Pourquoi on peut aller voir des films d'animation quand on est un adulte Par Boris Jullien Mis à jour le , publié le Présenté à Cannes en mai, Vice-Versa, la dernière production des studios Pixar, a reçu un accueil critique et public plutôt positif. Le film a déjà réalisé, une semaine après sa sortie, près de 266 millions de dollars de recettes, d'après la base de données Box Office Mojo (en anglais). Ce message de François Aubel a généré, lundi 29 juin, des milliers de réactions sidérées sur Twitter. Parce qu'ils ne sont plus destinés uniquement aux enfants A priori, Vice-Versa traite d'un thème pas très adapté aux enfants, la psychologie. Depuis quelques années, les films d'animation et quelques dessins animés ont prouvé qu'ils ne s'adressaient plus qu'aux seuls enfants. Mais c'est probablement Pixar qui a le plus cherché à conquérir un public plus large. Pour plaire aux adultes, les films d'animation jouent aussi sur les références cinématographiques. Parce qu'ils sont souvent plus engagés que la plupart des autres films Autre exemple : Wall-E.
Les 100 meilleurs films français ACCUEIL Lorsque nous avons publié pour la première fois ce classement des 100 plus grands films français il y a trois ans, des œuvres aussi singulières et marquantes que ‘Holy Motors’, ‘Amour’ ou ‘L’Inconnu du lac’ n’existaient tout simplement pas. Ce n’était donc que justice de reconsidérer cette liste, établie d’après les sélections individuelles de près d’une centaine de professionnels du cinéma, pour la remettre à jour. Le cinéma français a commencé en 1895 avec les frères Lumière, ce qui lui confère l’une des plus grandes amplitudes historiques. On ne s’étonnera donc pas ici qu’un hommage particulier soit naturellement rendu à des films parfois anciens, mais d’une portée souvent immense : qu’il s’agisse du « réalisme poétique » de Carné et Prévert ou du surréalisme buñuelien, d’une série policière mythique de Louis Feuillade ou du 'Napoléon' d’Abel Gance – qui, en 1915, inventait le split-screen en trichromie sur trois écrans alignés...
«Je suis nostalgique de l'esthétique cinématographique des années 50-60» Le concept de Peter Stults : faire voyager dans le temps par l’image. Depuis 2012, l’artiste américain recrée les affiches de films célèbres (V for Vendetta, Superman, le Cinquième Elément, etc.) dans le style de la première partie du XXe siècle. Long travail de recherche et de réflexion qui fait naître un nouveau monde où les époques se confondent et où les personnalités se retrouvent. James Dean en James Franco dans Springbreakers, Clint Eastwood ou Al Pacino en Hugh Jackman dans Wolverine ou encore Sean Connery en Daniel Craig dans Skyfall… L’enjeu est double : captiver l’attention du spectateur en restant cohérent sur le plan esthétique et sur le casting de l’affiche. D’où vient cette idée de transposer ces affiches de films récents au style cinématographique du XXe siècle ? Photo Peter Stults. Comment avez-vous débuté ce projet ? J’ai commencé à faire des affiches de films imaginaires au lycée, avec des amis. Êtes-vous nostalgique des années 50-60 ? Photo Peter Stults
Robot & Frank (2012) L'offre documentaire n'a jamais aussi élevée en salles depuis 10 ans - En bref En 2014, les documentaires projetés en salles étaient au nombre de 100 (dont 72 films français). L'offre n'a jamais été aussi élévée en dix ans, selon les chiffres du CNC. Pourtant, peu de cinémas les projettent : 22 contre 137 pour l'ensemble des films d'autres genres. En tête des entrées figurent Grizzly, un film Disney (380 000 entrées), Le Sel de la Terre par Wim Wenders sur le travail du photographe Sebastião Salgado (240 000 entrées) et enfin La Cour de Babel (190 000 entrées). Le CNC a aussi calculé qu'à la télé, c'est le programme Rendez-vous en terre inconnue de Frédéric Lopez, diffusé sur France 2, qui a été le plus regardé, avec ses 6,8 millions de téléspectateurs réunis le 21 janvier. Si les audiences restent bonnes, la production de documentaire a diminué de 16,3 % entre 2013 et 2014, ce qui est principalement dû à la baisse d'investissement des chaînes (-15,9 %).
11 anecdotes sur le cinéma qui vont vous régaler Quel est le film le plus mortel, au premier sens du terme, de l'histoire du cinéma? Quels sont les titres de films porno les plus drôles ou les variations de poids les plus marquantes? Pourquoi les fauteuils sont-ils rouges? 1. "Les acteurs et les actrices font parfois de lourdes concessions physiques pour les besoins d'un scénario. "Mais le record du nombre de kilos pris pour un rôle revient à l'acteur Vincent D'Onofrio avec 32 kg pour interpréter le soldat Leonard Lawrence dit Baleine, dans le film Full Metal Jacket (1987) réalisé par Stanley Kubrick." 2. 20 000 vieux sur mémère Analgeddon Autant en emporte le gland Bitman Fourre Ever Citizen chienne Cyrano de Vergerac Da Vinci Gode Full Metal Quéquette Il faut sucer le soldat Ryan Le Père Noël en a une dure Robin des doigts Scarfesse Starship Fuckers Total Rectal Trois hommes et un cul fin 3. 836 morts en 3h21 "Certaines personnes aiment compter le nombre de personnes tuées dans un film! 4. 5. "Raccords, anachronismes, dialogues... 6. 7. 9. 10. 11.
