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Un singe en hiver: l'ivresse

Un singe en hiver: l'ivresse
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"Le Médecin de famille" : la petite fille et les fantômes du nazisme Adaptant son quatrième roman intitulé Wakolda, du nom d'une figure légendaire de Patagonie, la romancière et réalisatrice Lucia Puenzo revient sur un pan dérangeant de l'histoire contemporaine de son pays. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'Argentine fut, de sinistre mémoire et avec la bénédiction du président Peron, une terre d'accueil pour les hauts fonctionnaires du IIIe Reich. Ils y trouvèrent des soutiens qui permirent à la plupart d'entre eux d'échapper à la justice internationale. > Lire la critique du roman de Lucia Puenzo : Le monstre, l'ange et la poupée de porcelaine Parmi eux, le médecin nazi Josef Mengele à qui Lucia Puenzo consacre ce récit fictif perturbant.

Wiki Un singe en hiver (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En , Albert Quentin (Jean Gabin), ancien fusilier marin en Chine, tient, avec sa femme Suzanne (Suzanne Flon) rencontrée à La Bourboule, l'hôtel Stella dans le village de Tigreville, sur la côte normande aux environs de Deauville. Il se laisse souvent aller à trop boire, ce qui le porte à la nostalgie de sa jeunesse militaire vécue sur le Yang-Tsé-Kiang. Lors d'un bombardement en juin 1944, il promet à Suzanne de ne plus boire si l'hôtel échappe à la destruction ; promesse tenue[1]. Le restaurant Le Cabaret Normand à Villerville, où le film a été en partie tourné. Jean Gabin : Albert Quentin, patron de l'hôtel « Stella »Jean-Paul Belmondo : Gabriel FouquetSuzanne Flon : Suzanne Quentin, la femme d'AlbertNoël Roquevert : « Landru », le patron du « Chic Parisien »Paul Frankeur : M. En 2012, Villerville célèbre le 50e anniversaire du tournage [archive] par diverses manifestations (projections, expositions, conférences...).

Top 5 des meilleures répliques sur le vin au cinéma - Avenue des Vins Le Blog Àmoins que vous ne soyez anti-cinéma et que vous n’ayez jamais regardé une comédie de votre vie, vous avez forcément déjà ri devant un écran. Et en ce qui concerne le vin au cinéma, les blagues ne manquent pas. Nous nous sommes fait plaisir avec un petit top 4 des répliques cultes autour du vin dans les comédies françaises. Bonne dégustation ! 1) Un singe en hiver (1962) : « Vous avez le vin petit et la cuite mesquine, dans le fond vous ne méritez pas de boire ! On commence par un extrait du film d’Henri Verneuil, Un Singe en Hiver. 2) Les Visiteurs 2 (1998) : « Oh, des chopines ! Avec le fameux « jour-nuit », « les chopines de vinasse » fait partie des célèbres répliques de la trilogie médiévale complètement déjantée de Jean-Marie Poiré. >> À lire également : 4 bonnes blagues sur le vin 3) Le Grand Restaurant (1966) : « je préférais un demi-doux » 4) Le Dîner de Cons (1998) : « je fous du vinaigre dans mon Château Lafite. Et vous, quelle est votre réplique préférée ?

Capture d’écran 2014 11 14 à 08 33 24 Gravity - "Detached" Henri Verneuil Pour les articles homonymes, voir Verneuil. Rue Henri Verneuil à Erevan Henri Verneuil, de son vrai nom Achod Malakian (en arménien : Աշոտ Մալաքեան), né le 15 octobre 1920 à Rodosto (auj. Tekirdağ, en Turquie) et mort le 11 janvier 2002 à Bagnolet, est un réalisateur et scénariste de cinéma français d'origine arménienne. Il a raconté son enfance dans ses deux derniers films formant un diptyque : Mayrig et 588, rue Paradis. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En décembre 1924, petit réfugié ne parlant pas français, Henri Verneuil débarque à 4 ans sur le quai de la Joliette à Marseille avec sa famille rescapée du génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l'Empire ottoman. Après des études à l'école des Arts et Métiers d'Aix-en-Provence d'où il sort diplômé en 1943[1], il devient journaliste au magazine Horizons en 1944. En 1949, il « monte » à Paris, où il décroche un emploi comme assistant réalisateur.

Top 3 d'extraits de comédies françaises autour du vin - Avenue des Vins Le Blog Nous vous avons fait récemment profiter d’un petit topo des meilleurs répliques autour du vin dans les comédies françaises. Et en tout bons amateurs de vin et de cinéma qui se respectent, nous récidivons avec 3 autres scènes de films cultes… 1) L’aile ou la Cuisse (1976) : « Le vin, c’est la terre » On commence par un grand classique avec un extrait du film de Claude Zidi L’aile ou la Cuisse, dans lequel Louis de Funès nous en met plein la vue en se livrant à un exercice impressionnant de dégustation sur un plateau télé pour venir en aide à son fils interprété par Coluche. 2) Les Tontons Flingueurs (1963) : « Buvons un coup ! Et on enchaîne avec un autre classique quoique bien différent de L’aile et La Cuisse : Les Tontons Flingueurs, de Georges Lautner, avec les grands Bernard Blier et Lino Ventura. 3) Les Bronzés font du ski (1979) : « Marius ne digère pas le vin blanc » Qui n’a jamais ri devant la comédie déjantée et « friendly » de Patrice Leconte Les Bronzés font du ski ?

Capture d’écran 2014 11 14 à 08 33 14 9 MOIS FERME : la Bande Annonce Délirante ! Top 8 des scènes d'ivresse du cinéma français Que les verres soient vraiment remplis ou pas, les scènes « légèrement » alcoolisées dans le cinéma français (et francophone) ne manquent pas. On s’est donc dit qu’on allait se faire notre propre top des scènes où l’alcool joue un rôle de premier ordre. La plus à l’ancienne :La scène de la cuisine – Les Tontons flingueurs Un casting des plus classes, des dialogues comme on n’en écrit plus aujourd’hui… La scène mythique de la cuisine du film Les Tontons Fligueurs reste aujourd’hui un instant de magie cinématographique inégalé ! La plus sports d’hiver :La scène de la gnôle – Les Bronzés font du ski On continue sur le culte, voir le cultissime, avec la joyeuse bande de bras cassés du splendide face à la gnôle de crapaud des savoyards. La plus sous la ceinture Péter sous les étoiles – La soupe aux choux Que dire de plus, tout est dans le titre. La plus confessions de soirée Karamazov bourré – La cité de la peur On a tous un pote, quand il boit, il devient quelqu’un d’autre.

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