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Bonheur et économie. Le capitalisme est-il soluble dans la recherche du bonheur?

Bonheur et économie. Le capitalisme est-il soluble dans la recherche du bonheur?
Autres articles La psychologie s’intéresse depuis près de 50 ans au bonheur. Aujourd’hui paraissent chaque année près de 2000 études s’y rapportant. Les connaissances accumulées sur le bonheur sont donc considérables. Ces connaissances mettent à mal les façons traditionnelles dont sont conçues l’économie et les politiques publiques en même temps qu’elles ouvrent sur de nouvelles idées et de nouvelles pratiques. Parce que les recherches en psychologie du bonheur et plus généralement en psychologie positive ouvrent sur une meilleure connaissance du meilleur de nous-mêmes, parce que ces recherches commencent à infuser les sciences économiques et les sciences politiques, un avenir meilleur, meilleur pour chacun, s’ouvre à nous. Renaud Gaucher

L'argent ne fait pas le bonheur (Insee) L'aisance financière ne joue que partiellement dans le sentiment de bien-être ressenti par les Français, qui sont aussi très sensibles aux liens sociaux ou au stress de la vie quotidienne, note une étude de l'Insee parue ce matin. "Les adultes vivant en France métropolitaine déclarent en 2011 un niveau moyen de satisfaction dans la vie de 6,8 sur une échelle allant de 0 à 10", écrit l'Institut de la statistique, qui a réalisé cette étude en 2011, dans la foulée du rapport de l'économiste Joseph Stiglitz de 2009, qui proposait de mettre au point des indicateurs de "bien-être". "Si 13% d'entre eux estiment leur bien-être à 9 ou 10, ils sont 7% à le situer à moins de 5 sur l'échelle de satisfaction", précise l'Insee. Ils sont 22,5% "parmi les personnes les plus modestes" à être peu satisfaits de leur vie tandis qu'à l'opposé, 23,4% des personnes les plus satisfaites appartiennent à un ménage à hauts revenus.

Vers un monde sans argent ? Découvrez ce site où tout s'échange, gratuitement Connaissez-vous MyTroc ? C’est un site internet qui permet d’économiser de l’argent, qui vous fait faire potentiellement de belles rencontres tout en préservant l’environnement et en proposant un système monétaire alternatif… Et vous n’allez bientôt plus pouvoir vous en passer ! En fait, le concept est simple : la communauté MyTroc est basée sur un système d’échange et de troc. Concrètement, les gens peuvent proposer des objets, mais aussi des services ou même des biens de locations, en échange de n’importe quoi d’autre. Si la personne qui souhaite effectuer le troc n’a rien qui les intéresse à offrir en contrepartie, pas de problème ! MyTroc.fr Garde d’enfants, séances d’hypnose, babioles diverses, cassage d’une dalle, cours d’anglais, miel artisanal, balade en voilier ou jardinage, on trouve vraiment de tout (et forcément, notre bonheur) sur MyTroc ! Les deux cofondatrices, Célia Dulac et Floriane Addad Nous, on s’inscrit direct… Et vous ?

L'argent ne fait pas le bonheur, mais en donner oui Travailler plus pour gagner plus ? Pour l'économiste Mickaël Mangot, c'est une promesse qui ne peut ni motiver ni rendre heureux dans la durée. Car si l'argent constitue un puissant stimulant et procure un plaisir immédiat, ce dernier s'atténue aussitôt qu'il est satisfait. Pour ce spécialiste du lien entre économie et bonheur, quand on cherche à savoir si l'argent rend heureux, bien d'autres paramètres sont à prendre en compte, comme l'estime de soi, l'épanouissement personnel ou le lien aux autres... Management : Le simple fait de s'enrichir rend-il plus heureux ? Mickaël Mangot : L'argent joue un rôle d'étalon de notre réussite, notamment sociale. L'épargne ou la consommation n'ont-elles aucun effet sur notre bien-être ? Le point clé ne réside pas dans le fait d'épargner ou de consommer, mais dans ce que l'argent permet d'accomplir. >> A lire aussi - Mécénat, philanthropie… les bonnes actions ont aussi leur plateforme de crowdfunding Tout dépend de votre environnement. >> Nouveau !

Argent : ce que nous apprend l'économie du bonheur Acheter sa maison, s'offrir un voyage... Nos décisions budgétaires impactent nos finances, bien sûr, mais aussi notre bonheur. De quelle manière ? Figurez-vous qu'une discipline économique a justement pour objectif de répondre à cette question et d'analyser les liens entre situations économiques (personnelle et globale) et bien-être. L'Express-VotreArgent : L'économie du bonheur, ça fait sourire... Mickaël Mangot : C'est une discipline académique très sérieuse, qui a émergé dans les années 1970 grâce au travail de l'Américain Richard Easterlin. A LIRE >>Combien faut-il gagner pour être heureux ? Les études sur lesquelles s'appuie l'économie du bonheur s'intéressent au bonheur déclaré. Quels comportements sont les plus susceptibles de nous rendre heureux en matière de gestion de notre argent ? Côté consommation, ce qui est clair, c'est que l'achat de biens matériels procure un bonheur très éphémère. A LIRE >>Etre propriétaire rend-il heureux ?

L'argent ne fait pas le bonheur : cliché ou réalité ? Un article de presse paru sur la crise financière titrait : « L’effondrement de la Bourse touche les retraités ». Cet article disait en substance que lorsque la Bourse baisse, les personnes aux revenus fixes souffrent : elles renoncent à aller au restaurant, chauffent moins leur habitation en hiver et sont plus regardantes quant aux prix des denrées qu’elles peuvent se permettre. Cela signifie-t-il qu’on est plus malheureux ? Non, cela veut simplement dire qu’on est moins à l’aise et moins libre de satisfaire ses désirs. Je n’entends pas par là que l’argent n’a aucune importance. Il en a, bien sûr, mais il ne fait pas forcément le bonheur. Le confort L’argent permet d’obtenir le confort matériel, des sous-vêtements aux meubles, en passant par les produits de première nécessité. Le soutien L’argent ne vous apporte qu’un confort moral en ce sens qu’il vous aide dans les périodes éprouvantes. La liberté L’argent apporte la liberté économique : - il vous libère des soucis financiers ;

L'économie du bonheur Que l'économie s'occupe de la question du bonheur est caractéristique de notre époque. Notre civilisation actuelle pourrait bien en effet se définir par ces deux termes : "économie" et "bonheur". La foi dans le quantitatif et les chiffres pour rendre compte de la réalité d'une part, et notre volonté affichée d'être heureux d'autre. L'économie du bonheur fait cependant une découverte qui met à mal sa naïve conviction première : La période des "trentes glorieuses", période de croissance économique par excellence, n'a pas fait d'heureux. En 1974, Richard Easterlin, économiste et démographe américain, montre qu'entre 1947 et 1970, le pourcentage d'américains se déclarant "très heureux" est resté à 30%. Faut-il en conclure que la question de l'argent, et plus généralement de l'aisance matérielle, n'a aucune pertinence ? 1. 2. 3. 4. Mais alors, comment diable expliquer le paradoxe d'Easterlin ? L'économie du bonheur a aussi quelque chose à nous dire sur notre rapport à l'égalité.

Le bonheur réside-t-il dans la richesse matérielle ? - Theopedie.com En bref : Non, car la beauté d’un homme brille davantage lorsqu’il conserve le bonheur plutôt que lorsqu’il le laisse s’échapper. Or, dit Boèce, « les richesses brillent davantage en se répandant qu’en s’entassant ; car l’avarice rend les riches odieux, et la générosité les rend illustres ». Donc le bonheur ne consiste pas dans la richesse matérielle. Aristote distingue deux sortes de richesses : les biens économiques et les biens financiers. Les premiers servent à la personne pour subvenir aux besoins de sa nature : tels sont les aliments, les vêtements, les moyens de transport, le logement, etc. Les seconds, comme les monnaies, ne sont pas d’une utilité de nature ; mais l’ingéniosité humaine les a créés pour faciliter les échanges économiques, de telle sorte qu’ils servent à évaluer les biens qui se vendent. Or il est manifeste que les richesses économiques ne sauraient constituer le bonheur, car elles servent les besoins de la personne et ne peuvent donc prétendre être son idéal. 1.

L'économie du bonheur L'économie du bonheur est une discipline académique née aux Etats-Unis, dans les années 70, qui s'est considérablement développée ces dernières années. Il y a même un Institut de l'économie du bonheur à Paris qui a ouvert ses portes en novembre dernier. Evidemment, tout cela est très empirique puisque l'on parle de ressenti. En tout cas, de nombreux chercheurs ont démontré qu'au-delà d'un certain revenu, le niveau de bonheur ne progresse plus vraiment. De manière générale, une fois que nos besoins de base sont satisfaits (la nourriture, le logement, la sécurité...) il faut chercher son bonheur ailleurs. Acheter, posséder et épargner nous rendent-ils heureux ?

Argent : Fait-il le bonheur ou le malheur ? C'est un sujet passionnant dont on a déjà parlé : l'argent fait-il le bonheur ? On entend absolument tout sur le sujet, certains disent que l'argent fait le bonheur, certains disent que l'argent ne fait pas le bonheur, et d'autres disent carrément que l'argent fait le malheur. Mais ce qu'on entend le plus souvent, c'est "l'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue". Le manque d'argent entraîne le malheur... La première chose que nous pouvons dire sur ce sujet, c'est que le manque d'argent est synonyme de malheur. Mais l'argent ne garanti pas le bonheur Après, ce n'est pas non plus parce que vous avez de l'argent que vous serez forcément heureux. Peut-on dire que l'argent fait le bonheur ? En résumé, on peut dire que l'argent ne fait ni le bonheur ni le malheur.

Economie du bonheur : la nouvelle main invisible ?  - Monde Management et emploi, management et travail, management en europe, gouvernance et travail travail emploi europe Etes-vous heureux dans votre travail de manière générale ? Qu'est-ce qui vous rend heureux au travail ? Qu'est-ce qui pourrait améliorer votre bonheur au travail ? Ces questions font partie des problématiques qui peuvent se poser en économie du bonheur, une branche de l'économie, empirique, qui fait le lien avec la recherche sur le bonheur. L'économie du bonheur est une branche relativement récente et peu connue de l'économie. L'économie du bonheur s'intéresse à bien d'autres thèmes que le bonheur et l'argent. L'économie du bonheur étudie en effet plusieurs thèmes qui peuvent intéresser l'entreprise, notamment le bonheur au travail, les chômeurs et la relation entre bonheur au travail et performance économique. Il existe différentes enquêtes sur les attentes en matière d'emploi et notamment sur la satisfaction au travail. Ces enquêtes ne sont pas le fait d'économistes du bonheur. Références: Richard Easterlin (1974), Does Economic Growth Improve the Human Lot ?

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