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Le bonheur est dans la famille, pour les Français

Le bonheur est dans la famille, pour les Français
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Enfants Québec Être parent rend-il heureux? Crédit: Istockphoto Avoir des enfants apporte-t-il le bonheur? La réponse n’est pas si simple… Pascale Navarro Normand et Isabelle rêvaient de fonder une famille. Quand les parents s’oublientVoilà bien une histoire dans laquelle tous les parents se reconnaissent. Avoir un enfant occupe un espace mental, affectif et physique qu’on ne soupçonne pas. La vie en rose«Avant d’avoir son enfant, on pratique la pensée magique», dit Annie Carpentier, auteure de Quel bonheur d’être une mère heureuse ! «Il faut faire le deuil de l’enfant rêvé, conseille Claudia Écrement, psychologue auprès des jeunes et des familles en clinique privée et collaboratrice au magazine Enfants Québec. L’idéalisme découle bien sûr d’une certaine naïveté. Gérer les attentesCinquante ans après la pilule, on ne devient plus parent pour les mêmes raisons qu’avant. Autrefois, les enfants arrivaient souvent sans qu’on l’ait vraiment choisi. Par ailleurs, selon Mme Dubé, on saisit peut-être mal ce qu’est le bonheur.

La recette du bonheur existe, c'est Harvard qui le dit ! En novembre 2015, lors d’une conférence TEDx, Robert Waldinger a révélé l’aboutissement d'une longue, d'une très longue étude. Pendant 75 ans, des chercheurs de la prestigieuse Harvard Medical School ont suivi à la loupe le quotidien de 724 hommes. Alors que, généralement, les études de cet acabit s’arrêtent au bout d’une dizaine d’années, faute de moyens, ici pas moins de quatre directeurs d’étude se sont succédés depuis 1938 pour mener à bien les recherches. La chaire sur le « développement de l’adulte » (Study of Adult Development) de l'université a passé au crible tous les aspects de la vie des participants. Un travail titanesque Le projet original était ambitieux, tant au niveau des fins que des moyens. Choisir ainsi deux milieux sociaux diamétralement opposés permettait d'isoler les facteurs psychologiques et biologiques ayant un impact sur la santé et le bien-être à tous les âges de la vie. Pour être heureux, connectez-vous à votre entourage À lire aussi :

Avoir des enfants rend-il (plus) heureux ? Barbara Lambert : La théorie qui prédominait jusqu’à présent était que les couples sans enfants étaient plus heureux que les couples avec enfants. Or une étude vient de paraître selon laquelle les couples avec enfants ne seraient pas forcément plus heureux mais « moins malheureux », sur le long terme, que les couples sans enfant. Avez-vous pu constater une telle évolution dans votre pratique quotidienne ? Valérie Colin Simard : Oui, je constate exactement ce dont vous parlez. En même temps, bien des femmes sont malheureuses de ne pas avoir d’enfant… Toutes les femmes ne le sont pas forcément… Bien sûr. C’est un sentiment qui perdure ? Oui, alors que c’est faux. On dit d’ailleurs qu’il est plus facile d’entretenir la flamme quand on n’a pas d’enfant… C’est vrai. atlantico sur facebook notre compte twitter Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ? Pour retrouvez facilement ses articles dans votre compte et recevoir une alerte à chacune de ses contributions :

François de Singly : "La famille apporte le bonheur ensemble et le bonheur individuel" Spécialiste de la famille, François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, décrit comment, aujourd'hui, on perçoit la famille moderne. Il a récemment publié "Les Adonaissants", Armand Colin, Paris, 2006. Le Monde.fr | | Propos recueillis par Propos recueillis par Karim El Hadj Quelle définition donneriez-vous du mot famille ? François de Singly : Il n'y a pas de définition de la famille de telle sorte qu'elle puisse exister à n'importe quelle période de l'histoire de l'humanité et dans n'importe quelle culture. Ce qui est intéressant dans le fait que la définition de la famille soit floue, c'est que cette imprécision autorise son succès. D'où viennent les idées que l'on se fait de la famille ? Les références à la famille que nous avons viennent de l'Etat, de notre propre histoire familiale, mais aussi des romans, des films... Quand la famille est-elle devenue moderne ? Quelle est la caractéristique de la famille actuelle en Europe ?

