background preloader

Fusillés pour l'exemple, l'ultime combat

Fusillés pour l'exemple, l'ultime combat
Related:  serious game1ère guerre mondiale

Le Débarquement de Normandie Les différents fronts La guerrequi contre qui ? En 1943, le front de l’Est est tenu par les Soviétiques. Leur chef, Staline, réclame l’ouverture d’un second front à l’Ouest afin de prendre l’armée allemande par encerclement. Les dirigeants anglo-saxons -Churchill pour la Grande Bretagne et Roosevelt pour les Etats-Unis- se concertent afin de mettre au point un débarquement qui portera le nom de code Overlord. Les grandes dates 1939Début dela guerre 1940Défaite dela France 1944Le 6 juin - Ledébarquement 1945Fin dela guerre L'entrée des américainsdans la guerre Pourquoi la Normandie ? Les plages des Normandie ont été choisies comme lieu de débarquement car elles possédaient plusieurs atouts : Atout géographique Elles sont en effet larges et profondes, ce qui permet un débarquement important d’hommes et de matériels. Atout stratégique Les défenses y sont réduites car l’armée allemande croit à un débarquement dans le Pas-de-Calais et y a donc concentré l’essentiel de ses troupes. Atout « matériel » Où ?

Femmes en guerre : deux anglaises au chevet des poilus (1915-1919) Ni Marcia, ni Juliet n’étaient de jeunes mondaines écervelées avant que la guerre éclate. Les lettres des deux sœurs attestent de leur curiosité : elles lisent les journaux et expriment des opinions parfois tranchées. C’est leur mère Mildred ‘Mully’ Mansel qui leur a transmis son sens de l’engagement politique : suffragette militante, elle a passé une semaine dans la prison pour femmes d’Holloway, au nord de Londres, en novembre 1911, après avoir brisé deux vitres du War Office (ministère de la Guerre) lors d’une manifestation pour le droit de vote des femmes. Mildred « Mully » Mansel et sa mère, Mme Guest© Archives de la famille Mansel Cette question passionne notamment Marcia qui, dans une lettre datée de juillet 1917, se réjouit de l’avancée du projet de loi "Representation of the People Act". C’est que l’expérience de la guerre rend la notion d’âge plus relative. | Un décalage se crée avec le reste du monde Juliet Mansel. Lettre de Marcia, 7 août 1917 | Reprendre le cours d’une vie

Bobards et « bourrage de crâne », pour vaincre… ou au moins tenir Dès le début de guerre, la propagande est pour le moins grossière. Quand la vérité est bâillonnée par la censure, la porte est en revanche grande ouverte aux outrances cocardières. Les colonnes des journaux fourmillent alors de ces récits qui proclament la supériorité du valeureux « pioupiou » sur le « boche » sanguinaire. Même si, au fil des mois, la réalité des combats finit par être connue de l’opinion à l’arrière, « bobards » et fausses nouvelles continuent à essaimer dans la presse jusqu’à la fin du conflit. Méthode Analyser la rhétorique de la propagande dans la presse Définir préalablement le terme de propagande de guerre en distinguant les quatre types : À partir de la lecture d’une une d’un quotidien de la Grande Guerre, relever les extraits d’articles, brèves, dessins, voire photos légendées, qui paraissent relever d’une volonté de propagande. Analyser des « bobards ». Gros plan Droit à l’ennemi ! Et ils firent demi-tour. Parmi les plus intrépides, Paul brilla au premier rang.

Voyages en Résistances Première Guerre mondiale : la presse se plie à la censure Dès le début de la Première Guerre mondiale, la presse française accepte de se plier à la censure militaire et diplomatique, considérant que dévoiler certaines informations pourrait favoriser l'ennemi. Adolphe Messimy, ministre de la Guerre, rappelle dans un communiqué, une semaine seulement après les premiers combats, « les devoirs particuliers que l’état de guerre impose à la presse », tandis que la loi du 5 août 1914, votée pour toute la durée de la guerre, interdit de publier tous renseignements et informations autres que ceux communiqués par le gouvernement. Les journaux paraissent avec des blancs indiquant que certaines informations ont été caviardées, comme ici dans Le Journal des débats politiques et littéraires. La censure atteint des sommets lors de la bataille de Verdun (voir notre vidéo « Verdun, la presse en guerre »). « Faible action des deux artilleries sur l'ensemble du front, sauf au nord de Verdun, où elles ont eu une certaine activité. » « Le massacre était formidable.

