background preloader

Apprendre, c'est naturel

Faire entrer l'École dans l'ère du numérique L'essentiel Notre monde connaît aujourd’hui avec le numérique une rupture technologique aussi importante que le fut,au 15e siècle, l’invention de l’imprimerie. La transformation radicale des modes de production et de diffusion des connaissances et des rapports sociaux emporte, partout et pour tous, de nouvelles façons de vivre, de raisonner, de communiquer, de travailler, et, pour l’École de la République, de nouveaux défis. Faire entrer l’École dans l’ère du numérique : un impératif pédagogique et un projet de société Le numérique au service des missions de l’École Le numérique peut aider l’École dans l’accomplissement de ses missions fondamentales : instruire, éduquer, émanciper et former les enfants d’aujourd’hui pour qu’ils deviennent les citoyens épanouis et responsables de demain.Le numérique contribue en effet à améliorer l’efficacité des enseignements. Éduquer au numérique : une nouvelle mission pour l’École Le soutien à la création d’une filière dédiée au numérique éducatif

Viens jouer dehors! Lundi, 05 Novembre 2012 08:30 Journal FORUM Les jeunes ont besoin d'activités extérieures et intérieures, physiques et sédentaires pour se développer harmonieusement, selon Mme Ferland. «Ne pas jouer à l'extérieur prive non seulement l'enfant d'un moyen naturel de se développer harmonieusement, mais aussi de se dépenser physiquement, de stimuler son appétit, son sommeil et sa concentration.» Telle est l'opinion de l'ergothérapeute Francine Ferland, dont le dernier livre aborde la problématique de la sédentarité chez les jeunes. La sympathique professeure émérite qui a travaillé à l'Université de Montréal pendant 32 ans s'empresse d'ajouter que «prêcher par l'exemple est la voie privilégiée pour que nos enfants aient du plaisir à sortir à l'extérieur». Viens jouer dehors! Les écrans sont-ils les seuls responsables? Nombreuses craintes chez les parents Un chapitre entier porte d'ailleurs sur l'aspect sécuritaire des activités extérieures. Dominique Nancy Francine Ferland, Viens jouer dehors!

Communication orale - La méthode Gordon Mise au point par le docteur Thomas Gordon, aux Etats-Unis, dans les années 1950, cette approche se retrouve dans la démarche de la Communication dite non-violente (C.N.V.), et peut faire référence aux besoins de MASLOW. Résumé du concept : La méthode est basée sur un postulat simple : celui de la « satisfaction mutuelle des besoins ». En effet, si j’ai un problème que je ne peux pas exprimer, ou si l’autre à un problème non-exprimé, ou que je ne l’écoute pas, nous ne pourrons pas avoir une vraie communication. Le principe va donc être : De provoquer la confrontation des besoins. Outils de la méthode : 1/ Le « message-Je » Il s’agit de s’attribuer les choses et de ne plus faire porter à l’autre la seule responsabilité d’un problème. Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser le « message-Tu » ou le « message-Vous ». Le message efficace est celui qui dit « Je », et qui décrit à l’autre notre ressenti. 2/ L’écoute active : Il s’agit d’accepter l’autre et de le reconnaître dans son intégralité.

Créativité : et si on apprenait différemment aux enfants ? Ce week-end j’ai regardé à nouveau la vidéo TED de Ken Robinson (vidéo que vous trouverez en fin d’article). Dans celle-ci l’auteur, conseiller en éducation, créativité et innovation parle de la façon dont le système éducatif détruit progressivement la créativité des enfants. C’est un fait, les méthodes d’apprentissage ont leurs défauts et sont loin de convenir à tous les enfants. On peut blâmer une certaine inertie du système, peu enclin à révolutionner ses modes d’apprentissage. Cet article n’a pas pour ambition de dire que les instituteurs font mal leur travail, de critiquer bêtement le système ou même de proposer de solutions miracles… Non, il s’agit là de pistes à explorer pour favoriser (et valoriser !) Car la créativité est l’une des plus précieuses ressources de l’être humain. Elle est aussi un concept subjectif, une qualité souvent qualifiée d’innée et associée à des domaines scolaires « légers » type musique ou arts plastiques. L’apprentissage par cœur étouffe la créativité

La Nouvelle-Zélande révolutionne son système d’éducation Sébastien Wart, publié le 26 novembre 2013 On entend souvent parler de la Finlande quand il est question de nouvelle pédagogie, mais saviez-vous que la Nouvelle-Zélande a aussi complètement transformé son système éducatif? Portrait de cette île sur l’échiquier éducatif mondial. (Première de 3 parties) Un enseignant du nom de Richard Wells est venu présenter le système éducatif de son pays au iPad Summit de Boston, qui se déroulait du 13 au 15 novembre derniers. La Nouvelle-Zélande est un petit pays d’un peu plus de 4 millions d’habitants (soit environ la moitié de celle du Québec). Selon le Global Teacher Status Index, la Nouvelle-Zélande se classe au 5e rang en ce qui concerne le statut social des enseignants. Les résultats de 2009 du programme PISA de l’OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) classe les élèves de la Nouvelle-Zélande en 7e position pour leurs résultats académiques globaux. Un mini dossier en 3 parties :1. À propos de l'auteur Sébastien Wart

