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Pourquoi on est sur Facebook, le Brésil sur Orkut, Taïwan sur Plurk

Facebook en France : 20 millions d'utilisateurs actifs . Twitter : 3,3 millions d'utilisateurs dans l'Hexagone. Les deux géants américains du réseau social dominent le paysage internet français. Mais il n'en est pas de même partout. Les exemples de réseaux sociaux « locaux », leaders devant Facebook et Twitter, ne manquent pas : Orkut au Brésil, StudiVZ en Allemagne, Mixi au Japon , hi5 au Portugal… Pourquoi les internautes de tel pays choisissent-ils un réseau social plutôt qu'un autre ? « Les réseaux sociaux offrent différents services, qui apparaissent plus ou moins adaptés à la culture du pays. Exemple avec Orkut, qu'Antonio Casilli a étudié dans le cadre de son livre. La base d'Orkut, ce sont les notations de ses amis (et inversement). Le « Karma » plaît aux Taïwanais Sa spécificité tient au « Karma ». « Plurk est un peu comme un jeu vidéo, dont le but serait d'augmenter son Karma. « Sur Mixi, les échanges sont feutrés, beaucoup moins explicites que sur Facebook.

danah boyd : Ce qu’implique de vivre dans un monde de flux A la Web 2.0 Expo qui se tenait mi-novembre à New York, la sociologue danah boyd a, comme à son habitude, fait une brillante présentation sur les conséquences qu’il y a à vivre dans un monde de flux, notamment en commençant à en dresser la liste des limites. Explorons dans ses pas – partiellement, mais fidèlement -, son « Streams of Content, Limited Attention : The Flow of Information through Social Media » (Flux de contenus, attention limitée : le flot d’information dans les médias sociaux). Image : danah boyd sur scène à la Web 2.0 Expo à New York en novembre 2009, photographiée par James Duncan Davidson. Vivre dans des flux Nous vivons dans des flux, comme l’expliquait Nova Spivack, c’est-à-dire dans un monde où l’information est partout. « Cette métaphore est puissante », rappelle danah boyd. « L’idée suggère que vous viviez dans le courant : y ajoutant des choses, les consommant, les réorientant. » 4 fausses idées sur la révolution numérique 1. 2. 3. 4. Inattention ? Hubert Guillaud

Sophia Aram se paye Jean-Michel Aphatie A propos du traitement de l'affaire DSK, "j'ai compris que Jean-Michel Aphatie avait été gravement touché" a-t-elle expliqué ce matin sur France Inter. Ces deux-là ne s'aiment pas beaucoup. Et Sophia Aram l'a prouvé une nouvelle fois ce matin au micro de France Inter. Alors qu'elle consacrait sa chronique à l'affaire DSK en égrainant les erreurs faites par certains journalistes, observateurs et politiques, elle lance : « J'ai acquis la conviction qu'une trop forte exposition au flot d'informations sur l'affaire DSK peut rendre fou ». Puis elle enchaîne : « Lundi dernier, j'ai compris que l'épidémie se propageait dangereusement quand j'ai entendu Luc Ferry parler d'un ministre pratiquant le pédo tourisme à ses heures perdues. Non mais tu te rends compte, de la part du seul intellectuel de droite encore en activité propager une rumeur aussi dégueulasse sous prétexte de dénoncer les rumeurs, et tout ça entre la météo et le SAV d'Omar et Fred ? Tristane Banon Précédents

Il faut sauver Wikipedia Le nombre de contributeurs de Wikipedia diminue. Syndrome des experts que l'encyclopédie en ligne voulait éviter et faible adaptation aux nouvelles exigences du web expliquent en partie ce déclin, analyse Cédric Le Merrer. D’abord les chiffres : jusqu’à 90 000 en 2010, les contributeurs actifs n’étaient que 82 000 en juin dernier. Beaucoup sont persuadés que la chute du nombre de contributeurs n’est qu’un phénomène naturel : l’encyclopédie serait complète et surtout Wikipedia reflètant les centres d’intérêt de son contributeur moyen, “un geek masculin de 26 ans” selon son fondateur Jimmy Wales, l’encyclopédie manque fatalement de points de vue féminins et non occidentaux. Mais cette baisse somme toute assez limitée cache un phénomène plus alarmiste : Wikipedia ne correspond plus aux usages en vogue aujourd’hui sur le web, après avoir été pourtant le symbole le plus évident du web 2.0. Les nouveaux experts L’impossible personal branding des contributeurs

Google+ expliqué à ma copine Si vous aussi vous avez du mal à faire partager votre enthousiasme pour Google+, cet article est fait pour vous. - Chérie, au travail, j’en ai eu une ! - Une augmentation ? - Non, une invitation ! - A l’Opéra, au Hellfest, au Festival Rio Loco ? - Non, à Google+ ! - Le site pour faire des recherches ? - Oui, mais là c’est pour utiliser leur nouveau service. - Chouette, c’est pour une recherche plus performante ? - Non, c’est leur nouveau réseau social. - C’est-à-dire ? - Et bien, c’est le nouveau Facebook. - Ah. - Si… mais là, ça va marcher, c’est sûr. - Pourquoi tu en es si sûr ? - Premièrement, le nom. - Alors, déjà « Fun », ça ne se dit plus depuis les années 90. - Et bien, Google+, c’est le mélange parfait de Facebook et de Twitter. - Twitter, tu m’avais déjà expliqué, mais je ne me souviens plus à quoi ça sert. - Et bien, Twitter, c’est le service de micro-blogging… enfin, je veux dire de veille… enfin, de curation. - Mais ça sert à quoi ? - Ah oui, comme Rihanna par exemple ? - Heu… non.

Nova Spivack : Bienvenue dans le Flux Entrepreneur, (Radar Networks, Lucid Ventures), pionnier du web sémantique, Nova Spivack – à l’origine de twine.com – développe une vision stratégique des nouvelles technologies et des nouveaux médias. Il m’a autorisée – et je l’en remercie - à publier la traduction d’un billet qu’il vient de faire paraître, Bienvenue dans le flux, qui fait le point sur un phénomène que nous constatons tous, lié à l’apparition de nouvelles applications en temps réel et qu’il prend très au sérieux, considérant qu’il s’agit là d’un nouvel âge du web. Bienvenue dans le Flux : un nouvel âge pour le Web Par Nova Spivack, fondateur de twine.com Internet a commencé à évoluer plusieurs décennies avant l’apparition du Web. Et tout juste comme le Web a émergé à la pointe de l’internet, quelque chose de nouveau émerge à la pointe du Web : j’appelle cela le Flux. La meilleure illustration actuelle du Flux est l’avènement de Twitter, Facebook et d’autres outils de microblogging. Histoire du Web Définir le Flux 1. 2.

Scanblog : ECHO vague 2 Ce que le déclin des contributions sur Facebook nous dit de l’avenir de l’info Vous avez peut-être manqué la publication au mois d'août de l'étude GlobalWebIndex : un passionnant ensemble de chiffres et d'analyses qui recense les usages web et mobile dans le monde. Cette année, le rapport (dont vous pouvez consulter et télécharger une synthèse ici) annonce un déclin massif des contributions sur Facebook. Allant même jusqu'à oser émettre un doute sur l'avenir supposé glorieux du réseau social. Que disent les chiffres relevés par GlobalWebIndex auprès de plus de 100.000 utilisateurs dans le monde ? Q ue toutes les formes de contributions sur Facebook sont en baisse depuis 2009. L'étude note cependant que Facebook n'est pas en déclin. En France, par contre, les chiffres sont bien plus marqués: +34% chez les 16-24 ans , + 11% chez les 35-34 ans, +85% chez les 35-44 ans, +40% chez les 45-54, et +101% chez les plus âgés (55-64 ans) ! En résumé, ce qui ressort de cette étude : - Il y a moins de contenus générés par l'utilisateur qu'avant. Lesquels ?

Consommation collaborative: “garçons, un café!” Comment un Américain qui cherchait à pouvoir utiliser sa carte Starbucks sur ses deux téléphones a créé une API collaborative pour permettre aux gens de se payer des cafés les uns aux autres. Décryptage d'une expérience sociale. Il existe une tradition dans les cafés napolitains. Lorsque ceux-ci sont remplis de cols blancs en manque de caféine, prenant leur pause ou discutant affaires, il peut arriver qu’au lieu de faire l’appoint, le client transforme sa monnaie en caffe’ sospeso (littéralement, “café en suspens”). Il permet ainsi au malheureux qui n’a pas de liquide et de boire tout de même son café. Caffe’ sospeso americano Cette tradition a aujourd’hui traversé l’Atlantique, grâce à un individu et un peu de technologie. Épaté de pouvoir payer avec une simple image, il s’empresse de le raconter à ses lecteurs sur son blog, le 14 juillet au matin. La carte est vidée rapidement et il remet 50 dollars pour permettre aux habitants de la Côte Ouest d’essayer à leur tour. pure9

Creative Commons Code juridique Creative Commons n'est pas un cabinet d'avocats et ne fournit pas de services de conseil juridique. La distribution de la présente version de ce contrat ne crée aucune relation juridique entre les parties au contrat présenté ci-après et Creative Commons. Creative Commons fournit cette offre de contrat-type en l'état, à seule fin d'information. Contrat L'Oeuvre (telle que définie ci-dessous) est mise à disposition selon les termes du présent contrat appelé Contrat Public Creative Commons (dénommé ici « CPCC » ou « Contrat »). L'exercice sur l'Oeuvre de tout droit proposé par le présent contrat vaut acceptation de celui-ci. 1. « Oeuvre » : oeuvre de l'esprit protégeable par le droit de la propriété littéraire et artistique ou toute loi applicable et qui est mise à disposition selon les termes du présent Contrat 2. 3. Les droits mentionnés ci-dessus peuvent être exercés sur tous les supports, médias, procédés techniques et formats. 4. 5. 6. 7. 8.

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