l’année) puis diminue avec l’âge. Les jeunes Français sont les plus consommateurs de cannabis d’Europe. Les niveaux d’expérimentation des autres drogues illicites sont nettement plus bas mais en augmentation pour certains stimulants comme la cocaïne (3,8%) et les poppers 11%. Parmi les opiacés, l’expérimentation de l’héroïne est estimée à 1,2% des 18-24 ans. Risques à moyen et long terme Les risques sanitaires varient suivant les produits. Le rôle de l'Inpes Les moyens d’action Pour en savoir plus : Le livre Drogues et conduites addictives édition 2014, 228 p.

Travail personnel " l'alcool et les jeunes" Les produits et les addictions de A à Z - OFDT Le phénomène des addictions traité de manière synthétique sous forme d'une fiche pour chaque produit ou activité de nature à induire une dépendance. Dans chaque fiche est proposé un accès rapide aux informations classées par thématiques principales : présentation, production/offre, consommation, conséquences, perceptions/opinions, cadre légal et orientations publiques récentes. AlcoolCannabisCocaïne et crackHallucinogènesHéroïne et autres opiacésMDMA/ecstasyMédicaments psychotropesNouveaux produits de synthèsePoppers, colles, solvantsTabac et cigarette électroniqueJeux d'argent et de hasard

Les drogues à 17 ans : analyse régionale - Enquête ESCAPAD 2017 OFDT, 54 p.Septembre 2018 L’OFDT a conduit en mars 2017 le 9e exercice de l’enquête ESCAPAD (Enquête sur la santé et les consommations lors de l’appel de préparation à la Défense) centrée sur les usages de substances psychoactives licites et illicites à 17 ans. Les résultats d’ESCAPAD 2017 en métropole ont été présentés en février 2018. Ils ont révélé des baisses plus ou moins marquées selon les produits par rapport à l’enquête ESCAPAD de 2014. Les consommations à la fin de l’adolescence sont d’ailleurs parmi les plus basses enregistrées depuis le début des années 2000. Aujourd’hui, en s’appuyant sur la très grande taille d’échantillon de cette enquête (plus de 40 000 jeunes gens), l’OFDT propose une nouvelle analyse de ces données dans les 13 régions de métropole ainsi que dans quatre territoires d’outre-mer : la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique et La Réunion. Auteurs : Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet, Eric Janssen, Alex Brissot, Antoine Philippon

les structures d'aide Addictions Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Certaines substances semblent avoir un pouvoir addictif supérieur à d’autres compte tenu de la proportion de personnes dépendantes parmi leurs consommateurs. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Un diagnostic très normé Des conséquences délétères

Qu’est-ce qu’une addiction ? | Mildeca Les addictions concernent le tabac (nicotine), l’alcool, le cannabis, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Parmi les addictions sans substance, seul le jeu pathologique (jeux de hasard et d’argent) est cliniquement reconnu comme une dépendance comportementale dans les classifications diagnostiques internationales (DSM 5). L’Institut Nord-Américain des drogues, le National Institute of Drug Abuse (NIDA) en donne la définition suivante: L’addiction est une affection cérébrale chronique, récidivante, caractérisée par la recherche et l’usage compulsifs de drogue, malgré la connaissance de ses conséquences nocives . Le diagnostic de l’addiction (ou dépendance) repose sur des critères bien définis, fixés par des instances internationales de santé mentale et répertoriés dans un manuel, le Diagnostic and Statistical manual of Mental disorders (DSM), dont la cinquième édition date de 2013. Dépendance: Abus d'une substance:

Je m'entraîne Les notions d'addiction et de substances psychoactives Les substances addictives et les conduites à risques Cannabis - Se faire aider pour en sortir Si vous êtes arrivés sur cette page, c’est que vous souhaitez arrêter votre consommation ou aider quelqu’un à le faire. Dans les deux cas : BRAVO ! Se renseigner sur les lieux pour être aidé, c’est déjà s’engager dans une démarche positive pour en sortir. Certains y arrivent seuls, grâce à la simple volonté, c’est plus facile qu’on le croit (si si !). Parfois, il est nécessaire de se faire aider. Il existe plusieurs possibilités d’accompagnement et parfois de soins pour faire face aux problèmes liés à l’usage du cannabis. Seul-e… Pour s’en sortir seul, il est important de réfléchir à sa consommation et de savoir en faire le bilan. Au téléphone… Des lignes téléphoniques dédiées et disponibles 7 jours sur 7 de 8h00 à 2h00 permettent d’entrer en contact avec un professionnel pour réfléchir au problème et éventuellement d’être orienté. Au PAEJ (Point Accueil Écoute Jeunes)… Ouvert aux 12-25 ans, il accueille et accompagne les jeunes. Au CMP (Centre Médico-Psychologique)…

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