Des ateliers individuels de manipulation type Montessori - Mis à jour le 30 avril 2013: AJOUT D'UNE NOUVELLE VIDEO A NE PAS RATER!!!! Toujours en éternelle recherche, remise en question et tout le toutim, je me suis penchée sur les ateliers de manipulation autonomes que j'avais rencontrés il y a quelques mois déjà sans jamais avoir osé franchir le pas. C'est en regardant une bonne dizaine de fois les vidéos sur le portail webTV versailles... Que j'ai décidé de franchir le pas avant les vacances de Noël! Voici une petite vidéo américaine totalement Montessori ainsi qu'une autre française cette fois ci (merci à Liliecoo pour avoir déniché ces liens!) Oh et puis une petite dernière pour la route : A REGARDER ABSOLUMENT!!! J'avais dans les placards de la classe bon nombre de jeux de formes manipulables par un seul enfant. Je vous montre les deux meubles dans lesquels je stocke les jeux et vers lesquels les enfants vont seuls chercher leur atelier... Chaque atelier a sa place matérialisée par une étiquette. Quand utilisent-ils ces ateliers?

Classe inversée en science : autonomie et évaluation novatrice La classe inversée vise à inverser l’approche plus traditionnelle de l’enseignement. L’approche pédagogique de la classe inversée permet aux élèves de découvrir la théorie à leur propre rythme à la maison et de réserver le temps de classe à des activités d’intégration de la matière, où l’enseignant devient plus libre de guider et d’interagir directement avec les jeunes lorsqu’ils en ont besoin dans leur apprentissage. En bref, la théorie est vue à la maison et les travaux appliqués se font en classe. Marie-Élaine Jobin considère que la classe inversée s’applique bien au contenu du cours de chimie. Les défis Un des premiers défis constaté par Mme Jobin concernant la classe inversée est que les élèves ont, au départ, beaucoup de difficulté à bien gérer leur temps. Ses conseils Aux enseignants qui voudraient essayer la classe inversée, Mme Jobin suggère de préparer de courtes vidéos expliquant la théorie (3 minutes environ). Voyez ici un exemple de capsule vidéo produite par Mme Jobin.

Réinventer l'école en développant des travaux vieux d'un siècle Professeure des écoles et linguiste de formation, Céline Alvarez a développé les travaux visionnaires de Maria Montessori, en les mettant au goût du jour avec les dernières découvertes des sciences cognitives et de la linguistique française. Résultat : les enfants apprennent mieux et plus vite. Le petit garçon semble captivé. Théophile vient d’avoir 4 ans et commence à lire. En 2011, à 31 ans, elle s’est promis de faire bouger l’école de l’intérieur : impossible de se résigner à ce que 40 % des élèves sortent de CM2 avec de graves lacunes ! Elle se fait aussi fort de montrer qu’avec d’autres méthodes – scientifiques et déjà éprouvées – on peut changer la donne. Céline Alvarez obtient ce qu’elle demande : une classe d’enfants de 3 à 6 ans en zone d’éducation prioritaire, à Gennevilliers (Hauts-de- Seine). Les zones de mémorisation du cerveau s’activent grâce aux gestes effectués. « Pour apprendre, l’être humain doit être attentif, engagé. Résultats ? Céline Lison À lire également :

Écrans et enfants : quelques éléments de réflexion Votre magazine favori du numérique des enfants ;) était présent à la journée de présentation de l’avis rendu par l’Académie des sciences mardi 22 janvier sur les enfants et les écrans. Les conférences qui se sont égrenées toute au long de la journée, passionnantes, ont permis aux différents experts et scientifiques présents de préciser et de contextualiser leur point de vue, ce qui est toujours intéressant. Hubert Guillaud en fait d’ailleurs le compte-rendu exhaustif et passionnant sur Internet Actu. Par la suite, l’avis de l’académie a largement été relayé dans la presse ces derniers jours, et notamment à la radio, avec l’émission La Tête au Carré de mercredi (que nous vous invitons à écouter), ou encore sur Le Monde, avec un très intéressant chat organisé entre Serge Tisseron et les lecteurs du Monde. I. Tremper dans un océan de livres n’a jamais fait de personne un lecteur, naître au siècle de l’automobile n’a dispensé personne de leçons de conduite Il n’y a pas de digital natives. II.

