background preloader

RMN - Grand Palais

RMN - Grand Palais
Related:  EXPOSITIONS

Exposition Goscinny et le cinéma « Je crois qu'il faut écrire pour la bande dessinée comme il faut écrire pour le cinéma. » (René Goscinny) René Goscinny n'aura écrit et réalisé que quatre longs métrages : Astérix et Cléopâtre (1968), Daisy Town (1971), Les 12 travaux d'Astérix (1976) et La Ballade des Dalton (1978). Mais cette courte filmographie de cinéaste à part entière, interrompue par sa mort le 5 novembre 1977, masque une activité soutenue de scénariste pour le cinéma (Le Viager, sommet) et la télévision, et surtout un rapport incroyablement fécond à un art qu'il aura passé sa vie à approcher pas à pas, jusqu'à réaliser enfin son rêve en 1974 avec la création des studios Idéfix. Mais avant de parvenir à ce stade ultime d'audace et d'expérimentation, qui ne doit plus grand-chose aux films adorés et connus par cœur, René Goscinny a d'abord été un œil, un très singulier œil de spectateur de cinéma : l'œil parodique par excellence.

Daimyo – Seigneurs de la guerre au Japon – Guimet Du 15 février au 13 mai 2018 Le Musée national des arts asiatiques – Guimet et le Palais de Tokyo, réunissent dans le cadre d’un partenariat inédit, un ensemble exceptionnel d’armures et d’attributs de daimyo, ces puissants gouverneurs qui régnaient au Japon entre le XIIe et le XIXe siècle. Au musée national des arts asiatiques – Guimet La classe des Daimyos joue un rôle essentiel dans l’histoire japonaise dans la deuxième moitié de la période féodale (du XVe au XIXe siècle). L’exposition du musée réunira pour la première fois un ensemble exceptionnel issu des collections françaises, privées et publiques. Organisée sur deux sites – l’hôtel d’Heidelbach et la rotonde du quatrième étage du musée principal – cette spectaculaire exposition dévoilera en deux grands chapitres des pièces magistrales, expression du pouvoir et de la toute puissance du guerrier, chaque espace devenant pour un temps des lieux d’animation. Au Palais de Tokyo En partenariat avec : En partenariat média avec :

Basquiat - jusqu'au 14 janvier 2019 - Fondation Vuitton L’œuvre de Jean-Michel Basquiat, l’un des peintres les plus marquants du XXe siècle, se déploie dans quatre niveaux du bâtiment de Frank Gehry. L’exposition parcourt, de 1980 à 1988, l’ensemble de la carrière du peintre en se concentrant sur plus de 120 œuvres décisives. À l’image des Heads de 1981-1982, pour la première fois réunies ici, ou de la présentation de plusieurs collaborations entre Basquiat et Warhol, l’exposition compte des ensembles inédits en Europe, des travaux essentiels tels que Obnoxious Liberals (1982), In Italian (1983) ou encore Riding with Death (1988), et des toiles rarement vues depuis leurs premières présentations du vivant de l’artiste, telles que Offensive Orange (1982), Untitled (Boxer) (1982), et Untitled (Yellow Tar and Feathers) (1982). Dès la sortie de l’enfance, Jean-Michel Basquiat quitte l’école et fait de la rue de New York son premier atelier. Le parcours proposé est chronologique. Rez-de-Bassin (galerie 2) Rez-de-Chaussée (galerie 4)

Nadar - jusqu'au 3 février 2019 - BNF La Bibliothèque nationale de France propose la première grande exposition consacrée aux trois Nadar. Félix Nadar (1820-1910), son frère Adrien Tournachon (1825-1903) et son fils Paul Nadar (1856-1939) furent tout à la fois photographes, peintres, dessinateurs et inventeurs... Quelque 300 pièces témoignent des spécificités de chacun des trois photographes, de leurs collaborations comme de leurs rivalités, dans un parcours qui embrasse l’histoire de l’atelier des Nadar pendant près d’un siècle. À travers des épreuves photographiques originales, des dessins, des estampes, des peintures et des objets, l’exposition invite à découvrir l’héritage de l’un des ateliers les plus importants et les plus durables des débuts de la photographie. Exposition dans le cadre de Paris Photo. Commissariat : Sylvie Aubenas, directrice du département des Estampes et de la photographie, BnFAnne Lacoste, directrice de l'Institut pour la photographie des Hauts-de-France Vidéos durée : 28 s durée : 6 min 22 s Visites

