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 Galeries virtuelles des photographies de Doisneau

 Galeries virtuelles des photographies de Doisneau

Magnum Photos Photographer Portfolio Robert Doisneau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Doisneau Robert Doisneau, photographié par Bracha L. Ettinger dans son studio de Montrouge, en 1992. Œuvres réputées Robert Doisneau (né le à Gentilly - mort le à Montrouge) est un photographe français, parmi les plus populaires d'après-guerre. Biographie[modifier | modifier le code] Robert Doisneau est né dans le sud de la banlieue parisienne au sein d'une famille bourgeoise. Un an plus tard, il réussit à intégrer l’Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. En 1934, le constructeur automobile Renault de Boulogne-Billancourt, l’embauche comme photographe industriel, mais, du fait de ses retards successifs, il se fait renvoyer cinq ans plus tard, en 1939. Après la Seconde Guerre mondiale, Robert Doisneau devient photographe indépendant en intégrant officiellement, dès 1946, l’agence de photographie Rapho. Son talent de photographe sera récompensé à diverses reprises : le prix Kodak en 1947, le prix Niepce en 1956.

Edouard de Blaÿ - Paris Annie Leibovitz annie leibovitz Blitz Brigade Hack - Get Unlimited Coins, Diamonds and VIP for ios-android. Photographed Illustrated 1 note ROBERT DOISNEAU La Banlieue de Paris (texte de Blaise Cendrars), Éditions Pierre Seghers, Paris, 1949. Les Parisiens tels qu’ils sont (texte de Robert Giraud et Michel Ragon), Delpire, Paris, 1954. Instantanés de Paris (préface de Blaise Cendrars), Arthaud, Paris, 1955. Le Vin des rues (texte de Robert Giraud), Denoël, Paris,1955. Pour que Paris soit (texte d’Elsa Triolet), Éditions du Cercle d’Art, Paris, 1956. Gosses de Paris (texte de Jean Dongues), Éditions Jehebert, 1956. Nicolas Schöffer (texte de Guy Habasque et du Dr Jacques Ménétrier), Éditions du Griffon, Neuchâtel, 1962. Marius le Forestier (texte de Dominique Halévy), Éditions Fernand Nathan, Paris, 1964. Le Royaume d’argot (texte de Robert Giraud), Denoël, Paris, 1965. Epouvantables épouvantails, Éditions Hors Mesure, Paris, 1965. Catherine la danseuse (texte de Michel Manceaux), Éditions Fernand Nathan, Paris, 1966. My Paris (texte de Maurice Chevalier), Macmillan, New York, 1972. La Loire, Denoël, Paris, 1978. Pour saluer Cendrars (texte de J.

Garry Winogrand Voir le portrait filmé de l'exposition : Le Jeu de Paume présente la première rétrospective, depuis vingt-cinq ans, du grand photographe américain Garry Winogrand (1928-1984). Chroniqueur célèbre de l’Amérique de l’après-guerre, Winogrand est encore mal connu, tant il a laissé de travail à accomplir — au moment de sa mort prématurée — dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies. Il est cependant sans conteste l’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre qu’Evans, Frank, Friedlander ou Klein. Célèbre pour ses photographies de New York et de la vie aux États-Unis depuis les années 1950 jusqu’au début de la décennie 1980, Winogrand cherche à savoir « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées ». Winogrand a beau être considéré, par beaucoup, comme l’un des plus grands photographes du XXe siècle, l’examen de son corpus pictural et de son influence sur la discipline demeurent incomplets.

Sebastião Salgado Genesis est la grande exposition de Sebastião Salgado, un hommage photographique sans précédent à notre planète. Les 245 photographies exposées, au terme de huit ans de travail et d’une trentaine de voyages à travers le monde, sont présentées selon un parcours en cinq chapitres géographiques ("Aux confins du Sud", "Sanctuaires naturels", "Afrique", "Terres du Nord", "Amazonie et Pantanal"), qui sont autant de régions du monde explorées par Sebastião Salgago pour nous révéler la nature de notre planète dans toute sa splendeur. « Genesis est la quête du monde des origines, celui qui a évolué pendant des millénaires avant d’être confronté au rythme de la vie actuelle, avant d’oublier ce qui fait de nous des êtres humains. Cette exposition nous présente des paysages, des animaux et des peuples qui ont su échapper au monde contemporain. Elle met à l’honneur ces régions vastes et lointaines où, intacte et silencieuse, la nature règne encore dans toute sa majesté. Lélia Wanick Salgado Soutiens

Saul Leiter “To say that he flourishes at the top in the Mount Olympus of New York photography is saying a great deal. He is right up there with the amazing heights of photographic history itself. He’s more abstract than many, he’s more constructive than several but he’s also more soulful than a great many.” Max Kozloff (Art Historian) Saul Leiter’s ground-breaking work in photography and painting is only now receiving the international recognition it deserves. Leiter’s earliest black and white photographs show an extraordinary affinity for the medium, and by 1948 he began to experiment in color. Leiter has made an enormous and unique contribution to street photography. Martin Harrison, editor and author of Saul Leiter Early Color, writes, “Leiter’s sensibility…placed him outside the visceral confrontations with urban anxiety associated with photographers such as Robert Frank or William Klein.

Animal Kingdom – Les photographies en double exposition d’Andreas Lie La série Animal Kingdom de la photographe et graphic-designer Andreas Lie, qui mélange animaux et paysages dans de magnifiques compositions en double exposition. Je vous recommande aussi Wisdom, les superbes portraits en double exposition de Brandon Kidwell. Images © Andreas Lie / via Julien Mauve - After Lights Out After Lights Out2013 After Lights Out traite de l'omniprésence de la lumière dans nos sociétés contemporaines et dépeint un univers alternatif dans lequel celle-ci aurait disparu. Chaque photo présente des manifestations lumineuses isolées prenant des formes énigmatiques, voir ésotériques, rappelant les paysages nocturnes de Robert Adams. J'ai cherché à travers cette série à attirer l'attention sur le rapport mystérieux qui nous lie à la lumière, sur la relation que nous entretenons avec elle, sur sa superficialité et la dépendance dans laquelle elle nous plonge. L'anxiété et le danger des ombres mélangés au bien être et à la sécurité. "La nuit n’existe plus. Matthias Jambon-Puillet One might say this is landscape work and entitle it "Variations on a Nightscape". In each of these lived-in landscapes, for each of these rigorously situated buildings, a light is scouring the depths, a light that has not yet been turned off or that has already been lit. Christian Caujolle

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