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RMN - Grand Palais

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Exposition Goscinny et le cinéma « Je crois qu'il faut écrire pour la bande dessinée comme il faut écrire pour le cinéma. » (René Goscinny) René Goscinny n'aura écrit et réalisé que quatre longs métrages : Astérix et Cléopâtre (1968), Daisy Town (1971), Les 12 travaux d'Astérix (1976) et La Ballade des Dalton (1978). Mais cette courte filmographie de cinéaste à part entière, interrompue par sa mort le 5 novembre 1977, masque une activité soutenue de scénariste pour le cinéma (Le Viager, sommet) et la télévision, et surtout un rapport incroyablement fécond à un art qu'il aura passé sa vie à approcher pas à pas, jusqu'à réaliser enfin son rêve en 1974 avec la création des studios Idéfix. Mais avant de parvenir à ce stade ultime d'audace et d'expérimentation, qui ne doit plus grand-chose aux films adorés et connus par cœur, René Goscinny a d'abord été un œil, un très singulier œil de spectateur de cinéma : l'œil parodique par excellence.

Mondial de handball : la France tient sa finale Les Bleus ont logiquement battu la Slovénie (31-25) en demi-finale à Paris. Ils disputeront dimanche le titre au vainqueur de Croatie-Norvège. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Erwan Le Duc Les Bleus ont à peine tremblé, jeudi à Paris, pour écarter la Slovénie lors d’une demi-finale remportée haut la main (31-25). L’équipe de France disputera dimanche le titre mondial au vainqueur de Croatie-Norvège. Lire aussi : Revivez la victoire des Bleus face à la Slovénie minute par minute Dans une enceinte parisienne toute acquise à leur cause, les partenaires de Nikola Karabatic ont d’abord maîtrisé la première période, virant à la pause avec trois buts d’avance (15-12). La seule petite surprise de ce début de match venait du choix de Didier Dinart de titulariser Vincent Gérard dans les buts, laissant Thierry Omeyer sur le banc. Laissant régulièrement souffler Nikola Karabatic ou Daniel Narcisse, le staff tricolore confiait le soin à Valentin Porte ou Kentin Mahé de soigner la différence de buts.

Daimyo – Seigneurs de la guerre au Japon – Guimet Du 15 février au 13 mai 2018 Le Musée national des arts asiatiques – Guimet et le Palais de Tokyo, réunissent dans le cadre d’un partenariat inédit, un ensemble exceptionnel d’armures et d’attributs de daimyo, ces puissants gouverneurs qui régnaient au Japon entre le XIIe et le XIXe siècle. Au musée national des arts asiatiques – Guimet La classe des Daimyos joue un rôle essentiel dans l’histoire japonaise dans la deuxième moitié de la période féodale (du XVe au XIXe siècle). L’exposition du musée réunira pour la première fois un ensemble exceptionnel issu des collections françaises, privées et publiques. Organisée sur deux sites – l’hôtel d’Heidelbach et la rotonde du quatrième étage du musée principal – cette spectaculaire exposition dévoilera en deux grands chapitres des pièces magistrales, expression du pouvoir et de la toute puissance du guerrier, chaque espace devenant pour un temps des lieux d’animation. Au Palais de Tokyo En partenariat avec : En partenariat média avec :

Andres Serrano Figure majeure de la scène artistique contemporaine, Andres Serrano révèle, à travers ses photographies, une réalité souvent dérangeante. L’exposition propose un panorama très humain de ses portraits, résolument contemporains mais qui évoquent également la peinture des grands maîtres du passé, du Titien et Delacroix à Tintoret, Vélasquez ou Courbet. L’exposition s’ouvre sur une sélection d’œuvres de la série America, inspirée par la tragédie du 11 septembre, qui témoigne de la volonté d’Andres Serrrano à « contribuer au débat sur l’identité américaine dans sa diversité, en mêlant les âges, les genres, les milieux, les confessions ». L’exposition présente ensuite des portraits de sa série The Klan — pour laquelle il a approché des membres du Ku Klux Klan, réalisant des images d’une troublante beauté, empreints d’ambivalence — puis une sélection d’œuvres de The Interpretation of Dreams, de portraits de Native Americans ainsi que des œuvres de Cuba. Avec l’aimable participation Remerciements

