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Mémoires de Saint-Simon : nouvelle édition collationnée sur le manuscrit autographe, augmentée des additions de Saint-Simon au Journal de Dangeau. Tome 13 / notes et appendices par A. de Boislisle...
Titre : Mémoires de Saint-Simon : nouvelle édition collationnée sur le manuscrit autographe, augmentée des additions de Saint-Simon au Journal de Dangeau. Tome 13 / notes et appendices par A. de Boislisle... Auteur : Saint-Simon, Louis de Rouvroy (1675-1755 ; duc de) Éditeur : Hachette (Paris) Date d'édition : 1879-1928 Contributeur : Michel de Boislisle, Arthur (1835-1908). Contributeur : Lecestre, Léon (1861-1941). Contributeur : Boislisle, J. de. Sujet : Saint-Simon, Louis de Rouvroy (1675-1755 ; duc de) -- Biographies Sujet : France -- 18e siècle Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 43 vol. ; in-8 Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k5269x Source : Bibliothèque nationale de France Relation : Notice d'ensemble : Relation : Description : Collection : Les grands écrivains de la France Provenance : bnf.fr
Rapport du 5 nivôse an II sur les principes du Gouvernement révolutionnaire
Rapport sur les principes du Gouvernement révolutionnaire 5 nivôse an II 25 décembre 1793 Le Rapport du 5 nivôse an II sur les principes du Gouvernement révolutionnaire est un rapport présenté devant la Convention nationale française le 25 décembre 1793 (25 nivôse an II dans le calendrier républicain), et lu en séance publique par Maximilien de Robespierre. Les succès endorment les âmes faibles ; ils aiguillonnent les âmes fortes. Laissons l'Europe et l'histoire vanter les miracles de Toulon et préparons de nouveaux triomphes à la liberté. Les défenseurs de la République adoptent la maxime de César ; ils croient qu'on n'a rien fait tant qu'il reste quelque chose à faire. Tels sont les premiers devoirs que vous avez imposés à votre Comité de salut public. Nous allons développer d'abord les principes et la nécessité du gouvernement révolutionnaire ; nous montrerons ensuite la cause qui tend à le paralyser dans sa naissance.
Les bas-fonds de Sarkofrance
Rome Reborn
Jaures, discours à la jeunesse, Albi, 1903
Discours à la jeunesseprésentation et notes de Gilles Candarversion publiée dans : Jean Jaurès, Textes choisies, Encyclopédie du socialisme, 127 p, 7,50 euros (commande à Encyclopédie du socialisme, 86, rue de Lille, 75007 Paris) Au cours de sa carrière universitaire et politique, Jaurès prononça plusieurs discours de distribution des prix. Celui-ci est non seulement le plus célèbre d’entre eux, mais aussi le texte le plus connu et le plus fréquemment cité de Jaurès. La cérémonie a lieu le 30 juillet 1903, Jaurès s’adresse aux élèves du lycée d’Albi, où il a lui-même été élève, puis professeur quelques décennies plus tôt. Il est alors un personnage officiel : député socialiste de Carmaux certes, mais aussi vice-président de la Chambre des députés et personnage clef de la majorité parlementaire. Mesdames, Messieurs, Jeunes élèves,C’est une grande joie pour moi de me retrouver en ce lycée d’Albi et d’y reprendre un instant la parole. Les hommes de la Révolution en avaient conscience.
L'Hérétique (Démocratie et hérésie économique)
Observatoire du Patrimoine Religieux
Discours de Jaurès, Lille, 1900
Discours de Jean Jaurès Citoyens, Le plus grand plaisir que vous puissiez nous faire, ce n'est pas de nous acclamer, c'est de nous écouter. C'est un grand honneur pour le Parti Socialiste d'instituer des débats comme celui de ce soir et je crois pouvoir dire qu'il est le seul parti qui ait assez de foi dans la puissance de ses principes, pour instituer ainsi entre ses militants un débat politique. Nous n’avons rien à cacher, nous sommes le parti de la discipline dans l'action, prêt à nous incliner toujours pour la conduite à tenir devant la décision régulière du parti organisé, mais nous sommes en même temps le parti de la liberté, toujours à l'éveil sur les meilleurs moyens d'émanciper le prolétariat. Je suis venu m'expliquer ici sans violence aucune, mais sans aucune réticence. D'où est né, quand et comment, le dissentiment entre Guesde et moi ? Jaurès : Je crois que mes paroles ne peuvent blesser personne. Voilà donc le premier élément de la lutte de classe. Dans chaque cas particulier.
Le Phare - Blog LeMonde.fr
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