background preloader

Attention Danger Travail - 1ère partie

Attention Danger Travail - 1ère partie

Attention danger travail Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Attention danger travail est un film documentaire de Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane Goxe qui se propose de donner la parole à certains RMIstes qui, notamment, tiennent une posture pour le moins non conventionnelle lors de leurs entretiens à l'ANPE en affirmant refuser de chercher un travail. Il est sorti au cinéma en France le . Synopsis[modifier | modifier le code] Ce film développe les points de vue exprimés par les gens qui refusent « des boulots de merde payés des miettes », points de vue éminemment minoritaires dans les médias puisque contrant le discours dominant sur la valeur travail, relayé par les conseillers pour l'emploi. Fiche technique[modifier | modifier le code] Réalisateurs : Pierre Carles, Christophe Coello et Stéphane GoxeProductrice : Annie GonzalezSociété de Production : CP ProductionsMonteurs : Virginie Charifi, Youssef Charifi et Bernard SasiaType : documentaireDurée: 109 minutes Portail du cinéma français

Les Sentiers de l'Utopie | Le blog du livre-film d'Isabelle Fremeaux et John Jordan Pierre Carles - Site Officiel La guerre du travail D'où une montée de l'angoisse populaire alors que les chiffres du chômage (et de l'emploi précaire son corollaire) explosent et que le gouvernement prit en flagrant délit de ratage de progrès en minimise la portée derrière des catégories cache-misère.Challenges, magazine de droite néo-conne catapultant le Fig Mag au rayon livre d'images pour gauchistes, publie dans un récent numéro un article titré "le grand soir attendra" et reproduisant un extrait de la note conjoncture de l'association de DRH Entreprise et personnel (en collaboration avec l'institut Supérieur du Travail) qui infirme celle alarmiste de 2008 : " L'insurrection sociale promise par certains à fait pschiit." (sic) Le rapport se félicite de la collaboration active des organisations syndicales dans la gestion de la crise en 2009. A l'instar du gouvernement, le rapport est confiant : Il n'y aura pas de grands mouvements sociaux à redouter en 2010 tant que les français seront inquiets pour leur emploi. 1967. 1973. 1975. 1976.

Utopsies | Culture et éducation à l'ère numérique Dis, papa pourquoi faut travailler ? Comment transmettre aux enfants, aux adolescents, la "valeur-travail" ? La question ne hante pas seulement les cabinets de consultation. Elle résonne aujourd’hui dans toutes les écoles, les collèges, les lycées, et mobilise aussi bien les enseignants que les parents et les politiques. Pourtant, les réponses qui lui sont données laissent parfois songeur. D’abord, parce qu’elles ne mettent en général l’accent que sur le discours, les adultes semblant croire que les "bonnes paroles" peuvent suffire à convaincre un enfant : « Si tu ne travailles pas, tu n’arriveras à rien. » Ensuite, parce que cette "morale de l’effort" ainsi enseignée, efficace sans doute au temps de Jules Ferry, se révèle aujourd’hui (même si elle est juste) sans grand effet sur toute une partie de la jeunesse. Enfin, parce que les adultes, quand ils parlent ainsi aux enfants, leur transmettent souvent, sans le savoir, ce qu’on leur a enseigné à eux-mêmes : une notion de travail d’où toute idée de plaisir est exclue.

Le peuple des connecteurs - le cinquième pouvoir Le travail - Pourquoi travailler ? En cliquant ici on pourra consulter une version plus courte sur cette notion. Nous sommes devant un paradoxe : à quoi bon travailler si ce n’est pour se délivrer complètement du travail et surtout de la souffrance inhérente à l’effort qu’il suppose ? Car d’une part, nous rêverions de voir notre volonté se réaliser sans effort, nous rêvons d’obtenir tout rien qu’en l’espérant ; nous rêverions d’être libérés du quotidien, où nous nous retrouvons avec des tâches sans cesse à reprendre comme faire à manger, faire le ménage, etc. D’autre part, ce que nous propose la société pour nous en rapprocher est le sens l’effort, le goût du travail qui va nous permettre de produire des technologies et d’acquérir des richesses qui vont enfin nous offrir une vie de loisirs. Au fond nous serions prêts à travailler plus pour plus tard ne plus travailler ou presque. Est-ce si sûr ? Comment comprendre ce paradoxe.

Le Crédit coopératif, une banque pas tout à fait comme les autres Lavoixeco - Le Crédit coopératif ne date pas d'hier. Il a été créé au XIXe siècle par des coopérateurs pour accéder au crédit. Sa vision éthique et solidaire de la banque fait de plus en plus d'émules. Il a organisé mardi son assemblée générale dans la région. C'est une première pour un établissement bancaire : le Crédit coopératif a rendu public le détail de l'utilisation de ses ressources en 2010. « Nous l'avons fait dans un souci de complète transparence », explique Yannick Ledunois, délégué général de la région Nord-Est. « C'était une demande de nos clients. » Le Crédit coopératif n'a rien à cacher. « Nous finançons l'économie réelle ». Pas d'actionnaires Le Crédit coopératif occupe une place à part dans le paysage bancaire français. « Ce qui nous distingue des autres banques, c'est que nos sociétaires sont essentiellement des personnes morales : associations, coopératives... La Voix Éco

POURQUOI JE NE VEUX (PEUX ?) PAS TRAVAILLER - [Collectif RTO] Je pense que le parcours de vie n’est pas sans avoir une certaine influence sur les raisons qui permettent de refuser le travail. On présuppose un conditionnement idéologique et social des sociétés qui pousse à adopter l’idéologie travailliste telle qu’elle se présente à nous aujourd’hui. Donc on peut se demander pourquoi certaines personnes échappent à cette idéologie dominante. Pour ma part je n’ai jamais baigné dans une atmosphère travailliste. Mon parcours scolaire fut, comme pour tous le monde (ou presque), très déplaisant. A 14 ans le collège m’a dirigé vers une orienteuse. A 16 ans tout rond j’ai quitté l’école (j’était alors dans une 4ème technologique). Plus tard ce fut l’armée qui me gonfla avec le boulot. Ces deux événements m’ont fait comprendre que l’idée générale est que pour refuser le travail il faut être soit un criminel, soit un fou (ou quelqu’un de très riche) ou du moins être considéré comme tel.

UtopLib - Utopies libertaires Pourquoi travailler? « LE FIL DES IDEES Conférence donnée dans le cadre de l’Université de tous les savoirs (Périgueux, 2010) Je voudrais commencer par une remarque sur cette question, « pourquoi travailler ? », qui a dû intriguer bon nombre d’entre vous. C’est une question que personne n’aurait eu l’idée de poser dans les siècles passés et que peut-être vous n’avez pas vous-même l’idée de poser aujourd’hui. Mes ancêtres paysans, du Moyen-âge jusqu’au XXe siècle, ne se posaient pas cette question. Mon père ouvrier, dans les années 50-70 du siècle dernier, ne se posait pas cette question, il se posait d’autres questions : comment allons-nous boucler la fin du mois, comment vais-je pouvoir nourrir et habiller convenablement mes enfants, comment vais-je faire si l’usine réduit les heures supplémentaires ou si elle ferme ? On pourrait donc penser que la question « pourquoi travailler ? Mais je crois que si l’on y regarde d’un peu plus près on verra que cette question est une question qui se pose aujourd’hui, dans la vie réelle.

Le revenu de base : utopie d'hier, révolution d'aujourd'hui, réalité de demain ? | ROL - Reportoutloud.org - Relayer infOrmer Lutter Revenu de base, allocation universelle ou revenu universel… tous ces termes désignent une vieille idée qui pourrait revenir au goût du jour : verser à chaque citoyen un revenu. Utopique ? Stanislas Jourdan, journaliste et promoteur de l’idée en France, revient sur l’histoire de l’idée, ses fondements économiques et philosophiques, et témoigne de la résurgence de l’idée à travers le monde. « Sans revenu, point de citoyen » s’exclamait en 1792 le philosophe Thomas Paine du haut de la tribune de l’Assemblée Nationale. Réprimé par la Terreur, Paine mourut quelques années plus tard, seul et pauvre aux Etats Unis où il s’exila. Bien au contraire, l’idée navigue entre les courants de pensée et traverse allégrement les frontières idéologiques et géopolitiques. Si la plupart d’entre eux partagent la conviction que le revenu de base est un moyen radical de combattre (voire anéantir) la pauvreté, chaque courant y apporte une vision et des arguments supplémentaires divers et variés. L’Utopie en 3D

Krisis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Krisis est un groupe de militants allemands issus du marxisme, qui en rompant avec l'anticapitalisme tronqué du marxisme traditionnel, participe à la transformation de la critique de l'économie politique dans le sens d'une critique de l'ensemble des formes sociales et catégories capitalistes, la valeur, le travail, la marchandise, la masculinité, la féminité et l'État. Ce groupe fait partie de la mouvance de la « wertkritik » (critique de la valeur). Histoire[modifier | modifier le code] Krisis est un groupe de militants allemands et autrichiens créé en mars 1986 à Nuremberg autour de Robert Kurz, Roswitha Scholz, Ernst Lohoff, Franz Schandl, Norbert Trenkle et Claus-Peter Ortlieb. Les réflexions du groupe Krisis doivent aussi être posées dans un contexte plus général. Les membres de la rédaction de la revue Krisis sont : Roswitha Scholz et Robert Kurz ont quitté la rédaction lors de la division du groupe en avril 2004.

Related: