Climat scolaire - La coéducation avec les familles Parmi les sept facteurs déterminants du climat scolaire, la relation avec les familles constitue également un facteur important. S’informer Pourquoi un lien avec les familles ?La qualité des réseaux sociaux et des « gardiens » est une condition de protection contre la violence. Voici quelques mots clés à retenir. Communauté éducativeArticle L111-3 du code de l’éducation : « Dans chaque école, collège ou lycée, la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l’établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à l’accomplissement de ses missions. Coéducation« La coéducation peut être définie comme une forme d’éducation qui privilégie l’apprentissage en autonomie, par l’expérience collective et la collaboration. Parentalité« Ce terme désigne l’ensemble des façons d’être et de vivre le fait d’être parent. Agir Les principes et facteurs favorisants Dans l’établissement Dans la classe Avec l’élève S’inspirer
Les neurosciences plaident en faveur de la bienveillance à l'école ! Catherine Gueguen, pédiatre et experte en éducation positive, nous présente en quoi les neurosciences plaident en faveur de la bienveillance à l’école dans cette vidéo issue du MOOC Education de l’Université Colibris (6 min). Pour aller plus loin dans la pratique : Concilier enseignement et bienveillance : des ressources pour y parvenir 3 qualités fondamentales des enseignants pour faciliter les apprentissages Les livres de Catherine Gueguen : Pour une enfance heureuse : repenser l’éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau Vivre heureux avec son enfant Articles similaires Catherine Gueguen (pédiatre) : La bienveillance est fondamentale Catherine Gueguen (pédiatre) : La bienveillance est fondamentale pour l'enfant et l'adolescent ! 22 octobre 2016 Dans "Au quotidien" Céline Alvarez sur les grandes lois d’apprentissage et d’épanouissement humain
Jeu de cartes pour résoudre les conflits et les disputes Voici un jeu de cartes à télécharger gratuitement qui permettra aux enfants de s’entraîner à résoudre les conflits et autres disputes de manière pacifique. Le scénario est le suivant : « Je suis en désaccord avec un copain/une copine/un frère/une soeur/un adulte/…. Un conflit éclate. L’enfant choisit une carte « action » (bleue). Et on demande ensuite quelles sont les conséquences émotionnelles de cette action sur chaque personne impliquée dans le conflit. On poursuit ainsi en discutant de chaque situation jusqu’à établir un des chemins possibles pour que chaque intervenant soit satisfait. Ce jeu s’appuie donc sur l’empathie, la narration et l’imagination. Le parent/éducateur a un rôle de guide dans la réflexion mais n’impose pas son point de vue. Progressivement, les enfants qui avaient l’habitude d’avoir recours à la violence, s’orienteront vers l’utilisation de mots dans un objectif de collaboration (au lieu de domination/soumission/opposition). Qu’en pensez-vous ? A propos de l'auteur
La différenciation, une approche centrée sur les élèves Il est illusoire de croire que tous les élèves vont pouvoir développer les mêmes connaissances et compétences au même rythme et selon la même chronologie stricte. Même si ce rêve est toujours dans la tête de certains, la réalité du terrain nous contraint à envisager des adaptations de ce mode de fonctionnement, sans forcément aller jusqu’à l’école mutuelle qui était l’alternative à l’éducation centralisée au XIXème siècle. Un juste milieu peut exister, où l’enseignant a toute sa place pour accompagner chaque élève dans ses apprentissages. On peut facilement confondre plusieurs notions et il est intéressant de commencer par les définir : L’individualisation est la prise en compte des spécificités d’un apprenant pour lui adapter un parcours de formation ‘sur mesure’. Cela peut se traduire par exemple par la dispense ou l’ajout de certains modules de formation selon le parcours antérieur de chacun. Les paramètres de la différenciation L’organisation de la différenciation
Mon fonctionnement en ateliers Montessori Je prends enfin le temps de poster pour vous parler de la révolution qui a eu lieu dans ma classe cette année. En effet, j’ai eu besoin de me renouveler après une année difficile en 2015-2016 où j’ai dû en arriver à abandonner les plans de travail car mes élèves n’arrivaient pas à se mettre au boulot. Depuis la naissance de mon fils, je me suis beaucoup penchée sur la pédagogie explicitée par Maria Montessori. Maintenant que tout cela est dit :-), passons aux choses sérieuses. Chaque élève a son cahier de réussite en edl et en maths et il part de cela pour choisir la compétence qu’il veut travailler. Cahier de réussite en edl Cahier de réussite en maths Pour chaque compétence, chaque élève fera au moins 3 exercices parmi les 6 à sa disposition. Petite parenthèse : j’ai la chance d’avoir la machine silhouette Caméo donc j’ai pu me faire des petites boîtes pour organiser le grand nombre de fiche que j’ai à disposition des élèves. Pour les natures, 1ère boîte : le nom et le déterminant
Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves Pour que les élèves cherchent à s'améliorer, il faut bien sûr que la motivation soit au rendez-vous. De manière à susciter cette motivation chez les élèves, voici une proposition qui a déjà fait l'objet d'une expérimentation à l'enseignement supérieur. L'analyse des récentes recherches sur la motivation à apprendre en contexte scolaire, nous fait voir que les quatre facteurs qui influent le plus sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe sont les activités d'apprentissage que l'enseignant propose, l'évaluation qu'il impose, les récompenses et les sanctions qu'il utilise, et lui-même, de par surtout sa passion pour sa matière et le respect qu'il porte à ses élèves. Nos travaux sur la motivation dans l'apprentissage du français nous ont amené à porter une attention particulière à l'un de ces facteurs : les activités d'apprentissage proposées aux élèves en classe. Dans un premier temps, nous décrirons brièvement chacune de ces conditions. Dix conditions pour motiver BROPHY, J.
Affichage du cartable | Lutin Bazar Afin d’éviter les oublis de matériel à l’école et par conséquent les devoirs non faits, j’utilise une méthode bien visuelle (et aussi bien connue) : l’affichage du cartable. J’affiche une image de cartable de chaque côté de la classe (une pour chaque niveau) sur laquelle le responsable des devoirs colle chaque soir des étiquettes. Ces étiquettes correspondent au matériel à mettre dans son cartable (cahier, classeurs, fichiers…). La partie gauche de l’affiche contient les outils qui ne quittent jamais le cartable, les étiquettes restent donc affichées en permanence. Personnellement, je préfère utiliser des petits scratchs que j’achète en rouleaux chez G*fi, à petit prix au moment de la rentrée. Je vous propose de télécharger ci-dessous l’affiche du cartable (5 au choix) et le document qui vous permettra de créer vos propres étiquettes. Affiche « Cartable » Modèles d’étiquettes Grille de mise en forme Comment faire ?
Les postures enseignantes Une posture est une structure pré-construite (schème) du « penser-dire-faire », qu’un sujet convoque en réponse à une situation ou à une tâche scolaire donnée. Les sujets peuvent changer de posture au cours de la tâche selon le sens nouveau qu’ils lui attribuent. La posture est donc à la fois du côté du sujet dans un contexte donné, mais aussi de l’objet et de la situation, ce qui rend la saisie difficile et interdit tout étiquetage des sujets. Les « postures d’étayage » permettent de rendre compte de la diversité des conduites de l’activité des élèves par les maîtres pendant la classe : Une posture de contrôle : elle vise à mettre en place un certain cadrage de la situation : par un pilotage serré de l’avancée des tâches, l’enseignant cherche à faire avancer tout le groupe en synchronie.