La nécropole nationale et l'ossuaire de Douaumont Création de la nécropole Le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont regroupe les dépouilles de soldats morts pour la France lors des combats qui se déroulèrent dans la région de Verdun de 1914 à 1918, et principalement ceux de la bataille de Verdun. Créé en 1923, le cimetière est aménagé jusqu'en 1936. Une fois l'emplacement déterminé, dès 1923, le Service des Sépultures de guerre, avec le concours du génie de Metz, entreprit le nivellement d'une parcelle de terrain de plusieurs hectares où d'importants travaux de déblaiement avaient été réalisés pour récupérer le matériel abandonné, ainsi que de dangereuses munitions. Le terrain aplani, on procéda à la réalisation des allées et des tombes. Dès août 1925, les corps provenant de petits cimetières autour de Verdun furent transférés dans la partie droite. Informations historiques La bataille de Verdun Le 21 février 1916, l'opération Gericht conçue par le général Falkenhayn est lancée contre les positions françaises. L’ossuaire Horaires

Réfugiés Il y a cent ans, la bataille de Verdun Il y a cent ans, se déroulait à Verdun, dans la Meuse, la bataille la plus longue et l’une des plus dévastatrices de la Première Guerre mondiale. Dès le début de l’offensive allemande en février 1916, elle fait l’objet d’un récit documenté, patriotique et passionné par la presse française. Les journaux relatent jour après jour cette guerre de position qui cause des pertes très lourdes dans les deux camps, publient des communiqués quotidiens, décrivent toutes les phases de la bataille et ouvrent leurs colonnes à des personnalités du monde militaire. “Toute la presse alliée exprime la plus grande confiance dans l'héroïque résistance de nos soldats que l'on sent prête à se changer en brillante offensive”, note le Figaro. Il s’agit en effet d’informer mais surtout de soutenir les soldats français et d’entretenir la flamme patriote, comme le fait avec lyrisme le journaliste Paul Ginisty dans le très populaire Petit Parisien, six jours après le début des hostilités :

Histoires 14-18 : les lillois déportés - France 3 Hauts-de-France 1916 : l’Allemagne jette toutes ses forces dans la bataille de Verdun. Les femmes remplacent les hommes à l’usine et aux champs. L’effort de guerre est intense, le pays est rationné. La campagne manque de bras. Les Allemands imaginent donc utiliser les civils du Nord occupé pour faire les récoltes. Ils demandent dans un premier temps des volontaires, c’est un échec. Avril 1916, jour du Vendredi Saint, à 3 heures du matin, l’armée allemande boucle le quartier de Lille-Fives. Histoires 14-18 : les lillois déportésSources d'archives : - NARA - Gallica BNF - Archives départementales du Nord - Pathé Gaumont - France 3 - Florence Mabille Finalement, l’Allemagne devra faire machine arrière.

Les Enjeux de l'Energie - Serious Game Je suis enseignant Tester le serious game Editer mes propres missions Créer et suivre mes activités de classe autour du jeu Enrichir et diversifier mes séances plus d'infos Je veux essayer le jeu Parents, presse, collaborateurs... Pour la rentrée 2014, une nouvelle version conçue à partir des retours utilisateurs. Accompagnement du joueur - équilibrage Intégration de tutoriels dans chaque mission Ajout d’écrans d’introduction dans chaque mission Intégration d’un feedback de connexion des centrales au réseau de transport Intégration de feedbacks sous les bâtiments des villes pour mieux comprendre la répartition de la consommation Rééquilibrage de la difficulté des différentes missions Le parcours élève se fait de nouveaux mission après mission : seule la première est accessible dans une nouvelle partie. Éditeur de missions Les enseignants peuvent créer des missions en choisissant les variables et en fixant un objectif aux élèves. Le Serious Game, pour une nouvelle dynamique d’apprentissage.

Related: