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Telecomix : « hacker pour la liberté »

Telecomix : « hacker pour la liberté »
Telecomix n'a pas de leader, ni de hiérarchie. Ce n'est pas une organisation, mais une "désorganisation" bien réelle qui lutte contre la censure du Net, dans les rues du Caire, de Tunis et d'ailleurs. 28 janvier 2011. L’État égyptien coupe Internet. Ils ont appelé ça le “Vendredi de l’Obstination”. Anas al-Fiqqi a été déclaré innocent. Al-Fiqqi, ancien ministre de l’information, a été acquitté, le 5 juillet, après avoir été accusé de détournement d’argent public pour financer les campagnes électorales du Parti national démocratique, la formation de Moubarak dissoute au mois d’avril. Au-delà de la simple dénonciation de ces jugements, la manifestation avait pour objet principal de réclamer une poursuite judiciaire publique à l’encontre de Hosni Moubarak et d’offrir justice aux familles des “martyrs de la révolution”. Durant cinq jours, les 20 millions d’utilisateurs du Net (sur 80 millions d’habitants) et les 55 millions de détenteurs de portables ont été privés de communication [en].

Kazakhstan Disables the Internet posted on 2011.12.17 by BSOD Kazakhstan's president on Saturday imposed a three-week state of emergency in an oil town where 10 people were killed in a clash between police and demonstrators. The city of Zhanaozen has had their internet and local cellphone towers disabled. They claim that they have gained control of the people by imposing a curfew. According to the associated press , internet users are unable to open several independent news sites from Zhanaozen since the disturbance began. The blame on all these disturbances seems to be aimed at a bunch of oil workers who had participated in a month long sit down strike , asking for higher wages. As of now, hactivist group telecomix has stepped in to help restore the internet to the town of Zhanaozen. «« Comments+ »»

Le "Wilhelm scream" : ce "Arrgh !" dont le cinéma raffole C’est un hurlement bizarre – d’agonie, de douleur ou de surprise –, c’est selon. Depuis les années 50, le « Wilhelm scream » ou « cri Wilhelm » est devenu la blague préférée des monteurs son et des réalisateurs américains. Il se cache dans des centaines de films, d’« Inglourious Basterds » à « Batman returns », en passant par « Harry Potter », « Transformers » ou « Le Seigneur des anneaux ». Sur le Web, les compilations de Wilhelm screams sont légion. L’original : un soldat croqué par un alligator L’apparition du Wilhelm scream remonte à un vieux western de Raoul Walsh, « Les Aventures du capitaine Wyatt », sorti en 1952. A l’époque, les voix et effets sonores sont enregistrés après le tournage et c’est probablement Sheb Wooley qui réalisa lui-même les quatre ou cinq prises nécessaires au doublage de son personnage. La « private joke » préférée des monteurs son Tout aurait pu s’arrêter là. Ben Burtt consigne le cri sous le nom « Pvt. Là où commence la légende...

Le Mythe de la révolution 2.0 Les révolutions en Tunisie, en Syrie, et en Egypte ont attiré l’œil des médias, comme des « révolutions 2.0 », en référence au « web 2.0 » ; c’est-à-dire comme une révolution par l’outil numérique, et des réseaux sociaux. Les premiers signes d’accompagnement d’un soulèvement populaire par les réseaux sociaux sont apparus lors du soulèvement en Iran, en 2009. Les fondateurs de Twitter avaient eux même été surpris de ce détournement de l’usage de Twitter en vue d’informer sur la situation du pays. Une censure des médias, pour quoi faire ? Maîtriser l’information semble capitale pour les dictatures. La propagande d’Etat ou l’information révolutionnaire inefficace. Harold Lasswell, politologue, et spécialiste de la communication de masse, a travaillé sur l’impact et l’utilisation des techniques gouvernementales. [ Propaganda Techniques in the world war, 1927 ]. L’idée reçue selon laquelle, par exemple, le nazisme a pu influencer les plus faibles socialement, par la propagande est à revoir.

Korben - Site d'actualité geek et tech Anonymous contre-attaque : l'OTAN piratée - LePost.fr (14:04) Nous sommes anonymes. Nous sommes légion. Nous ne pardonnons pas. Nous n'oublions pas. "Cher FBI : vous ne pouvez pas arrêter une idée. Plus vous ferez d'arrestations, plus on rugira. Anonymous provoque le FBI. Anonymous, ces hacktivistes qui s'étaient notamment illustrés en défendant Wikileaks. Un gigaoctet de données dérobés Deux heures plus tard, la menace est mise à exécution. Le groupe de pirate informatique affirme avoir récupéré un gigaoctet de données en tout. Deux documents seulement sont proposés aux internautes. Document confidentiel de l'OTAN sur la situation dans les Balkans et au Kosovo. Alors l'OTAN, vous appréciez la guerre ? Un deuxième document, non confidentiel celui là, détaille les procédures de sécurité internes de l'OTAN. Une faille de sécurité déconcertante Une faille de sécurité grossière qui amène quelques interrogations : combien d'autres personnes ont pu avoir accès à ces informations ? Cyberwar Oeil pour oeil, dent pour dent Cette "guerre" est loin d'être terminée.

Telecomix: tech support for the Arab spring | Technology Electronic mischief-making has come into its own this year. Between WikiLeaks, Anonymous and more recently LulzSec, hacking cults are becoming high-profile irritants. But Peter Fein, the human face of Telecomix and currently spreading the word about their work, doesn't seem too bothered by his "hacker" label when I meet him at Sheffield Doc Fest, where he was invited to sit on a panel called the Revolution will be Tweeted. "We're kind of like an inverse Anonymous," Fein said. "I guess you could say it's guerrilla informational warfare. If you're a Facebook or Twitter user you may recognise Tweets and status updates, such as these currently aimed at people in Syria with censured and monitored web access: "ATTENTION PEOPLE OF #SYRIA — Let the world know! That was Telecomix. Fein directs me towards the Telecomix IRC channel, where I ask about what projects everyone has been involved in. The origins of Telecomix are unclear, like most of online history. Fein became involved late last year.

