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AP – Travail en groupe

AP – Travail en groupe
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Les ilots permutés – FlipMusicLab.fr EDIT important en bas de page Le système des ilots par rôles (ou ilots ludifiés) est maintenant devenu une habitude pour les élèves. Avec le recul nécessaire à son utilisation, je lui trouve des forces et des faiblesses : Forces : Faiblesses : il ne permet pas la prise de position autonome absolument, il y a toujours des ilots dans lesquels se retrouvent des élèves réfractaires à l’activité et qui peuvent entrainer les autres dans un côté improductif.tout l’aspect d’un travail, si le rendu est collectif, n’est pas toujours vécu ni développé par chacun. Le Reporter est une adaptation de l’ambassadeur qui implique que l’autoévaluation ( de façon surtout quantitative, mais aussi qualitative et structurelle) est pensée par le groupe avant la formulation du travail lors des étapes. Le Manager est une adaptation du Gardien du temps et de l’Ambassadeur (voir plus loin) qui inclut tous les rôles possibles et la gestion des rôles de chacun. Nouvelle fiche du Manager : Nouvelle fiche du Veilleur :

APPRENDRE A AIDER ET A DEMANDER DE L’AIDE Par Fanny DURAND-RAUCHER, professeure de physique chimie au lycée Jacques Feyder d’Épinay sur Seine Blog des classes coopératives abordées dans cet article: Les classes coopératives du lycée Jacques Feyder postulent que la coopération entre pairs n’est pas une modalité de travail « systématiquement intéressante pour les apprentissages ». En effet, l’injonction à s’aider ou la disposition des tables ne saurait suffire à l’émergence d’un travail collectif bénéfique pour tous. La coopération apparaît alors comme une modalité qui s’apprend. Les équipes pédagogiques de ces classes proposent donc aux élèves une formation en trois modules, le premier, qui avait pour objectif : “Apprendre à travailler en groupe” est détaillé dans un autre article : Nous allons ici nous attarder sur le deuxième : « Apprendre à aider et à demander de l’aide ». L’élève aidant sera appelé « tuteur » et l’élève aidé « tutoré ».

Travailler en îlots Nous profitons de la sortie du livre de Marie Rivoire sur le travail en îlots pour lancer une discussion sur les conditions d’un travail de groupes réussi. Deux réactions à ce livre sont à découvrir : une recension élogieuse, par Raoul Pantanella. Et le document à charge contre ce mode de travail, d’un groupe de chercheurs, Christian Puren, Maria-Alice Médioni, Eddy Sebahi. Et vous, qu’en pensez-vous ? Nous souhaitons que ce soit l’occasion de nous poser cette question : à quelles conditions le travail par groupes peut-il être efficace et faire progresser tous les élèves ? Travailler en îlots bonifiés pour la réussite de tous Marie Rivoire, Génération 5, Chambéry, 2012 Recension par Raoul Pantanella Elle prend en compte dans sa méthode, deux tendances profondes que l’on peut observer chez les élèves. Les notes et le jeu Une pédagogie de groupe bien organisée L’ambiance de la classe en est tout de suite changée, ainsi que les relations prof-élèves et celles des élèves entre eux.

Apprendre avec les pédagogies coopératives. Démarches et outils pour Quel est son propos ? Il s’agit de mettre en mains de tout enseignant débutant ou expérimenté la possibilité de s’insérer progressivement dans une révolution pédagogique qui va faire de l’élève, ou plus exactement des élèves, j’y reviendrai, les acteurs principaux de l’apprentissage. Le temps serait-il revenu pour les enseignants de marquer une indifférence aux acquis en termes de connaissances et de compétences ? Richard Étienne, professeur de sciences de l’éducation à l’université Montpellier III.rietienne@wanadoo.fr Entretien avec Sylvain Connac Dans l’ouvrage, il est question du « maître comme institution zéro ». Les pratiques coopératives font référence à une culture pédagogique et humaniste précise : exercice de la non-violence, évaluation formatrice, responsabilisation des élèves, personnalisation des apprentissages. Vous ne parlez guère des manuels, sauf pour rappeler que Célestin Freinet en souhaitait la disparition. Propos recueillis par Richard Étienne

Apprendre à l'école Freinet À l’orée de la Première Guerre mondiale, « plus jamais ça » semble être l’idée forte de Célestin Freinet qui l’a poussé à engager en France à partir des années 1930 un grand mouvement de refonte pédagogique. Le mouvement Freinet a compté jusqu’à 10 000 membres (lire à ce sujet l’ouvrage de Michel Barré). Les 11 et 12 novembre, un colloque international se déroulait à Paris sur le mouvement Freinet, 50 ans après la disparition de son fondateur. Quels étaient les grands principes de sa pensée ? Plus jamais d’une école qui formate les élèves sans travailler leur émancipation. Freinet s’oppose ainsi aux écoles qui alignent les élèves, les mettent en concurrence, les asservissent sans leur apprendre à penser par eux-mêmes. Une vie démocratique à l’école Pour ce faire, le mouvement de l’école moderne, celui impulsé par les époux Freinet est depuis entretenu et développé par de nombreux enseignants praticiens-chercheurs. Réunir les bonnes conditions pédagogiques

Allons nous poursuivre la gouvernance post-moderne ? | Chez Jean Matouk Marcel Gauchet écrivait le 13 mars dans Le Monde que « Nicolas Sarkozy est le premier président post-moderne de la Vème République ». Sur la même page, Michel Maffesoli, un des sociologues de la post modernité, faisait le même constat, estimant qu’il était ainsi en adéquation avec les électeurs et laissant entendre que ceux-ci pourraient donc le réélire. Je m’étais moi-même permis d’écrire dans Rue89, en novembre, que la campagne électorale allait en quelque sorte, être celle de la modernité contre la post-modernité. Selon Michel Maffesoli le passage de l’une à l’autre, le changement de paradigme, ce sont au moins trois renversements : le souci du présent, de l’immédiat, est préféré au sens du futur, l’esthétisation de la vie, la posture, à l’utilité de l’acte, l’émotion à la raison. La politique pénale, par exemple, a été constitué d’une succession de lois et décrets, profitant des vagues d’émotion successives provoquées par les crimes médiatisés.

Travail. Le coworking, une idée de la Renaissance Les espaces de travail collaboratifs et pluridisciplinaires se multiplient. La “Harvard Business Review” a identifié leurs lointains ancêtres : les ateliers d’artistes de l’Italie du quattrocento. Du “Campus” Google de Londres jusqu’aux communautés NextSpace californiennes, les espaces de coworking ne cessent de gagner du terrain. Présentés comme un concept radicalement novateur qui n’existait pratiquement pas il y a encore dix ans, ces lieux de travail partagés ont fait couler beaucoup d’encre. Leur fonction n’est pourtant pas sans rappeler une idée très ancienne : celle de la bottega de la Renaissance florentine – ces ateliers où, au XVe siècle, des maîtres transmettaient leur savoir à de jeunes artistes, où les talents étaient encouragés, où de nouvelles techniques étaient mises en œuvre, où des formes artistiques inédites émergeaient et où des artistes se mesuraient les uns aux autres dans un esprit d’émulation. Inventer des modes de travail révolutionnaires Concrétiser les idées

Abdennour Bidar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Abdennour Bidar est un philosophe et écrivain français né le 13 janvier 1971 à Clermont-Ferrand. Agrégé de philosophie, normalien issu de l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud, docteur en philosophie (PhD), il a consacré sa thèse de doctorat au développement d'une « pédagogie de l'individuation » ou du « devenir-sujet » à partir de la pensée du philosophe musulman indien Mohamed Iqbal (1873-1938), notamment de son ouvrage The Reconstruction of Religious Thought in Islam (1928-1932). Ouvrages et enjeux[modifier | modifier le code] Abdennour Bidar a écrit cinq ouvrages de philosophie de la religion, consacrés principalement à deux questions. D'autre part, il inscrit ses études consacrées à l'islam dans une réflexion plus large sur le sens et l'issue de ce que l'Occident moderne a appelé la « sortie de la religion ». Abdennour Bidar à son bureau, 2010. Abdennour Bidar veut apporter la contribution du philosophe à ce mouvement.

Pédagogie interrogative, active, co-active, inversée… quelles différences ? – Le blog de C-Campus Il existe un nombre infini de méthodes et techniques pédagogiques. Aucune n’est meilleure que l’autre, tout dépend du contexte dans lequel elles sont utilisées. On peut les classer aujourd’hui en cinq grandes familles. Voici leurs avantages et leurs inconvénients. 1) Pédagogie Expositive Les pédagogies dites « expositives » ou « transmissives » ou encore « magistrales » ont longtemps été le modèle de référence en formation. Les pédagogies expositives gardent encore de l’intérêt pour diffuser un savoir en un minimum de temps. 2) Pédagogie Interrogative ou participative Pédagogie prédominante aujourd’hui dans le domaine de la formation en entreprise, les techniques interrogatives ou participatives font appel à la connaissance des apprenants. Beaucoup de formateurs pensent faire de la pédagogie active alors qu’ils ne font que de la pédagogie interrogative ou participative. Certaines pédagogies ludiques à base de quiz ou d’exercices de mémorisation simples entrent dans cette catégorie.

[ZOOM EN IMAGE] : Au Collège Numérique Innovant La Fontaine Margot à Brest | Aménagement des espaces éducatifs – Classe de demain Le Collège la Fontaine Margot est un établissement numérique qui compte actuellement 340 élèves. Pourquoi « numérique » ? Parce qu’il est entièrement couvert avec le Wifi (13 bornes), une centaine de tablettes sont à la disposition des enseignants qui peuvent les réserver à tout moment, toutes les salles sont équipées de matériel informatique récent et de vidéoprojecteurs. Q : En quoi le numérique transforme-t-il la manière d’enseigner et d’apprendre ? R : « Certes on parle beaucoup de pédagogie inversée…. Il s’agit d'adaptation aux différentes possibilités des élèves : il y a ceux qui sont en difficulté et ceux qui peuvent aller plus loin. Lorsqu’un élève est dyslexique, le professeur va transmettre la trace écrite sur Pearltrees, mais il va aussi faire un enregistrement vocal (avec son portable ou une tablette) qui va constituer la trace sonore, à mettre en parallèle pour que l'élève puisse lire le document mais aussi l'entendre. Ce qui veut dire que cela fonctionne !

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