Liberate your data! Posted by Brian Fitzpatrick, Data Liberation engineering manager Imagine you want to move out of your apartment. When you ask your landlord about the terms of your previous lease, he says that you are free to leave at any time; however, you cannot take all of your things with you - not your photos, your keepsakes, or your clothing. If you're like most people, a restriction like this may cause you to rethink moving altogether. Not only is this a bad situation for you as the tenant, but it's also detrimental to the housing industry as a whole, which no longer has incentive to build better apartments at all. Although this may seem like a strange analogy, this pretty accurately describes the situation my team, Google's Data Liberation Front, is working hard to combat from an engineering perspective. What does product liberation look like? At the heart of this lies our strong commitment to an open web run on open standards.
Taking on Facebook, Google’s Social Network Allows Data Exporting | Epicenter Nos vies gérées par les données (InternetActu) Nous prenons des décisions avec des informations partielles. Souvent, nous ne savons pas répondre aux questions les plus simples : où étais-je la semaine dernière ? Depuis combien de temps ai-je cette douleur au genou ? Combien d’argent dépensé-je habituellement chaque jour ?… Pour répondre à cela, certains documentent leurs existences pour obtenir des informations précises et concrètes sur leur quotidien, comme c’est le cas de Robin Barooah, un concepteur de logiciel de 38 ans, qui vit à Oakland, Californie. Image : les journées de Ben Lipkowitz. Je me mesure, donc je suis “Ces gens semblent avoir un comportement anormal. Pourtant, les nombres s’infiltrent dans le domaine de la vie personnelle. Image : cliché d’une réunion du Quantified Self. La montée des capteurs de soi Cette autodocumentation est un rêve d’ingénieur. Pour cela, il faut prendre en compte quatre changements importants. Image : Le Zeo et un exemple de mesure de sommeil obtenu depuis cet appareil. Hubert Guillaud
Data Liberation 90% email traffic = spam Since its launch in October, 2004 Project Honey Pot has made some interesting progress in their war against spam email. The project is a distributed system used to identify spammers and spambots operating across the Internet. To put it simply, Project Honey Pot lays millions of traps around the Internet (66,393,293 as of this writing) baited with specific email addresses that are configured to forward received emails to the Project Honey Pot system. Since these are not email addresses used by real individuals virtually every email received is positively identified as spam. Looking at their statistics it is hard not to be impressed with the effectiveness of this system: 85,989,816 spam servers identified; 1,546,419,133 unique spam messages processed through their system. Spam remains one of biggest problems facing the Internet today. To help tackle the spam issue, the information and statistics collected by Project Honey Pot are put to good use. By Mike Dailey, IT Architect and Sr.
State Department shifts digital resources to social media - The Hill's Hillicon Valley With little fanfare, the State Department has abandoned America.gov — an ambitious digital project launched three years ago to promote Democracy abroad — and shifted its resources to social media projects. A message on the front page of America.gov informs visitors that, as of March 31, the site is not being updated and will be archived. A notice directs visitors seeking information on U.S. foreign policy to the U.S. embassy and consulate websites or to State.gov. The manpower once devoted to the site, provided through the State Department’s Bureau of International Information Programs (IIP), is being redirected toward the department’s “social media assets,” which use Twitter, Facebook and YouTube. Although MacInnes said the department’s official site of record, State.gov, would still serve as a resource, a “static website” like America.gov is no longer the best way to promote understanding of policy. “We’re teaching people to write shorter,” MacInnes said.