Anonymous : derrière le masque, des hackers révolutionnaires Ils n’ont que trois ans et ils font peur aux plus grandes puissances, des Etats-Unis à l’Iran en passant par le Royaume-Uni, mais aussi aux firmes multinationales. Qui sont les hackers de « Anonymous », ces pirates informatiques experts dans l’art de mettre hors-service un site web ? Au fil des cyber-attaques, ce mouvement aux contours flous, énième progéniture de la culture web, entend bien faire passer un message : la défense de la liberté d’expression par tous les moyens, même illégaux. En défendant les fuites de documents confidentiels de WikiLeaks, ou en s’en prenant tant aux gouvernements tunisien et égyptien pendant les révolutions dans ces pays qu’à Hadopi en France, les « Anons » s’imposent dans le débat public. Les « plus beaux coups » des Anonymous ► La scientologie ► Wikileaks (opération Riposte) Mais c’est en soutenant WikiLeaks que les Anonymous sont vraiment devenus des poils-à-gratter du Web de premier rang. ► Le printemps arabe Les Anonymous s’intéressent-ils à la France ?

Logiciel espion de l’Etat allemand piraté Le Chaos Computer Club (CCC) a indiqué avoir analysé un logiciel espion développé par les services de police allemands qui lui a été soumis par des sources anonymes. Ce logiciel malveillant s’apparente à un cheval de Troie, permettant à la fois de télécharger des données stockées dans un ordinateur, mais également de le commander à distance, et d’activer l’exécution de programmes à l’insu du propriétaire de l’ordinateur infecté. Le CCC déplore des failles béantes dans le design et la mie en place de cet outil, qui le rendent accessible à n’importe qui via internet. Il faut savoir que depuis 2008, la loi Allemande impose des limites strictes aux outils de surveillance utilisés. Selon le tribunal constitutionnel allemand, seules des écoutes de conversations téléphoniques via le web peuvent être autorisées. Les autorités allemandes n’ont pas encore réagi.

Une Bonne Constitution qui montrerait la bonne santé de notre démocratie Les grands principes d’une bonne Constitution, qui prouveraient la guérison de notre démocratie Le référendum sur le Traité établissant une Constitution pour l'Europe (TCE) et le débat qu'il a suscité ont servi de révélateur pour un grand nombre de citoyens qui ne s'occupaient pas de politique jusque-là : révélateur d'une faiblesse inquiétante de la démocratie dans laquelle nous vivons. En Europe, mais aussi en France, aucun organe important n'est soumis à un contrôle efficace et on vérifie tous les jours que les élections ne sont pas du tout un contre-pouvoir satisfaisant. À l’occasion de cette réflexion institutionnelle sur l’Europe, il est apparu que nos représentants se sont progressivement, depuis longtemps, affranchis de tout contrôle sérieux. De fait, la souveraineté du peuple a été dévoyée par la souveraineté des élus, qui constitue donc une aristocratie[1], au mauvais sens du terme (celui de voleurs de pouvoir). Utopie ? II - Séparation des pouvoirs III - Contrôle des pouvoirs

BlueCoat : La technologie américaine surveille les internautes syriens La technologie a joué un rôle clé dans le contexte de la répression au Moyen Orient et en Afrique du Nord en offrant aux régimes autoritaires les outils nécessaires pour surveiller les internautes en ligne. Parmi les entreprises de technologie, BlueCoat a été la plus en pointe pour aider le régime syrien à contrôler chaque mouvement des Syriens sur Internet. Chaque clic des internautes syriens est contrôlé Le 5 octobre, le collectif Telecomix a dévoilé 54 gigabits de journaux de connexions à des sites censurés pris sur des équipements de BlueCoat en Syrie, couvrant la période du 22 juillet au 5 aout 2011. Bluecoat, entreprise américaine conçoit et vend aux entreprises des proxies, des caches Web, des outils de protection contre les virus et de filtrage de contenus en ligne. Les fichiers de log publiés par Telecomix prouvent que l'Établissement syrien des télécommunications a utilisé des produits Bluecoat pour filtrer et surveiller les connexions en Http à Internet dans le pays.

Culture Visuelle | Média social d'enseignement et de recherche L’Afrique, berceau de la bidouille Traversée par la tradition de la bidouille, l'Afrique manquait jusqu'ici de lieux où développer cet esprit. Mais le succès du Maker Faire Africa augure de la création d'une ambitieuse communauté de partage entre makers et hackers du continent. [Tous les liens de cet article sont en anglais, sauf mention] Même pas une dizaine : les hackerspaces, lieux de rencontre pour les hackers, ces gens qui font usage créatif des technologies, sont quasiment absents de l’Afrique. Une situation qui devrait vite évoluer, à en juger par le succès du dernier Maker Faire Africa, qui, sur le modèle de ses cousins occidentaux, a rassemblé la semaine dernière des centaines de makers (« faiseurs », adeptes du Do It Yourself ou DIY, « fais-le toi-même », communauté proche des hackers) de tout le continent au Caire, en Égypte. « Il y a eu un énorme enthousiasme, explique Emeka Okafor, un des organisateurs. Des hackers qui s’ignorent Plusieurs facteurs expliquent une présence pour l’instant timide. Hackerspaces

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