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Quand une marque permet aux consommateurs de fixer ses prix

Quand une marque permet aux consommateurs de fixer ses prix
Et si c'était le consommateur qui décidait du prix et des conditions de production des produits qu'il achète? Partant de cette idée, une nouvelle marque, nommée "C'est qui le patron ?! La marque du consommateur", devrait faire son apparition dans hyper et supermarchés Carrefour (CA-22,40 € -0,40 %) dès la fin octobre. Le premier produit de cette nouvelle marque sera une brique de lait. "C'est (…) une première mondiale", déclare Nicolas Chabanne, président des Gueules Cassées, l'association anti-gaspillage alimentaire à l'origine de l'initiative, avec Laurent Pasquier de Mesgoûts.fr. >>> Vidéo. Cette fois, le partenariat a été établi avec la Laiterie de Saint-Denis pour la partie collecte et conditionnement, et avec Carrefour pour la distribution. Pour l'instant, la marque se cantonne au lait, mais ses fondateurs réfléchissent à l'étendre. >>> Vidéo. Related:  prix

Le "dynamic pricing" va-t-il devenir la norme ? Un site de fast fashion va tester l’adaptation des prix sur le modèle des compagnies aériennes Une étude menée fin 2013 a révélé qu’Amazon changeait en moyenne ses prix 2,5 millions de fois par jour ! Le géant du e-commerce s’ajuste ainsi en permanence pour proposer les tarifs les plus compétitifs possibles. Le détail de cette enquête est à retrouver ici. Difficile de connaître l’ampleur exacte de la pratique du « dynamic pricing » sur l’ensemble du secteur du e-commerce, mais de plus en plus d’acteurs s’interrogent et envisagent de l’adopter. Il y a quelques jours, le 21 septembre dernier, la PDG de Eloquii, un site de e-commerce spécialisé dans la mode grande taille, s’est ainsi demandée si le moment n’était pas venu d’appliquer à la fast fashion « les lois de l’offre et de la demande, comme l’ont déjà fait les industries du transport aérien et de l’hôtellerie ». Plus d’infos : Internet Retailer Le « surge pricing » a contribué au succès d’Uber mais fait aujourd’hui l’objet de critiques

Le prix pour les consommateurs Introduction Le contexte économique (crise, tension sur le pouvoir d’achat), les nouvelles possibilités offertes par les technologies de communication (internet et mobile) et les évolutions réglementaires de ces dernières années ont accru la compétition en matière de prix et conduit distributeurs et producteurs à s’engager dans une guerre des prix pour maintenir leurs volumes de ventes et leurs parts de marché. La communication sur les prix est devenue omniprésente qu’il s’agisse de mettre en avant des prix bas permanents ou des politiques promotionnelles. Parallèlement, facilitées par les progrès technologiques, les pratiques de prix différenciés selon les contextes d’achat et les niveaux de demande se sont développées. La perception des prix par les consommateurs est un phénomène complexe. I- Un contexte de tension sur le pouvoir d’achat et de compétition accrue L’évolution de la législation en matière de commerce sur la période favorise la concurrence par les prix. E. Bibliographie

Soldes: ce qui change Les prochains soldes d'été 2015 auront lieu du mercredi 24 juin au mardi 04 août (sauf départements frontaliers et territoires d'outre-mer). Voici les règles à respecter sous peine de sanctions pénales. Périodes de soldes Pour solder leur marchandise invendue en stock, les commerçants sont autorisés à pratiquer des ventes à prix réduits, deux fois par an, à date fixée par la règlementation (soldes d'hiver et soldes d'été). La loi du 18 juin relative à l'artisanat, au commerce et aux très petites entreprises (article 62) a modifié la modalité de mis en place des soldes depuis le 1er janvier 2015. Les deux périodes de soldes (hiver et été) durent désormais six semaines, au lieu de cinq jusqu'alors, et les dates sont fixées par décret. Les soldes d'été commencent le dernier mercredi du mois de juin à 8h du matin (ou l'avant-dernier si le dernier mercredi tombe après le 28). Le cas des promotions Quels produits peuvent être soldés Quelle garantie pour les articles soldés?

Le juste prix, une affaire de virgule Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Fixer le juste prix. La question est vieille comme le monde, ou du moins comme le commerce. Un coup d’œil aux rayons des magasins laisse songeur. Qui, en effet, peut croire que 39,90 euros est très différent de 40 euros ? À l’inverse, comment expliquer une étiquette à 40,20 euros ? Deux économistes de Singapour, Monica Wadhwa (Insead) et Kuangjie Zhang (Nanyang Technological University) ont publié un article dans le Journal of consumer research qui promet d’éclairer le commerçant, comme le consommateur. L’affirmation s’appuie sur une batterie d’études comportementales. Dans le second cas, le phénomène inverse a été observé, sans que les deux prix décalés puissent être sérieusement départagés. Usage familial contre utilisation scolaire Peut-être la nature même des deux produits cachait-elle d’autres motivations ? Et si le cerveau se trouvait occupé par autre chose, quel en serait l’effet ?

Brandalley : les internautes fixent eux-mêmes le prix des articles BrandAlley s'apprête à lancer une campagne qui pourrait bien faire parler d'elle. Le site de mode a en effet annoncé la mise en place d'une opération de 4 jours pendant laquelle ses clients auraient la possibilité de fixer eux-mêmes le prix des articles achetés sur la plateforme. Prêt-à-porter, accessoires, décoration... à partir du prix de vente initial, les internautes peuvent à leur gré, choisir de baisser les prix jusqu'à un euro, ou au contraire de les augmenter. L' offre, qui porte sur des milliers de d'articles, s'étend du 13 au 16 novembre prochain et se limite à deux articles par jour, et par internaute. Pour Cyril Andrino, PDG de Brandalley, "cette opération est une expérience à grande échelle visant à analyser les écarts entre la valeur réelle d'un article et sa valeur perçue par les consommateurs. BrandAlley a été racheté par le Groupe Andrino, maison-mère de la société Private Outlet, au cours de l'été 2014.

Le casse-tête du yield management, version SNCF Comment optimiser ses tarifs en fonction de la période, de l’horaire et de la demande sans basculer dans un système trop complexe pour le client ? La compagnie ferroviaire n’a pas totalement résolu l’équation. La prochaine fois que vous prendrez le TGV entre Paris et Marseille, tentez l’expérience. Si vous examinez du coin de l’œil les billets de vos voisins, vous observerez qu’ils portent tous un nom différent : Loisir, Pro Seconde, Prem’s, Prem’s Week-end ou iDTGV. Vous vous rendrez surtout compte qu’aucun passager, ou presque, n’a déboursé la même somme : l’un a payé 25 euros, l’autre 102,50 euros. Et si vous parcourez toute la rame, vous trouverez près d’une cinquantaine de tarifs. Un sujet qui fâcheLa SNCF, en revanche, s’y retrouve bigrement.

Promettre des prix bas ne garantit pas la fidélité des consommateurs Promettre les prix les plus bas ne suffit plus à attirer de nouveaux clients, et encore moins à les fidéliser. Les dispositifs marketing cross canal et SoLoMo constituent des leviers à actionner rapidement mais ils ne sauraient être efficaces sans une exploitation adroite des téraoctets de données clients aujourd'hui disponibles. Pendant plus de 40 ans, les entreprises ont joué sur les prix pour attirer et fidéliser les consommateurs. La situation économique laisserait à penser que garantir le prix le plus bas redevient le levier de fidélisation client le plus efficace. Trois facteurs conditionnent notamment l'acte d'achat. - La proximité géographique du point de vente par rapport au domicile ou au lieu de travail, sinon son accessibilité : un consommateur ne parcourra plus de nombreux kilomètres juste pour acheter moins cher - surtout si on prend en compte l'augmentation des prix de l'essence. Jean-Blaise Diebold est directeur marketing Europe du Sud de Pitney Bowes Software.

Trop de prix bas tue le prix bas ! Les distributeurs se trouvent mis au défi de toutes parts : par des consommateurs plus pragmatiques, dont le budget est plus serré, et par les enseignes qui intensifient leur discours "prix" et multiplient les publicités comparatives. Les grandes enseignes tentent donc plus que jamais de se distinguer, d'émerger en prouvant aux consommateurs un engagement toujours plus fort sur les prix bas. Les premiers mois de 2013 sont marqués par de nouveaux " affrontements " des enseignes à coups de nouvelles publicités comparatives et de nouveaux arguments marketing différenciant (Kantar Media analyse avec Retail AdSight les stratégies publicitaires des distributeurs généralistes aussi bien sur les médias traditionnels (TV, presse, radio, affichage) que digitaux (display, social, vidéos virales, évènementiel) afin d'apporter une vision globale des nouvelles stratégies publicitaires du secteur). Les exemples en campagnes Auchan élargit sa gamme de " produits à 1€ " aux rayons frais.

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