Réussir à l'école, ça commence à la maison Quelle est l’influence de l’éducation familiale sur les premiers apprentissages à l’école maternelle ? Pour répondre à cette question, deux chercheurs ont mené une étude empirique qui porte sur 300 parents et leurs enfants scolarisés en dernière année de maternelle. Les apprentissages premiers des enfants (numérative, littéracie et apprentissages transversaux) ont été évalués et des questionnaires adressés aux parents ont permis de recueillir des informations concernant leurs aspirations, valeurs et pratiques éducatives. Les analyses montrent d’abord que ce sont les milieux sociaux les plus aisés qui adoptent les pratiques les plus en phase avec les exigences scolaires, ce qui explique – en partie – la meilleure réussite de leurs enfants. Ces résultats pourraient sans doute utilement contribuer, à la façon des « parenting program », à la conception et la mise en œuvre d’actions d’accompagnement, notamment auprès des parents dont le statut socioéconomique est le plus fragile.

Stimuler le langage dans le plaisir et la simplicité | Un mot à la fois Qui dit « nouvelle année » dit aussi, souvent, « résolutions ». Celles-ci traduisent le désir louable de s’améliorer. Les résolutions des parents se résument fréquemment à faire plus ou mieux pour leurs enfants. Ainsi, si le plus vieux n’est pas très « moteur », on pense à l’inscrire à un cours d’activités sportives; si le plus jeune n’est pas très « jasant », on se dit qu’il faudrait le « pratiquer » à parler plus. Malheureusement, à vouloir « trop » bien faire, on finit parfois par perdre de vue le simple plaisir d’interagir. Selon moi, ce plaisir est souvent la base d’une stimulation réussie. Quatre ingrédients gagnants Il est largement reconnu que les parents jouent un rôle majeur dans le développement du langage de leur enfant (ce qui ne signifie pas, toutefois, que la stimulation des parents est en cause lorsqu’un enfant présente des difficultés langagières, car chaque tout-petit présente ses forces et ses défis). 1. 2. 3. 4.

5 clés pour donner confiance à son enfant Peur du noir, stress, crises de colère… Les parents sont à même d’aider leurs enfants à dépasser ces zones de turbulence émotionnelle sans le secours de professionnels. C’est la conviction de la psychologue Lise Bartoli, qui, dans L’Art d’apaiser son enfant, propose des outils simples et ludiques. Anne Lanchon Sommaire Les pères et mères d’aujourd’hui n’ont plus confiance dans leur savoir-faire parental, déplore la psychologue et hypnothérapeute Lise Bartoli. Par manque de temps, peur de mal dire ou mal faire, ils se précipitent chez le psy à la moindre difficulté et transmettent leur anxiété à leur enfant, qui ne peut pas, de ce fait, aller mieux. » Pourtant, selon la thérapeute, ils sont les mieux placés pour décoder ses petites perturbations – colères, baisse d’appétit, troubles du sommeil… – et l’encourager à les dépasser. Faire appel à sa «partie-qui-sait-tout» L’inconscient, expliquait le psychiatre américain Milton H. * Milton H. Le guider vers son «monde magique»

Le développement du langage chez l'enfant de 1 an à 3 ans Les habiletés de communication des enfants commencent à apparaître dès le début de leur vie. Durant les 12 premiers mois, les bébés apprennent à communiquer et découvrent les sons de leur langue. Ils « s’entraînent » à les utiliser en babillant. Comment l’aider à progresser? Voici quelques conseils et activités visant à favoriser le développement des habiletés langagières de votre enfant de 1 an à 3 ans. De 12 à 18 mois Les enfants de 12 à 18 mois utilisent des mots simples pour indiquer les choses qu’ils voient et pour exprimer ce qu’ils veulent (par exemple, « encore »). À cet âge, les jeunes enfants aiment souvent regarder des livres, particulièrement ceux qui présentent des illustrations très colorées. Lorsqu’on leur lit une histoire, ils peuvent participer en montrant les images qui correspondent aux mots nommés ou en les nommant eux-mêmes. Ce que vous pouvez faire De 18 à 24 mois Mettez-vous à son niveau À cette étape, le vocabulaire de l’enfant augmente souvent rapidement. De 2 à 3 ans

L'enfant qui s'ennuie « Je ne sais pas quoi faire! » Plusieurs enfants s’ennuient quand ils n’ont pas d’autres enfants ou des adultes avec qui jouer. C’est normal. Quand vous étiez enfant, vous avez sûrement le souvenir de certains jours de pluie où vous trouviez le temps bien long, ou de visites en famille qui se résumaient à de longs dialogues entre adultes. Ce qui a changé, c’est la façon dont les adultes perçoivent cet ennui et y réagissent, ainsi que l’incapacité de certains enfants à le gérer. Beaucoup d’enfants, même très jeunes, ont un agenda chargé. En service de garde, les enfants ont de nombreux partenaires de jeu. Apprendre à son enfant à jouer seul Certains enfants n’ont pas appris à jouer seuls. Commencer une activité avec eux, les aider au début, puis vous éloigner. Et si l’ennui était formateur... Plusieurs chercheurs considèrent l’ennui chez l’enfant comme un tremplin vers la créativité. L’ennui amène aussi l’enfant à appréhender la réalité différemment. Encourager l’initiative

Related: