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Indice de développement humain

Indice de développement humain
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IDH. L'évolution de l'IDH entre 1975 et 2004 Le concept du développement humain est plus large que ce qu'en décrit l'IDH qui n'en est qu'un indicateur, créé par le PNUD pour évaluer ce qui n'était mesuré auparavant qu'avec imprécision. Le calcul de l'IDH a été modifié en 2011. Principe[modifier | modifier le code] L'IDH est un indice composite, sans dimension, compris entre 0 (exécrable) et 1 (excellent). la santé / longévité (mesurées par l'espérance de vie à la naissance), qui permet de mesurer indirectement la satisfaction des besoins matériels essentiels tels que l'accès à une alimentation saine, à l'eau potable, à un logement décent, à une bonne hygiène et aux soins médicaux. La composition et la méthodologie pour établir cet indice sont susceptibles d'être revues tous les ans, et donnent lieu à l'établissement d'une note permettant de comprendre ces variations. Les calculs[modifier | modifier le code]

Biocapacité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La biocapacité d’une zone biologiquement productive (appelée aussi zone bioproductive) donnée désigne sa capacité à produire une offre continue en ressources renouvelables et à absorber les déchets découlant de leur consommation, notamment la séquestration du dioxyde de carbone[1]. Résultats[modifier | modifier le code] Si l'empreinte écologique (demande) d'une zone dépasse sa biocapacité (offre), cette zone est en dépassement écologique et n'est pas utilisée de manière durable. En 2007, l'empreinte écologique de l'humanité atteignait 18 milliards d'hag, soit 2,7 hag (hectares globaux[3]) par personne, alors que la biocapacité de la Terre n'était que de 11,9 milliards d'hag, ou 1,8 hag par personne, soit une surexploitation écologique de 50 %. C'est dans les années 1980 que l'empreinte écologique de l'humanité a dépassé la biocapacité de la Terre. Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Revenus-Salaires - Indice de développement humain : des progrès depuis 20 ans mais un retard persistant Sommaire Intertitres Tableaux Graphiques Publication L’IDH est un indicateur synthétique de développement calculé chaque année par le PNUD pour les pays et territoires indépendants. L’évaluation du niveau de développement d’un territoire ne peut se limiter à observer les performances économiques. Au niveau international, les indicateurs synthétiques les plus connus ou acceptés sont probablement ceux du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), et particulièrement l’Indice de Développement Humain (IDH). Les indicateurs synthétiques de développement sont d’un intérêt particulier pour La Réunion. Nous proposons ici une évaluation du niveau de l’IDH pour La Réunion en présentant les hypothèses et approximations qui sont nécessaires, afin qu’elles puissent faire l’objet de critiques et soient affinées dans le futur. L’indice de santé L’indice de santé est le plus simple des trois indices à calculer pour La Réunion. Haut de page L’indice de scolarisation des jeunes Notes Bibliographie

Empreinte écologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces alimentaires productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur. Cette surface est exprimée en hectares globaux (hag), c´est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne[1]. L'économie de subsistance, outre le fait qu'elle rend direct le calcul portant sur les surfaces agricoles employées, pèse peu en termes d'empreinte écologique. On célèbre la Journée Internationale de l'empreinte écologique le 3 mai. Utilité[modifier | modifier le code] avec et

Story of Change « The Story of Stuff Project Over the past several decades, many environmental and social change efforts have come to reflect the centrality of shopping in our culture, suggesting change can be made—or is even best made—through alterations in our individual consumption patterns. These efforts—buy Fair Trade or organic, use a reusable bag, screw in a CFL lightbulb—are a great place to start, but they are a terrible place to stop, ignoring the real source of our power: coming together as engaged citizens. In The Story of Change, released in July 2012, Annie Leonard argues that it’s not bad shoppers who are putting our future at risk; it’s bad policies and business practices. If we really want to change the world, we have to move beyond voting with our dollars and come together to demand rules that work. Credits The Story of Change was created and released by The Story of Stuff Project and produced by Free Range Studios. Show full list of credits

AREA - Environnement Une autre façon de penser l’environnement Au sein du groupe AREA, nous avons créé une agence dédiée aux solutions environnementales : AREA canopée. Et pourquoi donc se doter d’un pôle aussi spécifique ? Car nous sommes persuadés de la responsabilité du secteur du bâtiment dans le changement climatique et de notre cadre de vie. Par conséquent, il nous apparaît primordial de travailler en faveur de la diminution des impacts sur l’environnement. Si l’agence AREA canopée réunit des femmes et des hommes de formations et d’horizons divers, elle est néanmoins l’exemple même d’une complémentarité des forces et des expertises. Connaître pour réduire les impacts Lors de l’étude projet, l’analyse conduite par AREA canopée doit permettre de confirmer ou d’infirmer les choix conceptuels par une évaluation des impacts environnementaux : Le secteur du bâtiment consomme à lui seul : 50% des ressources naturelles, 40% de l’énergie (le premier consommateur d’énergie finale) et 16% de l’eau.

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