Basquiat - jusqu'au 14 janvier 2019 - Fondation Vuitton L’œuvre de Jean-Michel Basquiat, l’un des peintres les plus marquants du XXe siècle, se déploie dans quatre niveaux du bâtiment de Frank Gehry. L’exposition parcourt, de 1980 à 1988, l’ensemble de la carrière du peintre en se concentrant sur plus de 120 œuvres décisives. À l’image des Heads de 1981-1982, pour la première fois réunies ici, ou de la présentation de plusieurs collaborations entre Basquiat et Warhol, l’exposition compte des ensembles inédits en Europe, des travaux essentiels tels que Obnoxious Liberals (1982), In Italian (1983) ou encore Riding with Death (1988), et des toiles rarement vues depuis leurs premières présentations du vivant de l’artiste, telles que Offensive Orange (1982), Untitled (Boxer) (1982), et Untitled (Yellow Tar and Feathers) (1982). Dès la sortie de l’enfance, Jean-Michel Basquiat quitte l’école et fait de la rue de New York son premier atelier. Le parcours proposé est chronologique. Rez-de-Bassin (galerie 2) Rez-de-Chaussée (galerie 4)

Icônes de l'Art Moderne. La Collection Chtchoukine La Fondation Louis Vuitton présente l'exposition « Icônes de l’Art Moderne. La collection Chtchoukine » qui se tient du 22 octobre 2016 au 20 février 2017. Elle s'inscrit dans le cadre du programme de "L'Année Franco-Russe 2016-2017 du tourisme culturel" dont elle constitue en France l'événement le plus marquant. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du XXème siècle, Sergueï Chtchoukine – collectionneur russe visionnaire de l’art moderne français, dont la collection, comme le rappelle Anne Baldassari, conservateur général du Patrimoine et commissaire général de l'exposition, « reste encore aujourd’hui méconnue du grand public occidental. Depuis sa dispersion en 1948, elle n’a jamais été réunie comme une entité artistique singulière et cohérente ». De surcroit, l’installation vidéo « Chtchoukine, Matisse. Le commissariat général de l’exposition, la programmation culturelle et la direction scientifique du catalogue, ont été confiés à Anne Baldassari.

Nadar - jusqu'au 3 février 2019 - BNF La Bibliothèque nationale de France propose la première grande exposition consacrée aux trois Nadar. Félix Nadar (1820-1910), son frère Adrien Tournachon (1825-1903) et son fils Paul Nadar (1856-1939) furent tout à la fois photographes, peintres, dessinateurs et inventeurs... Quelque 300 pièces témoignent des spécificités de chacun des trois photographes, de leurs collaborations comme de leurs rivalités, dans un parcours qui embrasse l’histoire de l’atelier des Nadar pendant près d’un siècle. À travers des épreuves photographiques originales, des dessins, des estampes, des peintures et des objets, l’exposition invite à découvrir l’héritage de l’un des ateliers les plus importants et les plus durables des débuts de la photographie. Exposition dans le cadre de Paris Photo. Commissariat : Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie, BnFAnne Lacoste, directrice de l'Institut pour la photographie des Hauts-de-France Vidéos durée : 28 s durée : 6 min 22 s Visites

