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Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ce qui est bon pour les salariés est bon pour les entreprises"

Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ce qui est bon pour les salariés est bon pour les entreprises"
Il fait bon vivre pour la vingtaine d’employés d’une fabrique de fromage au lait cru installée au cœur de la Lozère. Le maître-mot de cette entreprise qui vend ses produits dans toute la France n’est pas "rentabilité", mais "bien-être au travail". Chaque lundi, le personnel a droit à la visite du kinésithérapeute du village voisin. Comme tous les salariés, Nicolas bénéficie d’une séance de trente minutes de massage pour soulager ses douleurs et tensions. Cette consultation est entièrement prise en charge par l’entreprise. "Ça fait du bien, on va pouvoir attaquer… Tout doucement, quand même…" affirme, souriant, le salarié en se relevant avec précaution après sa séance entre les mains du kiné. Justement, la bienveillance est le crédo de la dirigeante de cette société. Extrait de "Travail : tous bienveillants ?"

http://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/video-envoye-special-bien-etre-au-travail-ce-qui-est-bon-pour-les-salaries-est-bon-pour-les-entreprises_1805115.html

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Bien-être au travail : un responsable du bonheur Rendre les salariés heureux au travail pour obtenir de meilleurs résultats : une pratique qui nous vient tout droit des États-Unis, adopter par les géants d'internet il y a quinze ans. À tel point qu'est née un nouveau métier, le responsable du bien-être au travail, en anglais, le happiness officer. Une fonction qu'occupe Brunehilde Thako. Chaque vendredi, elle embrasse les 100 salariés de son entreprise. Sa mission : les chouchouter, par exemple en leur proposant une séance de massage. Dans une grande société pharmaceutique lyonnaise, la fonction existe ici depuis 25 ans.

Les « Awards du bien-être au travail » récompensent les entreprises qui rendent leurs salariés heureux Un salarié moyen passe plus de 1 600 heures à travailler par an, comptabilise Bloom at Work. Pour la startup, c’est une raison suffisante pour gratifier les entreprises à l’origine d’initiatives qui rendent leurs employés plus heureux. Les dirigeants soucieux du bien-être de leurs collaborateurs ont donc jusqu’au 20 septembre pour candidater afin d’être récompensés pour leurs actions le 9 octobre 2018, au Théâtre de l’Atelier à Paris. Quatre catégories

Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ma fonction est d’être chef du bonheur" Il fait bon travailler dans cette start-up parisienne qui vend notamment en ligne des articles de mode et de décoration "faits main". Pour sa cinquantaine de salariés, les réunions se font assis sur un canapé ou dans la salle de jeux… Et la journée commence par un petit-déjeuner offert par l’entreprise. C’est Sophie qui gère le café et les croissants : "L’idée est de créer un instant de convivialité entre les collègues. C’est un peu plus sympathique que d’être juste planté à côté de la machine à café où on se parle pendant trente secondes…" Sophie ne rend pas juste service à ses collègues… Elle fait son travail, qui est de créer une bonne ambiance au bureau.

Absentéisme Depuis quelques années, le réseau Anact-Aract, face à la demande d’entreprises confrontées à un absentéisme croissant, s’est attelé à la compréhension de ce phénomène. Les conditions de travail jouent un rôle souvent méconnu dans le processus qui conduit un salarié à s’absenter. En effet, un travail sous fortes contraintes de temps, des horaires décalés, une organisation du travail inadaptée, un manque de reconnaissance ou encore des carences dans le dialogue entre l’encadrement et les salariés peuvent être des facteurs déclencheurs de l’absence. Si l’absentéisme est un sujet sensible, il n’est pas une fatalité.

Sieste obligatoire pour les soignants aux urgences de l'hôpital d'Évreux Aux urgences de l'hôpital d'Évreux, la sieste est obligatoire pour les médecins de garde depuis un an et demi, et depuis six mois pour les infirmiers et infirmières. Il est vrai qu'au départ, les personnels étaient plutôt dubitatifs sur l'intérêt de la sieste. "Pour travailler bien, il faut travailler heureux", leur répond le chef du service des urgences de l'hôpital d'Évreux, le docteur Arnaud Depil-Duval. C'est ainsi que deux protocoles ont été signés pour encadrer des temps de sieste qui, à écouter le praticien hospitalier, n'ont que des avantages, même si les mettre en place et les faire accepter aux soignants n'a pas été une mince affaire. Je dois parfois engueuler les médecins pour qu'ils aillent se reposer" - Arnaud Depil-Duval, chef des urgences de l'hôpital d'Évreux Un dispositif inspiré des armées

Comment bien identifier une maladie professionnelle ? Qu'est-ce qu'une maladie professionnelle ? Les maladies professionnelles ne font pas l'objet d'une définition légale. En effet, ce sont des tableaux spécifiques qui définissent les maladies qui peuvent faire l'objet d'une indemnisation et précisent les conditions à remplir pour qu'une maladie soit prise en charge au titre de la législation sur les risques professionnels. Est présumée comme étant d'origine professionnelle, toute maladie désignée dans un tableau de maladies professionnelles et contractées dans les conditions mentionnées à ce tableau (1). En effet, 3 conditions cumulatives doivent être remplies pour qu'une affection soit considérée comme ayant une origine professionnelle :

Une factrice en retard dans sa tournée met le feu au courrier, l'expression d'un mal-être selon un syndicat Elle a brûlé les lettres qui lui restaient. Une factrice qui ne parvenait pas à achever sa tournée a mis le feu à une partie du courrier qu'elle distribuait dans l'Aisne, indique L'Union (article pour abonnés), dans son édition du jeudi 20 octobre. "Des avis d’imposition se trouvaient parmi le lot de lettres parties en fumée", précise le quotidien local. Cette factrice, une intérimaire âgée de 19 ans, a brûlé en plein champ les lettres destinées aux habitants des communes de Guignicourt, Prouvais et Amifontaine.

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