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Open data : toujours pas de licence commune en France?

Open data : toujours pas de licence commune en France?
L'empilement des textes tels que la loi Cada de 1978, ODbL ou la licence-type de l'APIE, freine le développement de la libération des données publiques dans notre pays. État des lieux de licences utilisées. Le choix d’une licence de réutilisation à apposer aux données ouvertes est l’un des premiers choix politiques d’un programme d’ouverture de données publiques. Il s’agit de conditionner les droits et devoirs associés à la mise à disposition et à la réutilisation des données. Tandis que certains pays légifèrent pour créer une licence unique de réutilisation, l’entrée tardive de l’État français dans le mouvement open data a obligé les collectivités ouvertes à improviser sur le sujet. Si ces dernières communiquent entre elles sur les retours d’expérience et la mutualisation de procédures d’ouverture, l’absence d’une licence juridique de référence leur impose de répéter individuellement un travail juridique complexe et chronophage. Le contexte législatif Les CGR de l’APIE La licence ODbL

Les États s’ouvrent "Open government". Comment et quels États ouvrent d'eux-mêmes leurs données publiques ? Ceux qui combattent la corruption, qui ont une expérience récente de la dictature et ceux qui le font par conviction ou tradition. Le mouvement d’ouverture des données est lancé. L’open data se diffuse après les campagnes lancées par les pionniers, comme Michael Cross, dès 2006. Les États-Unis ont ouvert la valse avec l’arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche et le lancement six mois plus tard du portail data.gov. La fondation iFRAP s’est récemment intéressée à l’ouverture des données publiques en mettant l’accent sur “la propension légale ou coutumière (des États) à diffuser, sans demande expresse particulière émanent de leur société civile, des informations administratives à forte valeur ajoutée de façon à accroître leur degré de transparence”. L’e-démocratie du point de vue des citoyens renvoie à l’open data, l’e-démocratie du point de vue des gouvernants à l’open government.

OpenData & Étalab : La guerre française des licences s’achève ! Avec un peu de retard puisque la circulaire demandait sa publication avant le 24 août, la licence d’Étalab pour les données publiques a finalement été rendue publique hier. C’est un signal fort pour l’Open Data français : la « Licence Ouverte » de l’État (PDF) répond globalement aux attentes et demandes de la communauté des réutilisateurs. La France publiera donc prochainement ses données sous une licence de données assurant la compatibilité avec les licences libres existantes, et par conséquent avec un maximum de projets comme Wikipedia ou OpenStreetMap. Une licence d’État compatible avec toutes les licences libres Le choix opéré par le gouvernement français est celui d’une licence de type « BY », assurant une très large liberté puisqu’elle ne requiert de la part des réutilisateurs que la seule mention de la source des données (par exemple sous la forme d’un lien vers les données publiées). OpenData en France, vers un duopole de licences

Une certaine idée de l’open data Le 13 juillet dernier est sorti un rapport produit par 4 élèves de l'école des Ponts ParisTech, intitulé "Pour une politique ambitieuse des données publiques". Il résume parfaitement une certaine idée de l'Open Data. L’open data est à la mode. Le conseil général de Gironde vient de lancer son site DataLocale, la Saône-et-Loire a annoncé l’ouverture d’un portail pour octobre, celui du gouvernement sortira dans quelques mois. Dans ce contexte est sorti un rapport très complet, intitulé Pour une politique ambitieuse des données publiques produit par quatre élèves de l’école des Ponts ParisTech : Romain Lacombe, François Vauglin, Pierre-Henri Bertin et Alice Vieillefosse. Il fait la synthèse des enjeux de l’open data et fournit une série de 16 recommandations pour la mise en oeuvre de la politique de l’État. Romain Lacombe, qui travaille aujourd’hui à Etalab en tant que chargé de l’innovation et du développement, explique à OWNI la genèse et le but de ce rapport. Quel en était l’objectif ?

Les licences open data en France : pourquoi n’y a-t-il pas de consensus ? | Knowledge Center - MARKESS International La réutilisation des données publiques est réglementée par le choix d’une licence de réutilisation afin de conditionner les droits et devoirs associés à la mise à disposition et à la réutilisation des données. La prise en compte tardive de l’Etat français du mouvement open data a laissé le champs libre aux collectivités locales qui, pour les plus avancées d’entre elles sur ce sujet, ont adapté des licences de réutilisation. Une licence juridique de référence fait néanmoins défaut et oblige à chaque administration de refaire le même exercice. Les licences diverses actuellement en cours (conditions générales de réutilisation de l’Apie, « Rennes métropole en accès libre », licence ODbL…) ne facilitent pas la lisibilité d’usage et l’interopérabilité des données. En savoir plus Source : revue-reseau-tic.net Alertes de l’administration N°14 – Vol.9

Open data >> défi accepté Organisé par l'Open Knowledge Fundation, l'Open Data Challenge a fait plancher designers et développeurs européens sur des outils de réutilisation des données publiques. Revue des réalisations. Municipalités d’Helsinky, Paris, Munich, l’agglomération de Manchester et Pays-Basque… Les dix huit derniers mois ont vu l’explosion des politiques d’ouverture des données publiques en Europe. Appuyés par une directive du Parlement Européen et un intérêt citoyen croissant comme l’initiative de l’association Regards Citoyen ou l’annuaire de données Datapublica, gouvernements, villes et collectivités européennes sont nombreux à suivre cette tendance à la mise en ligne de catalogues de données en tout genre produits par leurs services. Libérer (partiellement) les donnés est une chose, mais comment en faire profiter les citoyens ? A ce titre l’Open Data Challenge marque une étape symbolique dans le développement de ce nouveau champ de recherche.

Démarche Open Data : Focus sur les questions de licence Posted on 15 avril 2011. Après notre retour d’expérience en deux parties sur les modalités très opérationnelles de mise en œuvre d’une démarche Open Data (Une recette de démarche Open Data – Partie 1 et Une recette de démarche Open Data – Partie 2), nous avons souhaité réaliser un focus particulier sur la question des licences avec un spécialiste du domaine, Benjamin JEAN (voir sa bio en fin de billet) qui est notamment à l’origine de la traduction et de l’adaptation française de l’Open Database licence (ODbL) pour le projet Open Data Paris. Ce focus prend la forme d’un échange de questions – réponses à travers lequel Benjamin JEAN revient sur le cadre légal préexistant aux démarches Open Data en France, sur le mouvement Open Data, sur l’intérêt d’utiliser une licence spécifique à ce type de démarche (notamment ODbL) et pour finir, sur la perspective éventuelle d’un cadre européen de licence Open Data. Ici encore, une réponse en deux temps.

Company - Report - Big data: The next frontier for innovation, competition, and productivity - May 2011 The amount of data in our world has been exploding, and analyzing large data sets—so-called big data—will become a key basis of competition, underpinning new waves of productivity growth, innovation, and consumer surplus, according to research by MGI and McKinsey's Business Technology Office. Leaders in every sector will have to grapple with the implications of big data, not just a few data-oriented managers. The increasing volume and detail of information captured by enterprises, the rise of multimedia, social media, and the Internet of Things will fuel exponential growth in data for the foreseeable future. MGI studied big data in five domains—healthcare in the United States, the public sector in Europe, retail in the United States, and manufacturing and personal-location data globally. 1. 2. Podcast Distilling value and driving productivity from mountains of data DownloadMichael Chui discusses how the scale and scope of companies' access to data is changing the way they do business. 3.

ODC Open Database License (ODbL) Summary | Open Data Commons This is a human-readable summary of the ODbL 1.0 license. Please see the disclaimer below. You are free: To Share: To copy, distribute and use the database.To Create: To produce works from the database.To Adapt: To modify, transform and build upon the database. As long as you: Attribute: You must attribute any public use of the database, or works produced from the database, in the manner specified in the ODbL. Disclaimer This is not a license.

Why Open Government Is Occasionally Undesirable - Joshua Green - Politics On Wednesday, I argued that the sudden push to throw open the negotiations of the congressional "supercommittee" charged with finding $1.5 trillion in deficit reduction was a bad idea that would make a deal less likely. A number of good-government types objected to what I wrote and insisted that openness was an imperative. I admire many of these people and organizations and support the important work they do to open up government; I suspect I'd share their views on almost any issue, so let me explain further why I differ with them on this one. Often in Washington what happens behind closed doors is not in the public interest -- Dick Cheney meeting with oil company executives in the White House; lobbyists pressing a congressman to slip an earmark or a tax break into a bill, that sort of thing. But the sad truth is that the supercommittee came into being as a last-ditch effort because the normal process has failed. That description is accurate, but I disagree with the conclusion.

Licences OpenData : L’APIE grille la priorité à ÉtaLab et invente le pseudo-libre Lorsque plusieurs administrations travaillent ensemble, elles essaient généralement de coordonner leurs actions de communication. Cela devrait donc être le cas entre la mission ÉtaLab, l’APIE, le COEPIA et les administrations des différents ministères dans la mesure où elles ont été chargées par le Premier Ministre de travailler ensemble, sous la direction d’ÉtaLab, sur la question d’une licence gratuite de ré-utilisation des données publiques durant l’été. Licence gratuite de l’APIE : une sortie surprenante Aperçu de la licence V2 de l’APIE C’est donc avec une certaine surprise que le petit monde de l’OpenData français a découvert lundi dernier la publication sur le site de l’APIE du laconique message suivant : « L’APIE publie, à titre de contribution aux réflexions engagées dans le cadre d’Etalab et de la mise en ligne du portail data.gouv.fr, une version V2 de sa licence de réutilisation libre et gratuite. » La première surprise vient du nom retenu par l’APIE.

Quels enjeux pour les bibliothèques et l’open data? Le pari pour les bibliothèques dans le futur tiendrait-il en deux mots, open et data ? À quoi servent les données des bibliothèques et dans quel cadre les diffuser, état des lieux et propositions. En plus des traditionnels open source et open access, les bibliothèques vont être de plus en plus confrontées à l’avenir à un troisième Open, l’Open data. Il faut bien entendu commencer par des fondamentaux. L’Open Data c’est quoi ? En complément, voici la définition proposée dans cet excellent Guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales proposé par Amandine Brugière et Charles Népote dans le cadre de la FING et accessible ici si vous voulez y contribuer. Comme toute organisation aujourd’hui, un acteur public utilise l’informatique pour préparer toutes ses décisions, produire tous ses services, évaluer toutes ses actions. complèteprimaireopportuneaccessibleexploitablenon discriminatoirenon propriétairelibre de droit Pourquoi s’y intéresser ? Quelles bases sont disponibles ?

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