À vous de Dégoogliser Internet Quelle semaine ! Avec cinq nouveautés et un nouvel élan pour entamer la deuxième année de la campagne « Dégooglisons Internet », nous espérions que la démarche vous plairait. Cela semble être le cas, alors du coup, nous voudrions à notre tour vous demander des services Permettez-nous de poursuivre l’aventure Vous le savez, les sous, c’est le nerf de la guerre. Vos 690 dons récurrents, notamment, nous permettent de nous projeter dans l’avenir et d’avoir l’esprit tranquille quant à nos salariés, nos serveurs, et tous ces impondérables que le bénévolat ne peut pas résoudre. C’est grâce à nos donateurs et donatrices que nous avons pu faire tout ce que nous avons fait jusqu’à présent, et nous les remercions avec tout le datalove présent dans nos cœurs de Libristes. Partagez sur vos médias Il y a une autre manière de soutenir le projet Dégooglisons Internet : en le faisant connaître autour de vous. Le site « Dégooglisons Internet » propose désormais tout cela dans son espace médias. framasoft
Should I Change My Password? Vous n’habitez pas chez vous Vous pensiez habiter à Paris ? Et bien non, d'après ce que vous pensez de votre territoire, vous habitez dans l'Eure. Si les données étaient ouvertes, ce genre de méprise n'arriverait pas. La preuve avec ce quiz. Entrez votre code postal dans l’application ci-dessus et faites le test pour découvrir que vous n’habitez pas chez vous… S’interroger sur la perception de son territoire, se dire que, finalement, même en pleine mégapole on habite à la campagne, le tout pour promouvoir l’Open Data – l’ouverture des données, en français. Ce questionnaire interroge le citoyen sur sa connaissance des données publiques de son territoire : pense-t-il vivre dans une ville de personnes âgées ? Pour chacune des 16 questions, nous évaluons s’il a “raison”, si sa perception correspond à ce que les données publiques décrivent de son territoire. Notre but : démontrer la différence qui existe entre cette perception et la réalité. Les dessous des données publiques L’INSEE a donc été notre source principale.
Transparency Report [Live] Hacker la presse Tout au long du mercredi 11 janvier, sept équipes de datajournalistes, designers et développeurs se sont affrontées à l'occasion de la seconde édition de Hack The Press, événement dédié au journalisme de données coorganisé par OWNI et La Cantine de Paris. Résumé de cette journée dédiée aux nouvelles frontières du journalisme. Retrouvez le direct de la journée en fin d’article Après le succès de la première édition, où les participants furent aussi nombreux que les grains du couscous engloutis le midi, Hack The Press a remis le couvert ce mercredi 11 janvier à La Cantine, en association avec OWNI, Silicon Maniacs, le magazine de Silicon Sentier, association regroupant des entreprises IT innovantes, Regard Citoyens, collectif spécialisé dans l’ouverture des données politiques et l’école d’informatique Epitech. Nous aurions pu reprendre la formule initiale : une confrontation d’une journée entre équipes pluridisciplinaires journaliste-développeur-designer, définies à l’avance.
A map to freedom: the Internet in Europe Collection of IP addresses under a judge’s supervision, ineffective means of filtering, “friends” of copyright, the new updates on the ACTA – these are just a few issues which are not being highlighted at the holy e-mass currently taking place in Paris. Due to the lack of comprehensiveness, OWNI is ‘augmenting’ the networks that were compiled by Nicolas Sarkozy, Publicis, and web moguls present at the e-G8. Unlike the former group, our map of the Internet in Europe puts the user at the center of attention. The Internet report for 27 EU countries (including Norway, Iceland, and Switzerland) was put under a microscope and scrutinized. Six major points of interest were chosen: Protection of intellectual property: a review on preventative measures such as the three strikes sanctions, the type of targeting (sites or visiting offenders?) The range of criteria is not exhaustive and is called on to expand – thanks to your contribution.
When Google comes into it! « A Piece of American Pie On peut apprendre beaucoup en analysant les mots-clés que les gens tapent dans la barre de recherche Google. C’est ce qu’à démontrer Google Insights for Search et Indu Chandrasekhar, journaliste au Telegraph. On remarque, par exemple, que Ron Paul est le candidat le plus populaire sur internet ou encore que beaucoup d’internautes cherchent à savoir si Newt Gingrich est raciste. Mais, question légitime qu’on peut aussi se poser: est-ce que les données de recherche et la e-réputation des candidats à la primaire républicaine est capable d’influencer le résultat des urnes ? Dans une campagne où les gaffes et les attaques personnelles se sont accumulées, il n’est pas étonnant de constater qu’une majorité des internautes s’intéressent plus aux déclarations de l’ex-femme de Newt Gingrich - l’accusant de préférer le mariage libre – qu’au programme de ce dernier. from mediad.publicbroadcasting.net Mais la grande surprise des données de recherche Google concerne Ron Paul. from rfi.fr Like this: