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Comment exploiter le crowdsourcing

Comment exploiter le crowdsourcing
Par Rémi Sussan le 20/07/11 | 1 commentaire | 2,385 lectures | Impression Edial Dekker est le cofondateur du groupe “hacker le gouvernement“, le plus important mouvement hollandais sur l’open data. Aujourd’hui, il dirige également Gidsy, une startup qui promet un “marché de l’expérience authentique”. “Nous avons des problèmes” a expliqué Dekker sur la scène de Lift : on se remet difficilement d’une crise économique, nos ressources naturelles s’épuisent et la mondialisation elle-même a probablement ses limites. La question est donc de recréer de nouvelles manières d’apprendre et de consommer, comme celles que prône Tom Hodgkinson dans son livre Brave Old World. Autre exemple how to homestead (qu’on pourrait traduire par “Comment se re-ruraliser”) un site de conseils en vidéo pour réapprendre des pratiques rurales comme tuer un poulet ou pour économiser de l’eau quand on fait la vaisselle, ou faire du pain, etc. Rémi Sussan

Créer avec les gens, vraiment ! Nous avons tout à apprendre des consommateurs, expliquait le consultant Steve Portigal sur la scène de la conférence Lift à Genève. Pour cela, nous disposons de nombreuses méthodes, mais ce n’est pas la méthode qui est importante, expliquait-il dans sa présentation. L’important c’est d’avoir des cadres pour examiner les gens, notamment en se rendant dans leur environnement, en récoltant leurs histoires et en analysant ce qu’ils font et ce que cela signifie. C’est là que se situe la synthèse créative des designers : qui consiste à rassembler ce matériel pour en faire quelque chose de neuf, en y tissant des connexions nouvelles. « Enfin, il faut agir. Le design participatif… C’est pourtant bien sur les méthodes que revient Steve Portigal. Image : Steve Portigal sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. On peut aussi montrer des solutions, faire des tests, développer des prototypes et les améliorer ou les transformer. … à la cocréation Créer des espaces pour l’innovation ouverte

I'm a design hero. I support the #AntiSpec campaign. Contenu généré par les utilisateurs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir UGC. Le contenu généré par les utilisateurs (en anglais User-generated content, ou UGC) se réfère à un ensemble de médias dont le contenu est principalement, soit produit soit directement influencé par les utilisateurs finaux. Le terme devint populaire pendant l'année 2005, dans les milieux du Web 2.0, ainsi que dans les nouveaux médias. En supplément de ces moyens, le contenu généré par les utilisateurs utilise aussi souvent des logiciels libres ou open source et s'appuient sur de nouvelles licences de droit d'auteur (par exemple, les licences Creative Commons) très flexibles, lesquelles diminuent très largement les barrières d'entrée et facilitent la collaboration entre des individus dispersés géographiquement à travers le monde [citation nécessaire]. La gestion de ce contenu est de plus en plus source de réflexions sur la propriété du contenu ainsi créé. Liens externes[modifier | modifier le code]

Crowdfunding : 5 règles d’or pour réussir son projet En travaillant avec les porteurs de projet au quotidien, on apprend beaucoup de choses. Sans vouloir en rajouter, je dirais même qu’on apprend à chaque projet : chaque réussite au-delà des espérances, chaque limite dépassée à la minute près et malheureusement, chaque projet échoué, nous en apprend toujours plus sur ce qui compte pour la réussite d’une campagne de crowdfunding. Du coup, voici cinq règles d’or qui vous assurerons, peut-être pas la réussite à coup sûr (qui peut assurer ça ?), mais en tout cas de faire tourner votre campagne de la meilleure façon possible. 1/ Votre projet, c’est votre vitrine Créez votre page projet avec soin ! Pour illustrer votre projet, utilisez une grande et belle image de présentation, choisie avec soin, qui a un rapport direct avec votre projet. Dans votre description, faîtes aussi de votre mieux pour éviter les pavés de texte, les répétitions, les imprécisions. Le top du top : prenez le temps de faire une vidéo. 5/ Vous avez l’argent.

Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir Robin Chase (blog) est une serial entrepreneuse reconnue. Après avoir fondé Zipcar, la plus grande entreprise d’autopartage du monde, et GoLoco, une communauté autour du covoiturage, elle a lancé Buzzcar, un service de partage de voitures. Invitée dans les plus grandes conférences (TED), elle a reçu de nombreuses récompenses dans le domaine de l’innovation, du design et de l’environnement. Pendant longtemps les villes ont été construites de manière très chaotique, sans structure… Il a fallu attendre le baron Haussmann et ses grands travaux pour que la ville change. Mais accepterions-nous encore facilement des travaux à cette échelle ? Internet permet également aux gens de prendre le pouvoir. Image : Robin Chase sur la scène de Lift Marseille, photographiée par Pierre Métivier. Les grandes plateformes du web donnent du pouvoir aux gens. Robin Chase compare Couchsurfing aux grandes chaînes d’hôtels internationaux.

What is Crowdsourcing? | Join Zak & Friends to see what Crowdsourcing is all about! Crowdsourcing Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crowdsourcing, ou externalisation ouverte[1] ou production participative[2], est l'utilisation de la créativité, de l'intelligence et du savoir-faire d'un grand nombre de personnes, en sous-traitance, pour réaliser certaines tâches traditionnellement effectuées par un employé ou un entrepreneur. Ceci se fait par un appel ciblé (quand un niveau minimal d'expertise est nécessaire) ou par un appel ouvert à d'autres acteurs. Le travail est éventuellement rémunéré. Il peut s'agir de simplement externaliser des tâches ne relevant pas du métier fondamental de l'entreprise, ou de démarches plus innovantes. C'est un des domaines émergents de la gestion des connaissances, Il existe de nombreuses formes, outils, buts et stratégies du crowdsourcing[3]. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme crowdsourcing est un néologisme sémantiquement calqué sur l'outsourcing (externalisation). Historique[modifier | modifier le code]

Le crowdfunding de A à Z Réalité pour certains, le crowdfunding est encore un concept, voir une utopie pour beaucoup. Pourtant, il suffit de jeter un coup d'oeil aux projets déjà financés sur Ulule pour voir qu'une communauté solide et beaucoup de motivation, ça peut faire bouger des montagnes. Avant de rentrer dans le vif du sujet, une introduction au crowdfunding s'impose. Si vous ne savez pas précisément ce qui cache derrière cet anglicisme, vous pouvez lire la petite histoire du crowdfunding. Pour résumer donc, le crowdfunding c'est un projet, des gens, des réseaux sociaux. Des sous sont collectés dans un seul et même but : la réalisation du projet. Le crowdfunding, ce n'est pas un don désintéréssé, il ne s'agit pas d'actions de charité. Passons à présent à l'étape concrétisation. C'est clair ? Parés pour la suite ? ABECEDAIRE DU CROWDFUNDING (work in progress) A comme Amis : Ce sont vos premiers soutiens, vos premiers ambassadeurs, vos premiers fans (après maman). T comme Tu arrives bientôt au U

Voyage dans l’innovation sociale scandinave (2/3) : Réinventer l’entrepreneuriat Suite de notre voyage dans l’innovation sociale européenne (voir la première partie) à l’invitation de la 27e Région, laboratoire d’innovation publique. Avec un regard particulier sur la façon dont la conception de services peut aider au développement de nouvelles formes d’entreprises. MindLab : changer l’esprit de l’innovation publique Le MindLab (blog) est un laboratoire fondé par les ministères danois de l’économie, des finances et de l’emploi. Etabli depuis 9 ans et composé d’une équipe de 15 personnes, son objectif a pris une toute autre actualité à l’heure de la crise financière et écologique : penser l’innovation dans le gouvernement et les services publics. « Nous devons dépenser l’argent public d’une manière plus intelligente », explique son directeur Christian Bason, auteur d’un livre à paraître sur ces questions. Image : Les méthodes du MindLab danois, issues de leur Guide pour l’innovation (en danois). L’entrepreneuriat en résidence Soutenir l’esprit d’entreprendre

2011 août by Fredwpt 30/08/2011 Avez vous vraiment essayé de recruter sur les Réseaux Sociaux ? Est-ce devenu habituel ? 3% des recrutements seraient désormais issus du 2.0 (Média Sociaux – LinkedIn, Viadeo, Twitter, etc…) , ce qui est malgré tout assez faible mais finalement assez… compréhensible : - Comment se fier à des CV en ligne tous plus ronflants les uns que les autres ? - Comment déceler les vraies qualifications déclarées des qualifications réelles ? - Comment connaître les "points faibles" des candidats potentiels qui ne mettront en aucun cas sur leurs profils ? Les Profils Riches sont-ils aussi "riches" qu’on veut bien nous le faire croire ? Certains ont jeté leur dévolu sur les Star Académiciens du Web qui, sous réserve d’avoir un Blog à peu près bien tenu, une présence sur les réseaux sociaux démontrant qu’ils savent Faire Savoir deviennent LES candidats qu’il faut aller chercher… Ont-ils pour autant le Savoir Faire ? Et vous alors, qu’en est-il ? Like this: J'aime chargement…

Crowdsourcing Crowdsourcing is a sourcing model in which individuals or organizations obtain goods and services. These services include ideas and finances, from a large, relatively open and often rapidly-evolving group of internet users; it divides work between participants to achieve a cumulative result. The word crowdsourcing itself is a portmanteau of crowd and outsourcing, and was coined in 2005.[1][2][3][4] As a mode of sourcing, crowdsourcing existed prior to the digital age (i.e. "offline").[5] There are major differences between crowdsourcing and outsourcing. Some forms of crowdsourcing, such as in "idea competitions" or "innovation contests" provide ways for organizations to learn beyond the "base of minds" provided by their employees (e.g. Definitions[edit] The term "crowdsourcing" was coined in 2005 by Jeff Howe and Mark Robinson, editors at Wired, to describe how businesses were using the Internet to "outsource work to the crowd",[1] which quickly led to the portmanteau "crowdsourcing."

Ulule - Donnez vie aux bonnes idées La montée de la consommation collaborative « La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

L’impact du “crowdsourcing” sur le marketing - L'Art du Marketing L’impact du “crowdsourcing” sur le marketing Écrit par Jimmy Mallet. La quantité d’informations disponibles a radicalement augmenté. Selon Eric Schmidt, ancien PDG de Google : “Tous les deux jours, nous créons une quantité d’informations équivalente à ce qui a été créé de l’aube de la civilisation jusqu’en 2003.” Comme l’a décrit Jeff Howe en 2006, alors rédacteur à Wired Magazine : “L’augmentation exponentielle de cette masse de données combinée à l’évolution technologique et la démocratisation des outils informatiques grand public ont fortement réduit certains écarts entre professionnels et amateurs, ce qui permet à des entreprises de profiter du talent de la population pour atteindre des objectifs économiques, culturels, sociaux ou scientifiques”. Wikipédia est d’ailleurs un bon exemple de “crowdsourcing” : c’est une encyclopédie collective établie sur Internet, universelle, multilingue et fonctionnant sur le principe du wiki. L’avenir est loin d’être clair.

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