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‎triskalia-groupement-porc.com Travail au noir, sous salaires, infractions sur les régimes sociaux : cette fois, la coupe est pleine ! (Lettre France / Europe / Allemagne, 25/06/2013) Dans les abattoirs allemands, pas besoin d’être un spécialiste pour constater la présence d’équipes entières de salariés travaillant au noir sous-couvert de sous-traitance, appelée aussi concession de travaux. Des entreprises de sous-traitantes mettent à la disposition des abattoirs des salariés roumains ou polonais en fraudant le fisc et les régimes sociaux pour des montants allant dans les centaines de millions d’€. Les perquisitions ont eu lieu en Nordrhein-Westfalen, en Niedersachsen, en Rheinland-Pfalz, à Bremen, en Hessen et Schleswig-Holstein, à Berlin et en Thüringen. Ces colonnes de salariés à bas prix ont décimé les rangs des salariés traditionnels des abattoirs. C’est maintenant un sujet de campagne électorale et le prochain gouvernement, quel qu’il soit, ne pourra plus éviter un changement. Like this: J'aime chargement…

Coordination Rurale (CR) Agri’Collectif Numérique : Le CoFarming comme avenir pour l’agriculture Numérique numérique « Et si l’économie collaborative avait été inventée par les agriculteurs ? Le principe du CoFarming repose sur l’utilisation des plateformes, tel que WeFarmUp, pour atteindre un nouveau degré du « faire ensemble » dans l’agriculture. Un système propice aux changements Le CoFarming ne serait donc que l’étape suivante de cette évolution. Connecter toutes les exploitations entre elles Pour que le CoFarming puisse réellement se développer, les auteurs se basent sur quatre principes. Privilégier l’usage à la propriété Le troisième principe repose sur la transparence et la confiance que les plateformes instaurent.

CoFarming : Davantage de marge avec l’agriculture collaborative CoFarming réservé aux abonnés start-up « Les États-généraux de l’alimentation (EGA) définissent l’agriculture du haut. Ici, nous travaillons sur l’agriculture de la base. » C’est par ces mots un brin provocateurs que s’est ouverte la première journée consacrée à l’agriculture collaborative, organisée par CoFarming, une association qui regroupe une dizaine de plateformes et sites internet (WeFarmUp, Laballeronde.fr,... Pour y accéder : 3 possibilités ! Vous avez parcouru 21% de l'article Vous êtes déjà abonné, inscrivez-vous. Inscrivez-vous ou identifiez-vous en haut du site. Je m'inscris Vous n’êtes pas abonné, abonnez-vous. Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique. Je m'abonne Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement. Profitez, sans engagement, de tous les services de La France Agricole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet. Je decouvre

Cofarming : quand la "sharing economy" bouscule le monde agricole Échanger des expériences et des compétences avec Agrifind, des données via Farmleap, voire des machines agricoles grâce à WeFarmUp ou des terrains dans Echangeparcelle... Dans le sillon de l'essor des AgriTech, l'économie collaborative perce aussi dans le secteur agricole. En France comme à l'étranger, une pluralité de plateformes y surgissent depuis quelques années proposant aux agriculteurs de nouveaux types de relations non seulement avec les consommateurs, mais aussi entre professionnels. "Entre agriculteurs, la solidarité a une longue tradition. C'est peut-être pour cette raison que l'économie collaborative s'est dans l'agriculture imposée surtout sous la forme B2B, ajoute-t-il. Un moyen pour accélérer la transformation des fermes La récente crise du secteur en France y a d'ailleurs sans doute contribué : "L'achat d'une machine agricole constitue une importante source d'endettement pour les agriculteurs. Les coopératives déjà membres de certains réseaux

Agriculture : face à la solidarité forcée, le retour de la solidarité volontaire | Contrepoints Par Jonathan Dubrulle. En aliénant les exploitants à la Mutualité Sociale Agricole (MSA) et en planifiant une agriculture productiviste et individualiste par la Politique Agricole Commune (PAC), les pouvoirs publics ont mis à mal une société rurale organique. Heureusement, grâce à l’utilisation des réseaux sociaux et par l’émergence de nouvelles applications, une libre coopération 3.0 semble émerger chez les agriculteurs. Les sillons harmonieux de la solidarité volontaire Face aux aléas, l’individu seul semble bien désemparé. Durant l’Ancien Régime, les professions s’organisent en corporations, qui se réduisent souvent à une même ville. À la Révolution, la loi Le Chapelier du 14 juin 1791 lutte contre ces corporations en interdisant leur association. La liberté d’association s’en trouve dès lors bafouée, avec une solution autoritaire pour contrer le dirigisme professionnel. Les professions agricoles, soumises à de nombreux aléas, s’organisent elles aussi en mutuelles.

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