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La protection des logiciels par le droit d'auteur

La protection des logiciels par le droit d'auteur
Écrit par Margot STEPHAN Catégorie : Juridique Publication : 7 novembre 2014 Depuis la loi du 3 juillet 1985 relative aux droits d'auteur, la notion d’œuvre de l'esprit a été étendue aux logiciels. Si ces derniers répondent au critère de l'originalité, ils pourront être protégés par le droit d'auteur. Sur la tête de l'auteur vont ainsi naître des droits moraux et patrimoniaux, lesquels lui permettront de contrôler l'exploitation futur de son œuvre. En matière de logiciel dit « libre », Le droit est utilisé à contre-emploi, il autorise ce que le droit d'auteur entend d'habitude interdire. 1. Depuis la loi du 3 juillet 1985, la notion d’œuvre de l'esprit a été étendue aux logiciels. Définition de l'originalité d'un logiciel L'originalité n'étant pas définit par le code de la propriété intellectuelle, la jurisprudence par l'arrêt PACHOT (Cass. Preuve de l'originalité du logiciel 2. Les idées sont de libres parcours par Henri Desbois. 3. Principe : Tempérament : 4. 1. 2. 5. Exception :

A propos des licences Creative Commons is the nonprofit behind the open licenses and other legal tools that allow creators to share their work. Our legal tools are free to use. 4.0 International 3.0 Unported 3.0 Armenia 3.0 Australia 3.0 Austria 3.0 Azerbaijan 3.0 Brazil 3.0 Canada 3.0 Chile 3.0 China Mainland 3.0 Costa Rica 3.0 Croatia 3.0 Czech Republic 3.0 Ecuador 3.0 Egypt 3.0 Estonia 3.0 France 3.0 Georgia 3.0 Germany 3.0 Greece 3.0 Guatemala 3.0 Hong Kong 3.0 Intergovernmental Organization 3.0 Ireland 3.0 Italy 3.0 Luxembourg 3.0 Netherlands 3.0 New Zealand 3.0 Norway 3.0 Philippines 3.0 Poland 3.0 Portugal 3.0 Puerto Rico 3.0 Romania 3.0 Serbia 3.0 Singapore 3.0 South Africa 3.0 Spain 3.0 Switzerland 3.0 Taiwan 3.0 Thailand 3.0 Uganda 3.0 United States 3.0 Venezuela 3.0 Vietnam 2.5 Generic 2.5 Argentina 2.5 Australia 2.5 Brazil 2.5 Bulgaria 2.5 Canada 2.5 China Mainland 2.5 Colombia 2.5 Croatia 2.5 Denmark 2.5 Hungary 2.5 India 2.5 Israel 2.5 Italy 2.5 Macedonia 2.5 Malaysia 2.5 Malta 2.5 Mexico 2.5 Netherlands 2.5 Peru 2.5 Poland 2.5 Portugal 2.5 Slovenia 2.5 Spain

Licence de logiciel Principe[modifier | modifier le code] Une licence de logiciel est un contrat « par lequel le titulaire des droits du logiciel autorise un tiers à poser des gestes qui autrement les enfreindraient[1]. » Pour avoir le droit d'utiliser un logiciel, il faut que le titulaire des droits l'autorise. La licence est le document dans lequel il énumère les droits qu'il accorde au licencié (installer le logiciel, l'utiliser, faire une copie de sauvegarde). Utiliser sans licence un logiciel dont on n'est pas l'auteur revient à violer le droit d'auteur. Souvent, le titulaire des droits ne se contente pas de concéder la licence, il ajoute également des exigences comme l'interdiction d'utiliser le logiciel à plusieurs, d'étudier le logiciel, de publier des mesures de ses performances, etc. Le principe de la licence d'utilisation est fondé sur une approche théorique classique du droit du logiciel qui repose sur le paradigme de l'immatérialité et de la conception monolithique de la chose logicielle.

Article juridique : La protection des logiciels et des bases de données Nichée au carrefour du droit et de l'informatique, la propriété intellectuelle des logiciels et des bases de données est source de nombreux litiges. Sans vouloir trop approfondir une matière souvent, pour ne pas dire toujours complexe, je vous propose ici d'appréhender, fusse en surface, la protection des logiciels et des bases de données en France et à l'international. II-A. Qu'est ce qui est protégé ? Le logiciel est constitué de l'ensemble des programmes, des procédés et des règles, et éventuellement de la documentation, relatifs au fonctionnement d'un ensemble de données. Bon à savoir ! Exceptionnellement, le logiciel peut être protégé par le droit des brevets : Si une invention brevetée comprend un logiciel, alors ce logiciel est indirectement protégé par le brevet. II-B. La protection s'acquiert dès la création du logiciel sans aucune formalité. II-C. Le logiciel est protégé pendant 70 ans à compter de sa publication. II-D. II-E. En la matière, il existe deux types de pratiques.

Qu'est-ce que le copyleft ? [Traduit de l'anglais] Le copyleft est une méthode générale pour rendre libre un programme (ou toute autre œuvre) et obliger toutes les versions modifiées ou étendues de ce programme à être libres également. La manière la plus simple de faire d'un programme un logiciel libre est de le mettre dans le domaine public, sans copyright.1 Cela autorise les gens à le partager si le cœur leur en dit, avec leurs améliorations éventuelles. Mais cela autorise aussi des personnes indélicates à en faire un logiciel privateur.2 Elles peuvent très bien y effectuer des changements, nombreux ou non, et distribuer le résultat en tant que logiciel privateur. Ceux qui recevront le programme dans sa forme modifiée n'auront pas la liberté que l'auteur original leur avait donnée ; l'intermédiaire l'aura fait disparaître. Notre but, au projet GNU, est de donner à tous les utilisateurs la liberté de redistribuer et de modifier les logiciels GNU. Le copyleft est un moyen de se servir du copyright du programme.

Loi El Khomri (loi travail) - Ce qui va changer La loi El Khomri (ou Loi Travail) a été publiée au Journal officiel du 9 août 2016. Voici les principaux changements instaurés par ce texte qui modifie en profondeur la législation du travail. Dans l’ensemble, le texte assouplit de nombreuses règles du Code du travail en privilégiant le recours à la négociation collective, notamment en matière de temps de travail. Mais cette réforme du travail prévoit également des dispositions concernant le licenciement économique, les heures supplémentaires ou les visites médicales au travail. Entrée en vigueur La loi El Khomri a d'abord été présentée au Conseil des ministres du 24 mars 2016. Après sa présentation à l'Assemblée nationale le 3 mai, le Premier ministre Manuel Valls a utilisé la procédure de l'article 49-3 de la Constitution qui a permis de faire adopter le projet de loi par l'Assemblée nationale en 1ère lecture sans vote des députés. Le projet de loi El Khomri a ensuite été voté par le Sénat (dans une version très remaniée) le 28 juin.

LA PROTECTION DU LOGICIEL PAR LE DROIT D’AUTEUR Le logiciel occupe aujourd’hui une place importante de l’économie numérique, en effet, celui-ci est embarqué dans de nombreuses machines, il est devenu indispensable. C’est pourquoi il est apparu nécessaire de savoir quelle protection était accordée au logiciel, or la réponse à cette question n’était pas évidente, puisque l'on pouvait hésiter entre une protection accordée via le droit des brevets, le droit d’auteur, ou encore crée un régime propre au logiciel. C’est finalement la protection par le droit d’auteur qui a été choisie. Il convient d’abord de définir ce qu’est un logiciel. On sait, par ailleurs, que le droit d’auteur recoupe l’ensemble des droits moraux et patrimoniaux dont dispose l’auteur d’une « œuvre de l’esprit » (de sa création, somme toute) sur celle-ci. Le logiciel est protégé en France par le droit d’auteur. Toutefois le choix de la protection par le droit d’auteur n’a pas toujours été évident. Les Etats-Unis ont été les premiers à choisir la voie du copyright.

