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Opinel, l’humble savoyard qui défie l’Amérique

Opinel, l’humble savoyard qui défie l’Amérique
Les Américains avaient déjà James Bowie, cet aventurier tué à la bataille de Fort Alamo et qui a laissé son patronyme à un couteau de légende. Désormais, ils devront aussi mémoriser le nom de Joseph Opinel, fondateur du fameux surin. Depuis avril, la marque s'est installée à 7.000 kilomètres de son camp de base de Chambéry. Depuis l'origine, les Opinel sont fabriqués près de Chambéry. © Thierry Vallier/SP Tous droits réservés Ça se passe comme ça chez Opinel : la marque se débrouille toujours pour être là où on ne l'attend pas. Résultat, avec 4,5 millions de pièces produites, dont l'essentiel en Savoie, les ventes ont plus que doublé, pour atteindre 20 millions d'euros l'an dernier. Joseph Opinel, fondateur de la marque. © SP On imagine leur aïeul Joseph tout aussi taiseux. Avec ses premiers succès (une médaille d'or à l'Exposition internationale de Turin en 1911), l'ingénieux Joseph décida d'accélérer en installant une nouvelle usine près de Chambéry. Photos : © SP/Opinel Jean Botella Related:  Q7. Contribution acteurs création valeurMANAGEMENTFait en France

La notoriété et l’image de la marque Ces deux notions sont différentes mais complémentaires : une marque doit être connue mais cela peut être en bien ou en mal. La notoriété Aaker (1994) définit la notoriété d'une marque comme la capacité d'un client potentiel à reconnaître ou à se souvenir qu'une marque existe et appartient à une certaine catégorie de produits. La pyramide de la notoriété L’image de marque " L’image est la seule création et propriété du consommateur " ( Paul Sherlock ) Une image est un ensemble de représentations : Mentales qui résultent de sources multiples. Personnelles et subjectives : une image est différente d’une personne a l’autre et ceci d’autant plus que les produits sont impliquants. Stables : l’image d’une marque résulte des connaissances et des attitudes des clients a un moment donne. Sélectives et simplificatrices.

L'épargne salariale, levier de mobilisation des salariés et de compétitivité des entreprises NetPME A l’heure actuelle, moins de 2 salariés sur 10 disposent d’une épargne salariale dans les TPE-PME, contre 9 sur 10 dans les grandes entreprises. La loi Macron du 6 août 2015 a tenté d’étendre les dispositifs de l’épargne salariale à un plus grand nombre de TPE-PME. Après 17 lois ou décrets pas toujours cohérents et parfois contradictoires depuis 2000, la loi Macron a permis de baisser le taux du forfait social à 8 % au lieu de 20% pendant 6 ans pour les TPE-PME qui mettent en place pour la première fois un contrat d’intéressement ou de participation. Ce prélèvement fait l’objet de nombreuses critiques : « en seulement 4 ans, il est passé de 2% à 20% et a créé une instabilité juridique » démontre Guy Bonnet, spécialiste de l’épargne salariale et membre de l’Institut de la protection sociale (IPS). Rendre la mise en place d’un PEE obligatoire L’Institut formule également des propositions pour réformer l’épargne salariale et simplifier ses mécanismes qui restent trop complexes.

SeaBubble, ce drôle d’engin qui vole sur l’eau et sème la zizanie à Bercy Le tweet de Christian Eckert, secrétaire d’Etat au Budget, reprochant à Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, d’empiéter sur son périmètre a été largement repris depuis hier par les médias. Au delà des sempiternelles querelles de clochers qui animent les nombreux locataires de Bercy (deux ministres et trois secrétaires d’Etat), ce buzz a fait découvrir SeaBubble, ce projet de véhicule totalement nouveau à l’origine de la brouille. Voilà qui est plus intéressant, de quoi s’agit-il au juste ? SeaBubble c’est un concept de véhicule de 5 passagers capable de voler au-dessus de l’eau. Il est spécialement adapté à la navigation fluviale pour désengorger le trafic dans les villes. L’idée est d’avoir un engin électrique, non polluant, qui ne fait pas de bruit et pas de vagues. Le principe est similaire : propulsé par deux moteurs électriques, le véhicule, en forme de bulle, se soulève au-dessus de l’eau et seules quatre ailettes restent en contact. Tous droits réservés

Amazon pénalisée par sa croissance effrénée De juillet à septembre les ventes du leader de la vente en ligne ont encore grimpé de 29%. Mais ses dépenses d'exploitation explosent. De notre correspondant à Washington Les résultats trimestriels d'Amazon déçoivent ses actionnaires les plus exigeants. De juillet à septembre les ventes d'Amazon ont encore grimpé de 29% pour atteindre 32,7 milliards de dollars. Le bond de 43% des coûts de livraison au troisième trimestre par rapport à l'année dernière a de quoi choquer. La priorité donnée à livraison le jour même ou en 24 heures est d'autant plus difficile à tenir qu'Amazon offre ce service sans supplément à ses clients dit «prime», qui payent un montant annuel de 99 dollars ou de 10,99 dollars par mois. Le quatrième trimestre, en raison des achats de fêtes de fin d'année, est toujours le plus important pour Amazon.

Intermarché : stratégie gagnante pour les Mousquetaires C'est une organisation tout à fait originale qu'a mise au point le numéro 3 français de la grande distribution : Intermarché produit lui-même une grosse partie de ce qu'il vend. Coulisses. Posté au milieu de son Intermarché flambant neuf de Combs-la-Ville, Julien Denis semble bien détendu pour un homme encerclé. Il joue pourtant gros : en 2014, sa femme et lui ont vendu leurs PME respectives et abandonné leur Bourgogne d'origine pour ouvrir ce supermarché en terrain miné. Et hop, voilà quelques millions de plus dans l'escarcelle des Mousquetaires ! >> En vidéo : On peut tout acheter sur Internet mais le consommateur hyperconnecté plébiscite paradoxalement un retour aux valeurs traditionnelles du commerce. Il n'a pas non plus les plus gros magasins, détenus par Carrefour ou Auchan. Un panache qui aurait plu à Jean-Pierre Le Roch. La galaxie des MousquetairesCliquez sur l'image pour l'agrandir. Pour mieux achalander ces magasins, la maison a changé d'approche. © Philippe Plisson/SP

Croisières Ponant : périple pour happy few Notre credo ? Investir des destinations où aucun croisiériste ne se rend, pour procurer des sensations et des expériences uniques à nos passagers.» Vanité de la part de Jean-Emmanuel Sauvée, président et cofondateur de la Compagnie du Ponant, devenue Ponant en 2014 ? C’est pourtant la vérité : en seulement quinze ans, ce croisiériste 100% tricolore est devenu le spécialiste des expéditions polaires et de la croisière de luxe. «Nos yachts ont été conçus pour longer des zones extrêmes et débarquer les passagers dans des sites exceptionnels – geysers et glaciers – où d’autres navires ne peuvent accéder », savoure le patron de ce bijou de la navigation maritime. Satisfaction record. Seul croisiériste de luxe naviguant sous pavillon français, Ponant possède une flotte composée de cinq bateaux. Pour gagner ses galons de croisiériste haut de gamme, Ponant n’a négligé aucun détail. Flotte agrandie. Eric Delon Lire aussi : Croisierenet.com, le supermarché de la croisière en ligne

Amazon sur tous les fronts mais très peu rentable Amazon est à la peine. Les investisseurs ont sanctionné l’action, le mastodonte du e-commerce n’ayant en effet annoncé qu’un bénéfice par action de 52 cents, alors que les analystes tablaient en moyenne sur 78 cents. "L'entreprise a largement raté ses prévisions de bénéfices", a souligné Neil Saunders, président de la société de recherche Conlumino, estimant que les comptes de ce trimestre "défont une partie du récent progrès fait par Amazon sur le front des bénéfices, et le ramènent au même type de position qu'à la fin du dernier exercice". >>> Vidéo. Découvrez l'entrepôt d'où Amazon va livrer les colis Prime Now (Capital) Le groupe de Jeff Bezos privilégie depuis des années la croissance de ses parts de marché au détriment de ses marges, mais il avait surpris ces derniers trimestres en améliorant sa rentabilité, grâce essentiellement à sa filiale de "cloud" AWS. Jeff Bezos, le patron-fondateur d'Amazon, a évoqué des "surprises" à venir concernant les capacités d'Alexa.

Le travail collaboratif à l'heure des entreprises 2.0 Costume noir et cravate bleue, il sourit sur fond de ciel nuageux. Sous cette photo, une colonne de profil apparaît : « Deputy CEO & Chief Operating Officer », lit-on, avant de basculer sur les coordonnés de l'intéressé. Au milieu, un mur d'actualité. Les contributions aux hashtags fournis s'enchaînent, avec ses lots de commentaires et de « likes ». On se croirait sur Facebook... Alexandre Ricard mise beaucoup sur cette plate-forme. À travers ce réseau, Pernod Ricard s'inscrit dans une dynamique récente : l'ère du travail « collaboratif ». « À l'heure de la mondialisation, beaucoup d'entreprises répartissent leurs équipes aux quatre coins de la planète. Partager l'information par "communautés" Les entreprises de l'Hexagone ont vite compris les bénéfices qu'elles pouvaient retirer de ces usages nouveaux. C'est notamment le cas d'Albéa, le leader mondial des emballages de produits cosmétiques. « À l'époque, une équipe commerciale travaillait pour un gros client. « N'en parle à personne.

Fleury Michon, Bénéteau, Puy du Fou… l’incroyable dynamisme vendéen Franchement, ce n'était pas gagné. Comme ça, en plein mois de juillet, parvenir à réunir en urgence les principaux patrons d'une région pour les faire poser ensemble ? En Alsace, en Bretagne ou en Auvergne, sûr que ça n'aurait pas marché, ils auraient eu mieux à faire, ou pas le temps, ou trop d'ennuis, surtout en ce moment, vous n'imaginez pas. Mais en Vendée, presque tous ont répondu présent. Ah ça, ils l'aiment, leur Bocage, les patrons vendéens ! Tous droits réservés Ses principales villes se nomment Les Herbiers, Montaigu, Pouzauges ou Mortagne-sur-Sèvre, et quand on ne trouve pas son bonheur dans leurs commerces, il faut faire une heure de route pour rejoindre les agglomérations les plus proches, Angers, Nantes ou Poitiers. Au lieu de quoi, c'est l'une des régions les plus dynamiques de France. Un chiffre suffit à prendre la mesure du phénomène : ici, l'industrie occupe plus de 40% des salariés, contre à peine 12,9% en moyenne dans le pays. © Olivier Roux pour Capital

iPhone 7 et Galaxy S7 : ils ne sont plus dans le coup ! | 60 Millions de Consommateurs Actu Le prix des smartphones premium d’Apple et de Samsung atteint des sommets. À part leur design soigné, ils n’ont pourtant plus grand-chose pour eux. Thinkstock En 2007, lorsque le premier iPhone est sorti, Steve Jobs, le patron et fondateur d’Apple, parlait de « révolution ». Près de dix ans plus tard, le prix du smartphone de la firme à la pomme a connu une inflation quasi continue. Des prix en hausse permanente Certes, le coût de la vie a augmenté ; certes, les performances de l’iPhone 7 sont évidemment sans commune mesure avec celles de son ancêtre de 2007. Samsung n’est pas en reste avec son Galaxy S7, dont le prix est 40 % supérieur à celui du premier de la série des « S », sorti en 2010. Pour convaincre les consommateurs de dépenser des sommes folles, les marques ont repris les codes de l’industrie du luxe. À LIRE >>> Réparation de mobiles : “Save” qui peut ? Porsche ou Twingo Et ce n’est pas tout ! À LIRE >>> Le Galaxy Note 7 provoque une explosion… de colère !

Les outils collaboratifs : une nouvelle manière de travailler en entreprise... Appelés aussi Groupware, ils regroupent différentes « briques » logicielles et technologiques permettant de travailler ensemble à distance. Accessibles depuis un poste de travail fixe ou un appareil mobile (Smartphone ou tablette), ces outils collaboratifs facilitent le partage de données et d’informations (rendez-vous, contacts, messages...). Le maître mot étant la synchronisation : tous les éléments sont mis à jour en temps réel et consultables partout. Outil de partage d'agenda, pour mieux organiser le travail en équipe Quand une équipe de collaborateurs a besoin de travailler en mode « projet », un des éléments clés pour faciliter l’organisation des réunions est le partage d’agenda : il s’agit d’un calendrier géré en commun par une équipe de personnes « accréditées » — avec identifiant et mot de passe personnels. La messagerie instantanée : pour une communication en temps réel Besoin d’une information urgente, qu’un de vos collaborateurs détient ? La limite de ces offres en ligne ?

Les « Têtes Brûlées », les bonbons Made in France qui arrachent et qui s'arrachent Tous droits réservés - DR Le confiseur Verquin, Petit Poucet du Nord, vient titiller les géants mondiaux de la confiserie sur le segment des bonbons « qui piquent ». Pour les grands enfants nostalgiques des années 90, les « Têtes brûlées » - des petites billes qui cachent derrière une première couche extrêmement piquante un arrière-goût sucré - évoquent à coup sûr les assortiments de bonbons à 1 franc achetés chez la boulangère du coin et picorés sous le préau d'une cour de récréation. Et les défis relevés entre copains : « Même pas cap d'en mettre sept dans ta bouche d'un coup ! Un succès de taille pour la confiserie familiale, connue pour ses « Pastilles du mineur » - célèbres pour leur capacité à dégager les bronches des houilleurs - et longtemps spécialisée dans la fabrication de bonbons vendus sous marque de distributeur (MDD). Philippine Robert >>> En vidéo : Un confiseur bulgare invente le bonbon déodorant

TOP: les 100 marques les plus puissantes au monde - Business Insider France Apple est la marque la plus puissante au monde. Sa valeur est estimée à plus de 178,1 milliards de dollars par le cabinet Interbrand, qui présente son classement annuel Best Global Brands des 100 marques les plus fortes dans le monde. Apple est suivi de Google, dont la valeur est estimé à 133,3 milliards de dollars. Les entreprises des technologies occupent 14 places du classement et représentent ensemble une valeur de 623 milliards de dollars. Les marques technologiques devancent — en valeur — le secteur automobile qui prend 15 places dans le classement et totalise une valeur de 256,6 milliards de dollars, tiré par Toyota, Mercedes et BMW. Jean-Philippe Martzel, directeur d'Interbrand en France, a analysé ces résultats pour Business Insider France: "L'automobile devient un objet technologique plutôt qu'industriel. Mêlant technologie et automobile, Tesla fait son entrée dans le classement. Interbrand établit ce classement à partir de 5 critères : 100. 99. 98. 97. 96. 95. 93. 92. 91. 90. 89.

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