Le premier enfant rend plus heureux. Le deuxième aussi. Mais le troisième... «Famille nombreuse, famille heureuse»? Pas si simple. En fait, la naissance des deux premiers enfants procurerait du bonheur supplémentaire aux parents, mais il semblerait que ce soit moins marqué pour le troisième bambin, selon une étude de la London School of Economics, que relaie le Smithsonian Mag. Les chercheurs se sont fondés sur les données de plus de 7.000 familles, recueillies sur plus de dix ans, à la fois en Allemagne et en Grande-Bretagne. Ils se sont intéressés à la correspondance entre le niveau de bonheur auto-évalué par les couples et le fait que ces derniers attendent un enfant ou aient eu un bébé récemment. Résultat: il semblerait que la naissance du premier enfant augmente significativement le bonheur de ses heureux géniteurs. Pas de panique, cela ne signifie pas que les parents manquent d’intérêt pour leur troisième rejeton, ni qu’il sera moins heureux que ses frères et soeurs, explique l'un des chercheurs au Washington Post:

Le bonheur en famille. Du bonheur pour toute la famille ! Cela peut paraître simpliste, mais c’est pourtant primordial : Nos enfants ont besoin de nous voir heureux pour s’épanouir et grandir sereinement. Le bonheur en famille est souvent près de nous… tellement près qu’on ne le voit pas ! Le quotidien nous entraîne dans une routine monotone et parfois négative. C’est vrai que nous avons tous des soucis (plus ou moins gros) et que la télévision n’arrange pas les choses avec son lot de mauvaises nouvelles et la vision négative qu’elle nous inculque. En résumé: on voit le verre à moitié vide alors que nous pourrions facilement le voir à moitié plein ! Pourquoi notre bonheur est important aux yeux de nos enfants ? Pour Isabelle Filliozat (psychothérapeute et mère de deux enfants), notre état d’esprit peut influencer le comportement de nos enfants. Résultat : L’enfant passe à côté de ses sentiments, étouffe ses propres besoins et peut ressentir une certaine culpabilité. Avant toute chose : déculpabilisez votre enfant Comment être heureux au quotidien ?

Les Françaises font passer la famille avant leur épanouissement personnel Une étude conduite par l’Institut Ipsos dresse le profil des Françaises d’aujourd’hui. On découvre des femmes prêtes à se sacrifier pour leur famille et qui ont une vision raisonnée du couple. Quelle perception ont les Françaises de leur vie privée ? Une vision de couple loin des contes de féeQuand on aborde le sujet du couple, les Françaises semblent ne plus croire au prince charmant : seules 38 % d’entre elles disent que leur compagnon est celui dont elles ont toujours rêvé contre 48 % aux Etats-Unis.

L'effet inattendu des bonnes actions sur les enfants Les pré-ados habitués des gestes altruistes sont plus heureux et mieux intégrés dans leur classe, selon une étude. Partager son déjeuner, réconforter une personne qui paraît fatiguée: sous leurs airs anodins, ces petits gestes altruistes pourraient rapporter gros à celui qui les initie. Et pas seulement chez les adultes. Les pré-ados y gagneraient aussi en termes de sentiment de bonheur et de liens sociaux dans leur classe, selon une étude américano-canadienne publiée dans la revue Plos One. L'idée qu'une bonne action crée du bonheur non seulement chez le destinataire mais aussi chez celui qui en est à l'origine n'est pas nouvelle. En revanche, l'effet chez les pré-ados était plus incertain. A la fin de l'expérience, les enfants des deux groupes se sentaient plus heureux qu'au début. Souligner ce qui va bien Un résultat qui ne surprend pas la pédopsychiatre Gisèle George, auteur de La confiance en soi de votre enfant (éd. » DOSSIER SPECIAL - Psychologie: nos émotions décryptées

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