Nombre record de tournages de films français au premier semestre Les tournages de films français de fiction ont atteint un "niveau record" au premier semestre 2015, avec 92 projets recensés contre seulement 57 sur la même période de 2014, confirmant une tendance observée au premier trimestre, a indiqué la Fédération des industries du cinéma (Ficam). Il s'agit de la production la plus importante recensée depuis huit ans, date depuis laquelle la Ficam fait ce bilan. C'est une augmentation de 60% du nombre de projets par rapport à un premier semestre 2014 historiquement bas. L'investissement global a lui aussi bondi, de 90%, avec un budget moyen passant de 5 à 6 millions d'euros - en raison notamment de deux films au budget supérieur à 20 millions, "Les Visiteurs 3" de Jean-Marie Poiré et "The Lake" produit par Europacorp. Il s'agit là aussi des montants investis les plus hauts constatés sur les huit dernières années. 14 projets à plus de 10 millions d'euros
Cinéma: les sagas cultes des années 90 En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... averses éparses Vent : 15km/h - UV : 6 Clôture veille : 4934.91 Ouverture : 4926.77 Replay Emissions Les dinosaures de Jurassic Park repointent leur nez au cinéma, bientôt suivis du T-800 de Terminator, début juillet. C'est dans les vieilles sagas qu'on fait les meilleurs suites. Les studios ont également sorti de la naphtaline le T-800 et Arnold Schwarzenegger pour le retour de Terminator, le 1er juillet prochain. > Maman, j'ai raté l'avion Il joue dans les deux premiers opus, Maman j'ai raté l'avion, en 1990 et Maman, j'ai encore raté l'avion, en 1992. > Scream > Die hard Il en a bavé, Bruce Willis, dans la peau de John McLane. > L'arme fatale
Johnny Depp : 25 ans de métamorphoses au cinéma On connait le goût de Johnny Depp pour le travestissement et les métamorphoses totales. Et la nouvelle bande-annonce de Strictly Criminal nous le prouve une fois de plus. L'acteur prend cette fois-ci les traits de Whitey Bulger, chef de la mafia irlandaise de Boston dans les années 1970. Ridé, cheveux blonds et gris, il est méconnaissable. Ce n'est pas la première fois que le comédien américain se transforme ainsi physiquement. Quelques années plus tard, en 1994, il devient Gilbert Grape, un jeune homme en quête d'identité, qui assume des responsabilités de chef de famille. L'année suivante, il retourne devant la caméra de Tim Burton et devient le «plus mauvais réalisateur de tous les temps», Ed Wood. L'adaptation du livre de Roald Dahl, Charlie et la chocolaterie, en 2005, est ainsi l'une de leurs meilleures coopérations. Alice aux Pays des merveilles (2010) et Dark Shadows (2013) lui donnent aussi l'occasion d'adopter des apparences surprenantes, voire délirantes.
Cinéma. Les salles obscures font carton plein en juillet « L'été, les salles souffrent d'une fréquentation en dents de scie », analyse Christophe Allain, directeur du Méga CGR de Lanester. « Difficile de savoir ce qui est à prendre en compte pour expliquer le nombre d'entrée en juillet-août », ajoute Roland Boudraa, adjoint de direction du Cinéville de Lorient. Toujours est-il que le CGR enregistre une progression de 29 % par rapport à juillet 2014. Le Cinéville quant à lui se félicite des 13 000 entrées en plus de cette saison. Plus de 20 % des entrées Ce qui marche à coup sûr, « c'est une bonne programmation », commente le représentant du Cinéville. Un bon démarrage Au programme de ce mercredi, Les 4 fantastiques et Ted 2, qui commencent fort, avec 220 entrées au total en milieu d'après-midi au Cinéville. De quoi éclipser la sortie discrète du thriller déjanté et intrigant La femme dans la voiture avec des lunettes et un fusil, avec neuf entrées, mais qui devrait cela dit ravir les cinéphiles du coin.
Cenoctet - Cinéma, Musique, Jeux Vidéo & High Tech - Cinéma, Musique, Jeux Vidéo & High Tech Trucages dans les docus animaliers: appâts, tournage au zoo... J'ai eu recours à des ruses Un lion au Botswana (CATERS NEWS). Le réalisateur Chris Palmer a révélé certains trucages utilisés lors des tournages de documentaires animaliers. Il est vrai que nous avons parfois recours à des méthodes dont le public ne se doute pas. Mais bien souvent, il s'agit plus de ruses que de réels trucages. J'ai filmé en zoo pour ne pas déranger des espèces sensibles Le nourrissage des animaux est par exemple une méthode fréquemment employée (graines pour les oiseaux, carcasse pour les charognards type rapaces...). Les exemples évoqués par Chris Palmer sont tout de même extrêmes et rares. Certains refusent d'utiliser ces méthodes, d'autres vont beaucoup plus loin que cela. À titre personnel, je suis défavorable à ces pratiques, mais il n'y a pas de charte de bonne conduite, chaque réalisateur fait ce qu'il veut. Certains réalisateurs ont moins de scrupules que d'autres Les contraintes de temps où de budget peuvent obliger à prendre certains raccourcis. Le documentaire, c'est aussi du cinéma