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La lutte contre la cybercriminalité, un défi majeur  

La lutte contre la cybercriminalité, un défi majeur  
Comment la cybercriminalité est-elle définit en droit français et à l’étranger ? Quelles sont les formes de cyberdélinquance ? Quels sont les dispositifs de lutte contre ce phénomène ? Depuis la fin du XXème siècle, la cybercriminalité s’est considérablement développée. Usurpation d’identité, déni de service distribué, téléchargement illégal… la cyberdélinquance s’est diversifiée avec les avancées technologiques et numériques. Pour lutter contre ce phénomène, la France a adopté de nombreuses lois. © MJL - DICOM - Damien Arnaud En savoir plus : - lire l'article sur le colloque organisé par la Sorbonne et le Ministère de la Justice et des Libertés

Cybercrime Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un cybercrime est une « infraction pénale susceptible de se commettre sur ou au moyen d’un système informatique généralement connecté à un réseau ». Il s’agit donc d’une nouvelle forme de criminalité et de délinquance qui se distingue des formes traditionnelles en ce qu’elle se situe dans un espace virtuel, le « cyberespace ». Depuis quelques années la démocratisation de l’accès à l’informatique et la globalisation des réseaux ont été des facteurs de développement du cybercrime. Types d'infractions[modifier | modifier le code] On peut alors aujourd’hui regrouper la cybercriminalité en trois types d’infractions : Dispositif législatif et conventionnel de lutte[modifier | modifier le code] Dispositif législatif et réglementaire français[modifier | modifier le code] En France la cybercriminalité est prise juridiquement en compte depuis la loi relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés du 6 janvier 1978. Roman d'anticipation

Lancement du Centre Expert de lutte contre la Cybercriminalité Français à l’occasion du FIC Lancement du Centre Expert de lutte contre la Cybercriminalité Français à l’occasion du FIC Le Centre Expert de lutte contre la Cybercriminalité Français (CECyF) a été officiellement lancé à l’occasion du FIC 2014, sous la présidence du Général d’armée Denis Favier, Directeur général de la gendarmerie nationale. Cette association rassemble les acteurs de la lutte contre la cybercriminalité (services d’investigation, établissements d’enseignement et de recherche, entreprises, associations...) autour d’un objectif commun : favoriser des projets collaboratifs qui contribuent à la formation, l’éducation et la recherche contre la cybercriminalité. Le CECyF se veut un espace de rencontre et de créativité en matière de lutte contre la cybercriminalité. La Recherche & Développement : une lutte efficace contre la cybercriminalité suppose de s’adapter en permanence à l’évolution des pratiques et des technologies. Développement d’outils open source d’investigation numérique ;

la PN lutte contre la cybercriminalité Note sur les sources informelles liées à la cybercriminalité Cybercriminalité : 10 exemples d'arrestations majeures Les politiciens, les chercheurs en sécurité et autres groupes engagés dans la lutte contre la cybercriminalité comparent souvent cette situation aux efforts menés dans la lutte contre le crime organisé traditionnel. Certaines astuces et tactiques sont comparables et les motivations le sont tout autant; il existe néanmoins une différence majeure entre les deux groupes : les cybercriminels n’ont aucune peur d’être attrapés. Les chances qu’un cybercriminel soit attrapé, poursuivi et incarcéré sont extrêmement minces, surtout en comparaison avec le volume de cybercriminalité qui existe aujourd’hui. « L’absence d’accords internationaux et d’application des lois, y compris dans les pays où des lois contre la cybercriminalité existent, rend quasiment impossible la diminution de la cybercriminalité. Par conséquent, quand les organismes d’application de la loi effectuent une arrestation, même si elle ne semble pas importante sur le plan global, l’arrestation fait souvent les gros titres.

Le monde des pirates informatiques : pourquoi ne vont-ils pas en prison ? Jetez un coup d’œil à n’importe quel des rapports qui existent par douzaines sur le niveau de cybercriminalité, et vous en viendrez forcément à la conclusion que le crime en ligne s’empire chaque jour. Et vous auriez raison. Mais regardez ensuite les informations et comptez combien d’histoires vous trouvez relatant des arrestations de cybercriminels. Pas tant que ça. Donc, pourquoi ne vont-ils pas en prison ? Le premier problème est un problème de compétences judiciaires. Dans la plupart des cas, les autorités du pays de la victime sont responsables de l’enquête. Le problème suivant est que beaucoup de piratages ne constituent pas des pertes assez importantes pour intéresser les agences d’application de la loi. Et ensuite vous avez le problème d’attribution. Ajoutez tous ces facteurs ensemble, et vous obtenez un chemin très difficile pour la police et relativement facile pour les pirates.

structure Les moyens juridiques de lutte contre la cybercriminalité Citation : Eric A. Caprioli, Les moyens juridiques de lutte contre la cybercriminalité, www.caprioli-avocats.com Première publication : Revue Risques n°51, Les cahiers de l'assurance, Ed. LGDJ/SEDDITA, juillet-sept 2002, p. 50-55. Date de la mise à jour : juillet 2002 Les moyens juridiques de lutte contre la cybercriminalité Par Eric A. Plan Introduction La conservation des données de connexion L'accès aux contenus des messages : Interceptions de sécurité et déchiffrement des données codées 1. La responsabilité pénale des personnes morales Les procédures et perquisitions Notes Introduction Les réseaux numériques sont devenus une composante majeure sur laquelle repose la croissance de nos économies. En tant qu'espace de communication ouvert, l'internet permet la diffusion de tout type d'information sans aucune contrainte géographique. Le fait d'appréhender des comportements délictueux sur les réseaux se heurte à trois types de contraintes : • l'anonymat qui peut être organisé sur les réseaux. 1.

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