Vampires, de Dracula à Buffy jusqu'au 19 janvier 2020 « Je suis Dracula » est une phrase culte de l'histoire du cinéma, prononcée avec un mystérieux accent slave, par des acteurs comme Béla Lugosi ou Gary Oldman. Le comte Dracula, vénéré par le public d'hier et d'aujourd'hui, avec la même ferveur teintée de crainte, est une icône dark, incarnation de ce que l'humain a de plus pulsionnel dans son rapport au sexe, à la folie, et à la mort. Mais Dracula n'est qu'un vampire cinématographique parmi tant d'autres, au même titre qu'Edward Cullen dans Twilight ou Lestat de Lioncourt dans Entretien avec un vampire. Tous, ils hantent les écrans du monde entier, surgissant des ténèbres de nos civilisations, à chaque fois que celles-ci vacillent, que les idéologies se fissurent. À l'origine du mythe Héritier d'obscures superstitions ancestrales, entre autres grecques (les stryges) et mésopotamiennes (Lilith), le mythe du vampire s'enracine en Europe centrale, dans les ténèbres sanguinaires du Moyen-Âge. L'ombre sur l'écran Dévoration et transgression

Van Gogh, La nuit étoilée jusqu'au 31 décembre 2019 Du 5 septembre au 20 octobre, venez découvrir ou redécouvrir dès 15h l'exposition Van Gogh, la Nuit Etoilée suivi de Yves Klein, l'infini bleu ! Van Gogh, la Nuit Etoilée réalisée par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, retrace la vie intense de l’artiste tourmenté qui peignit pendant les 10 dernières années de sa vie plus de 2000 tableaux, aujourd’hui dispersés à travers le monde. Épousant la totalité de l’espace de l’Atelier, cette création visuelle et musicale parcourt l’immense production de Van Gogh, qui évolue radicalement au fil des ans, des Mangeurs de pommes de terre (1885), aux Tournesols (1888) en passant par La Nuit étoilée (1889) et à La Chambre à coucher (1889). L’Atelier des Lumières révèle les coups de brosse expressifs et puissants du peintre hollandais et s’illumine aux couleurs audacieuses de ses toiles au style sans égal. Yves Klein, l’infini bleu met à l’honneur cet artiste majeur du XXe siècle qui souhaitait faire de sa vie une œuvre d’art.

Japon rêvé, images du monde flottant jusqu'au 31 décembre 2019 Un voyage immersif dans l'art japonais Entre deux projections de Van Gogh, La nuit étoilée, est présenté un programme court dédié à l’univers japonais. Japon Rêvé, images du monde flottant est un voyage dans le Japon de l’imaginaire commun, celui des geishas, des samouraïs et des esprits. Cette création trouve sa source dans les estampes japonaises qui ont commencé à circuler en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, à l’occasion de l’ouverture des échanges commerciaux entre l’occident et le Japon. Cette révélation de l’art japonais va bouleverser l’art occidental : la peinture des Impressionnistes et des avant-gardes mais aussi les arts décoratifs, la musique et la danse. Cette création du studio artistique Danny Rose, qui rend compte de la fascination de Van Gogh pour le Japon, est une promenade contemplative et sonore dans les décors de ce Japon des maîtres de l’estampe. Le studio de création Danny Rose Un voyage immersif dans l'art japonais Le studio de création Danny Rose

Toulouse-Lautrec jusqu'au 27 janvier 2020 Depuis 1992, date de la dernière rétrospective française de l’artiste, plusieurs expositions ont exploré les attaches de l’oeuvre de Toulouse-Lautrec avec la « culture de Montmartre ». Cette approche a réduit la portée d’un artiste dont l’œuvre offre un panorama plus large. L’exposition du Grand Palais - qui réunit environ 225 oeuvres - veut, à la fois, réinscrire l’artiste et dégager sa singularité. Si l’artiste a merveilleusement représenté l’électricité de la nuit parisienne et ses plaisirs, il ambitionne de traduire la réalité de la société contemporaine dans tous ses aspects, jusqu’aux moins convenables. L’exposition montre enfin comment cet aristocrate du Languedoc, soucieux de réussir, a imposé son regard lucide, grave et drôle au Paris des années 1890 et pourquoi Toulouse-Lautrec s’inscrit comme un précurseur de mouvements d’avant-garde du 20e siècle, comme le futurisme. L’exposition bénéficie du soutien d’ING, de la MAIF et de la Fondation Louis Roederer.

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