Gérer les droits de propriété intellectuelle sur le logiciel 1) La protection du logiciel par le droit d'auteur : principes Le principe retenu par les législateurs français et européen est celui de la protection des logiciels par le droit d'auteur. Pour que le logiciel soit protégé par le droit d'auteur, il doit être original.Un logiciel est original si son auteur a fait preuve d'un effort personnalisé allant au-delà de la simple mise en œuvre d'une logique automatique et contraignante. Les logiciels sont soumis aux règles de droit commun du droit d'auteur, à l'exception des dispositions particulières suivantes : logiciels créés par des salariés (L 113-9 du CPI, Code de la propriété intellectuelle) ; droit moral (L 121-7 du CPI) ; droits d'exploitations conférés à l'auteur (L 122-6 du CPI) ; droits de l'utilisateur légitime (L 122-6-1 du CPI) ; possibilité de rémunération forfaitaire et non proportionnelle en matière de cession de droits sur des logiciels (L 131-4 du CPI) ; saisie-contrefaçon (L 332-4 du CPI). La protection ne s'applique pas : « I.

Le fisc français réclame 600 millions d'euros à Microsoft Tout comme Google et l'ensemble des GAFA, Microsoft profite depuis des années d'un montage fiscal lui permettant d'échapper à la majorité de son imposition en France. Au point que le Fisc réclame désormais plus de 600 millions d'euros. La situation est strictement identique à celle de Google et concerne les revenus générés par la publicité. Microsoft France ne se présente ainsi qu'en tant qu'agent commercial dans l'achat de bandeaux publicitaires sur Internet, ne servant que d'intermédiaire pour Microsoft Ireland Operation. Si Microsoft est bien implantée en France, la firme n'a payé que 32,2 millions d'euros d'impôt sur les sociétés en 2016. Microsoft France ne servant que d'intermédiaire n'est pas le créateur de valeur et n'encaisse pas directement les revenus liés à la publicité qui sont redirigés vers la maison mère en Irlande, pays d'Europe proposant des avantages fiscaux réputés.

DAJ : Logiciels : L'exploitation des logiciels : les licences L'exploitation des logiciels : les licences Le choix de la licence Le titulaire des droits patrimoniaux d'un logiciel a la possibilité d'en concéder l'exercice à un tiers. Dans cette hypothèse il va définir par le biais d'un document contractuel dénommé "licence", l'étendue des droits qu'il concède au licencié. Cette licence peut ainsi aller de la simple concession du droit d'usage du logiciel sur un seul ordinateur et pour une durée limitée à des fins d'évaluation, à une licence très large permettant à celui qui en bénéficie de reproduire le logiciel et de le distribuer librement dans le commerce. Une catégorie particulière : la licence de logiciel libre On désigne comme "libre" un logiciel disponible sous forme de code source (différent de code exécutable) c'est à dire un logiciel dont l'architecture interne est partagée et diffusée librement. Le logiciel libre (différent du logiciel propriétaire) ne doit donc pas être confondu avec : Pour en savoir plus

Quelle protection pour les logiciels informatiques? Droit d'auteur contrefaçon programme informatique Quelle protection pour les logiciels ? Tant sur le plan français que sur le plan européen, les logiciels ou encore programmes d'ordinateur bénéficient d'une double protection : le droit d'auteur pour le programme "en tant que tel". Le droit des brevets exclue la brevetabilité des programmes "en tant que tel", mais pas les inventions dans le domaine de l'informatique, comportant des innovations techniques nouvelles et inventives. Consultez un Conseil en PI Piratage de Yahoo : un juge déclare que les victimes peuvent porter plainte contre Yahoo devant la justice et encourage celles-ci à le faire En dépit du fait que la vente des services de messagerie et des propriétés immobilières de Yahoo ait été bouclée avec Verizon, la saga liée au piratage des comptes d’utilisateurs Yahoo continue de faire couler de l’encre. Pour rafraîchir la mémoire, nous rappelons que l’entreprise a connu trois piratages massifs entre 2013 et 2016. En 2014, Yahoo a été victime d’un piratage touchant plus de 500 millions de comptes d’utilisateurs. Alors que de nombreux utilisateurs accusaient l’entreprise d’avoir tardé à mener une enquête sérieuse sur la base des bribes d’informations qu’elle détenait afin d’avertir le plus tôt possible les utilisateurs, un second scandale encore plus important a vu le jour après ce premier piratage rapporté en septembre 2016. Cette fois, la firme a réalisé au cours du mois de décembre 2016 que plus d’un milliard de comptes utilisateurs avaient été piratés en 2013. Le juge attend donc les plaintes des victimes. Source : Reuters Et vous ? Voir aussi

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