Vampires, de Dracula à Buffy jusqu'au 19 janvier 2020 « Je suis Dracula » est une phrase culte de l'histoire du cinéma, prononcée avec un mystérieux accent slave, par des acteurs comme Béla Lugosi ou Gary Oldman. Le comte Dracula, vénéré par le public d'hier et d'aujourd'hui, avec la même ferveur teintée de crainte, est une icône dark, incarnation de ce que l'humain a de plus pulsionnel dans son rapport au sexe, à la folie, et à la mort. Mais Dracula n'est qu'un vampire cinématographique parmi tant d'autres, au même titre qu'Edward Cullen dans Twilight ou Lestat de Lioncourt dans Entretien avec un vampire. Tous, ils hantent les écrans du monde entier, surgissant des ténèbres de nos civilisations, à chaque fois que celles-ci vacillent, que les idéologies se fissurent. À l'origine du mythe Héritier d'obscures superstitions ancestrales, entre autres grecques (les stryges) et mésopotamiennes (Lilith), le mythe du vampire s'enracine en Europe centrale, dans les ténèbres sanguinaires du Moyen-Âge. L'ombre sur l'écran Dévoration et transgression

Van Gogh, La nuit étoilée jusqu'au 31 décembre 2019 Du 5 septembre au 20 octobre, venez découvrir ou redécouvrir dès 15h l'exposition Van Gogh, la Nuit Etoilée suivi de Yves Klein, l'infini bleu ! Van Gogh, la Nuit Etoilée réalisée par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi, retrace la vie intense de l’artiste tourmenté qui peignit pendant les 10 dernières années de sa vie plus de 2000 tableaux, aujourd’hui dispersés à travers le monde. Épousant la totalité de l’espace de l’Atelier, cette création visuelle et musicale parcourt l’immense production de Van Gogh, qui évolue radicalement au fil des ans, des Mangeurs de pommes de terre (1885), aux Tournesols (1888) en passant par La Nuit étoilée (1889) et à La Chambre à coucher (1889). L’Atelier des Lumières révèle les coups de brosse expressifs et puissants du peintre hollandais et s’illumine aux couleurs audacieuses de ses toiles au style sans égal. Yves Klein, l’infini bleu met à l’honneur cet artiste majeur du XXe siècle qui souhaitait faire de sa vie une œuvre d’art.

Japon rêvé, images du monde flottant jusqu'au 31 décembre 2019 Un voyage immersif dans l'art japonais Entre deux projections de Van Gogh, La nuit étoilée, est présenté un programme court dédié à l’univers japonais. Japon Rêvé, images du monde flottant est un voyage dans le Japon de l’imaginaire commun, celui des geishas, des samouraïs et des esprits. Cette création trouve sa source dans les estampes japonaises qui ont commencé à circuler en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, à l’occasion de l’ouverture des échanges commerciaux entre l’occident et le Japon. Cette révélation de l’art japonais va bouleverser l’art occidental : la peinture des Impressionnistes et des avant-gardes mais aussi les arts décoratifs, la musique et la danse. Cette création du studio artistique Danny Rose, qui rend compte de la fascination de Van Gogh pour le Japon, est une promenade contemplative et sonore dans les décors de ce Japon des maîtres de l’estampe. Le studio de création Danny Rose Un voyage immersif dans l'art japonais Le studio de création Danny Rose

Toulouse-Lautrec jusqu'au 27 janvier 2020 Depuis 1992, date de la dernière rétrospective française de l’artiste, plusieurs expositions ont exploré les attaches de l’oeuvre de Toulouse-Lautrec avec la « culture de Montmartre ». Cette approche a réduit la portée d’un artiste dont l’œuvre offre un panorama plus large. L’exposition du Grand Palais - qui réunit environ 225 oeuvres - veut, à la fois, réinscrire l’artiste et dégager sa singularité. Si l’artiste a merveilleusement représenté l’électricité de la nuit parisienne et ses plaisirs, il ambitionne de traduire la réalité de la société contemporaine dans tous ses aspects, jusqu’aux moins convenables. L’exposition montre enfin comment cet aristocrate du Languedoc, soucieux de réussir, a imposé son regard lucide, grave et drôle au Paris des années 1890 et pourquoi Toulouse-Lautrec s’inscrit comme un précurseur de mouvements d’avant-garde du 20e siècle, comme le futurisme. L’exposition bénéficie du soutien d’ING, de la MAIF et de la Fondation Louis Roederer.

Yan Pei-Ming / Courbet jusqu'au 19 janvier 2020 À l’occasion du Bicentenaire de Gustave Courbet (1819-1877), le Petit Palais a le plaisir de présenter Yan Pei-Ming / Courbet, Corps-à-corps, prolongeant ainsi l’exposition organisée cet été au musée Courbet à Ornans. Une dizaine d’œuvres de Courbet, toutes issues des collections du Petit Palais, seront montrées en regard d’une quinzaine de toiles monumentales de Yan Pei-Ming réalisées pour certaines dans l’atelier de Courbet à Ornans. Elles seront présentées cette fois dans un accrochage volontairement inspiré des Salons du XIXe siècle, expérience inédite pour l’artiste. Le Petit Palais possède en effet l’une des plus grandes collections de tableaux de Courbet grâce à des achats de la Ville de Paris effectués dès la fin du XIXe siècle, enrichis au début du XXe siècle par les dons de sa sœur, Juliette Courbet et du critique Théodore Duret.

Océan en voie d’illumination - Jardin des Plantes - jusqu'au 19 janvier 2020 Flamant rose (Phoenicopterus roseus) Le flamant rose se nourrit d’invertébrés aquatiques qu’il filtre dans la vase grâce à son bec muni de lamelles, qui fonctionne comme un peigne ou les fanons des baleines. Le régime alimentaire du flamant rose le rend très dépendant des lagunes et étangs saumâtres. Les hivers rigoureux, la destruction et l’urbanisation de ces zones humides constituent un risque majeur pour les populations. Tortue verte (Chelonia mydas) Cette grande tortue marine mesure en moyenne 1,20 mètre de long. Grand requin blanc (Carcharodon carcharias) Le plus grand poisson prédateur marin ! Orque (Orcinus orca) Les orques forment des regroupements familiaux qui sont parmi les plus stables de toutes les espèces animales. Ours polaire (Ursus maritimus) L’ours polaire (ou ours blanc) est l’un des plus grands carnivores des régions arctiques.

Uderzo, comme une potion magique | Musée Maillol Albert Uderzo s’est éteint le 24 mars 2020, à l’âge de 92 ans. Un an après sa disparition, le musée Maillol accueille la toute première grande exposition consacrée à son oeuvre, du 27 mai au 30 septembre 2021, à Paris. Si Albert fût l’un des maitres incontestés de l’âge d’or de la bande dessinée, il restait à découvrir l’immensité de son travail, le volume incroyable de ses personnages, de ses planches, de ses dessins. C’est ce que proposera cette exposition inédite conçue et imaginée par la famille Uderzo et une équipe de spécialistes du monde muséal. Si Astérix y tiendra nécessairement une place de choix, l’exposition, au fil de quelque trois cents œuvres originales et documents personnels (une grande partie pour la toute première fois) permettra aux visiteurs de mesurer la diversité des styles graphiques de celui qui rêvait, enfant, d’être le Disney de la rue de Montreuil. Le parcours initiatique mènera enfin le visiteur jusqu’à Astérix le Gaulois et ses 32 albums. Ada et Sylvie Uderzo

Related: